Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Le Parisien
par Carine Didier
La qualité de l’image, le jeu subtil des comédiens (dont Anne Charrier), un polar multi-facettes, les méandres de la mémoire, la maternité… Il y a mille raisons de regarder ce mercredi soir sur France 2 le début de la série Maman a tort, adaptée du roman de Michel Bussi paru en mai 2016.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télé 7 Jours
par Hacène Chouchaoui
Un polar troublant et captivant avec pour toile de fond une réalité sociale désespérante, servi par une pléiade de comédiens au top et de magnifiques images du Havre signées François Velle, le fils de Louis.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
L'Obs
par Anne Sogno
Dans cet univers quotidien habité par plusieurs figures de femmes dont chacune affiche un rapport différent à la maternité, un petit enfant dérape et entraîne flics, voyous et personnages collatéraux dans une intrigue pleine de rebondissements. Au même titre que la pléiade d'acteurs très convaincants, dont le touchant Pascal Elbé dans le rôle de Papy et l'étonnant Tom d'Ornano qui incarne Malone, la ville du Havre et ses environs, magnifiquement filmés par François Velle, rayonnent et remplissent le contrat.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Paris Match
par Amandine Bourgoin
Une enquête aux multiples rebondissements qui plonge dans les méandres de la mémoire enfantine et qui tient en haleine jusqu'au sixième et dernier épisode de la série.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télé Loisirs
par Claire Lavarenne
Cette adaptation du polar de Michel Bussi ne manque pas d'efficacité, entre fausses pistes et rebondissements. Si vous n'avez pas lu le livre et devinez rapidement le dénouement, franchement chapeau ! La série est servie par un casting solide avec le petit Tom d'Ornano (âgé de 5 ans au moment du tournage), impressionnant par sa retenue et son regard, le couple maudit Anne Charrier/Samuel Theis, Pascal Elbé en flic désabusé et épuisé, et enfin Camille Lou, qui confirme son entrée dans la cour des grands après une première expérience réussie dans Les Bracelets rouges.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
La Croix
par Aude Carasco
Dès le premier épisode, malgré un recours trop appuyé aux artifices du thriller (musique et gros plans inquiétants…) et quelques personnages caricaturaux (les faux parents), le téléspectateur est happé par l’histoire mystérieuse de ce garçonnet, attachant et tourmenté. Si l’intrigue met du temps à se mettre en place, l’adaptation de Véronique Lecharpy convainc par sa narration limpide des multiples rebondissements, la complexité des personnages secondaires (Pascal Elbé, Camille Lou, Ibrahim Koma…) et sa fidélité au roman.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Première
par Nicolas Bellet
Lecteurs de Michel Bussi, pas de panique : la série créée par Véronique Lecharpy et Francois Velle (et réalisée par ce dernier) reprend le plus fidèlement possible la trame du roman (à part peut-être dans sa représentation du personnage d’Angie, jouée par Camille Lou). (…) Malheureusement, comme pour le roman, la série n’évite pas quelques invraisemblances finales, qui laissent un petit goût amer. Elle est même parfois plombée par une réalisation qui n’évite pas quelques clichés (comme ces plans aériens du Havre, filmés par un drone), mais au bout du compte, le parti pris réaliste est assez bienvenu. Et il ne faut pas bouder son plaisir, tant la série, certes classique, est portée par un cast 3 étoiles (Anne Charrier, Camille Lou et Pascal Elbé en tête), qui réussit peu à peu à faire glisser l’intérêt du téléspectateur d’une intrigue policière, vers un drame plus humain.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 2 semaines
par La rédaction
Le scénario [du premier épisode], bien écrit et ficelé, mêle savamment une atmosphère sombre et inquiétante à quelques instants de légèreté.
La critique complète est disponible sur le site Télé 2 semaines
Télérama
par La rédaction
L’écrivain Michel Bussi avait laissé toute latitude à François Velle pour adapter son best-seller, mélange d’intrigue policière, de réflexion sur la mémoire infantile et de peinture sociale. L’essentiel, ou presque, se retrouve dans cette minisérie pleine de bonne volonté mais plombée par des lourdeurs : rythme inégal, rebondissements prévisibles et personnages à la limite de la caricature, dont un méchant comme on n’en fait plus, avec blouson en cuir, tatouages et crâne rasé. Il faut cependant reconnaître à Maman a tort d’avoir su tirer profit de l’architecture si particulière du Havre et de nous faire découvrir une Normandie ouvrière, minière (oui, il y a des mines en Normandie !), rarement représentée à l’écran. Les images, séduisantes, et les performances honorables des acteurs devraient réussir à embarquer les téléspectateurs les plus indulgents jusqu’au dénouement.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Parisien
La qualité de l’image, le jeu subtil des comédiens (dont Anne Charrier), un polar multi-facettes, les méandres de la mémoire, la maternité… Il y a mille raisons de regarder ce mercredi soir sur France 2 le début de la série Maman a tort, adaptée du roman de Michel Bussi paru en mai 2016.
