Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
6 critiques presse
Le Point
par Philippe Guedj
Une drogue puissante au carrefour des genres, meilleure encore que les films dont elle s'inspire et dont le charme, même s'il devait s'interrompre demain, aura tout même eu le temps d'imposer sa griffe en trente épisodes de pur bonheur addictif.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Ecran Large
par Christopher Foltzer
Il y a là un côté pathétique flamboyant, propice à tous les quiproquos, entre deux hommes qui n'ont pas réglé leur passé et qui ne voient la réalité que par le prisme de leur propre vanité. Un rapport paranoïaque vs mélancolique qui fonctionne du tonnerre et qui ne cesse de nous étonner.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Première
par Charles Martin
Sans jamais avoir été un fan absolu de Karaté Kid (que je n'avais d'ailleurs pas revu depuis au moins une décennie), on est resté scotché par cette histoire surréaliste, mais tellement cohérente. Indéniablement, cette suite est une adaptation très intelligente, qui sait jouer avec malice du facteur kitsch, tout en ayant réussi à faire évoluer ses personnages de manière plausible et attachante.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé Loisirs
par Nicolas Bellet
Oscillant entre la sitcom, la série ado futile, voire la série d’action, Cobra Kai offre même des scènes de combat (et il en a beaucoup) qui feraient rougir certaines séries actuelles. Même si parfois les combattants font, eux, sourire.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Libération
par Léo Soesanto
Cobra Kai a l’enthousiasme d’un outsider n’ayant rien à perdre. Comme Johnny terrassé par surprise par Daniel via la "technique de la grue" dans le premier Karaté Kid, on n’avait franchement pas vu le coup venir.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Pierre Langlais
Sans prétendre réinventer son modèle, la série joue crânement la carte du mélo sur tatami osant même les flash-back composés d’extraits du premier film. Elle en fait des tonnes sur l’opposition radicale des trajectoires existentielles du blond Lawrence et du brun LaRusso, mais elle tient néanmoins son équilibre entre parodie et hommage.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Point
Une drogue puissante au carrefour des genres, meilleure encore que les films dont elle s'inspire et dont le charme, même s'il devait s'interrompre demain, aura tout même eu le temps d'imposer sa griffe en trente épisodes de pur bonheur addictif.
Ecran Large
Il y a là un côté pathétique flamboyant, propice à tous les quiproquos, entre deux hommes qui n'ont pas réglé leur passé et qui ne voient la réalité que par le prisme de leur propre vanité. Un rapport paranoïaque vs mélancolique qui fonctionne du tonnerre et qui ne cesse de nous étonner.
Première
Sans jamais avoir été un fan absolu de Karaté Kid (que je n'avais d'ailleurs pas revu depuis au moins une décennie), on est resté scotché par cette histoire surréaliste, mais tellement cohérente. Indéniablement, cette suite est une adaptation très intelligente, qui sait jouer avec malice du facteur kitsch, tout en ayant réussi à faire évoluer ses personnages de manière plausible et attachante.
Télé Loisirs
Oscillant entre la sitcom, la série ado futile, voire la série d’action, Cobra Kai offre même des scènes de combat (et il en a beaucoup) qui feraient rougir certaines séries actuelles. Même si parfois les combattants font, eux, sourire.
Libération
Cobra Kai a l’enthousiasme d’un outsider n’ayant rien à perdre. Comme Johnny terrassé par surprise par Daniel via la "technique de la grue" dans le premier Karaté Kid, on n’avait franchement pas vu le coup venir.
Télérama
Sans prétendre réinventer son modèle, la série joue crânement la carte du mélo sur tatami osant même les flash-back composés d’extraits du premier film. Elle en fait des tonnes sur l’opposition radicale des trajectoires existentielles du blond Lawrence et du brun LaRusso, mais elle tient néanmoins son équilibre entre parodie et hommage.