Télé 7 Jours
Un polar troublant et captivant avec pour toile de fond une réalité sociale désespérante, servi par une pléiade de comédiens au top et de magnifiques images du Havre signées François Velle, le fils de Louis.
L'Obs
Dans cet univers quotidien habité par plusieurs figures de femmes dont chacune affiche un rapport différent à la maternité, un petit enfant dérape et entraîne flics, voyous et personnages collatéraux dans une intrigue pleine de rebondissements. Au même titre que la pléiade d'acteurs très convaincants, dont le touchant Pascal Elbé dans le rôle de Papy et l'étonnant Tom d'Ornano qui incarne Malone, la ville du Havre et ses environs, magnifiquement filmés par François Velle, rayonnent et remplissent le contrat.
Paris Match
Une enquête aux multiples rebondissements qui plonge dans les méandres de la mémoire enfantine et qui tient en haleine jusqu'au sixième et dernier épisode de la série.
Télé Loisirs
Cette adaptation du polar de Michel Bussi ne manque pas d'efficacité, entre fausses pistes et rebondissements. Si vous n'avez pas lu le livre et devinez rapidement le dénouement, franchement chapeau ! La série est servie par un casting solide avec le petit Tom d'Ornano (âgé de 5 ans au moment du tournage), impressionnant par sa retenue et son regard, le couple maudit Anne Charrier/Samuel Theis, Pascal Elbé en flic désabusé et épuisé, et enfin Camille Lou, qui confirme son entrée dans la cour des grands après une première expérience réussie dans Les Bracelets rouges.
La Croix
Dès le premier épisode, malgré un recours trop appuyé aux artifices du thriller (musique et gros plans inquiétants…) et quelques personnages caricaturaux (les faux parents), le téléspectateur est happé par l’histoire mystérieuse de ce garçonnet, attachant et tourmenté. Si l’intrigue met du temps à se mettre en place, l’adaptation de Véronique Lecharpy convainc par sa narration limpide des multiples rebondissements, la complexité des personnages secondaires (Pascal Elbé, Camille Lou, Ibrahim Koma…) et sa fidélité au roman.
Première
Lecteurs de Michel Bussi, pas de panique : la série créée par Véronique Lecharpy et Francois Velle (et réalisée par ce dernier) reprend le plus fidèlement possible la trame du roman (à part peut-être dans sa représentation du personnage d’Angie, jouée par Camille Lou). (…) Malheureusement, comme pour le roman, la série n’évite pas quelques invraisemblances finales, qui laissent un petit goût amer. Elle est même parfois plombée par une réalisation qui n’évite pas quelques clichés (comme ces plans aériens du Havre, filmés par un drone), mais au bout du compte, le parti pris réaliste est assez bienvenu. Et il ne faut pas bouder son plaisir, tant la série, certes classique, est portée par un cast 3 étoiles (Anne Charrier, Camille Lou et Pascal Elbé en tête), qui réussit peu à peu à faire glisser l’intérêt du téléspectateur d’une intrigue policière, vers un drame plus humain.
Télé 2 semaines
Le scénario [du premier épisode], bien écrit et ficelé, mêle savamment une atmosphère sombre et inquiétante à quelques instants de légèreté.
Télérama
L’écrivain Michel Bussi avait laissé toute latitude à François Velle pour adapter son best-seller, mélange d’intrigue policière, de réflexion sur la mémoire infantile et de peinture sociale. L’essentiel, ou presque, se retrouve dans cette minisérie pleine de bonne volonté mais plombée par des lourdeurs : rythme inégal, rebondissements prévisibles et personnages à la limite de la caricature, dont un méchant comme on n’en fait plus, avec blouson en cuir, tatouages et crâne rasé. Il faut cependant reconnaître à Maman a tort d’avoir su tirer profit de l’architecture si particulière du Havre et de nous faire découvrir une Normandie ouvrière, minière (oui, il y a des mines en Normandie !), rarement représentée à l’écran. Les images, séduisantes, et les performances honorables des acteurs devraient réussir à embarquer les téléspectateurs les plus indulgents jusqu’au dénouement.