Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
4 critiques presse
Le Parisien
par Sandrine Bajos
Moi, Christiane F. a beau se dérouler il y a plus de cinquante ans, la série, en pointant le mal-être d’une jeunesse malmenée qui a soif de liberté, résonne parfois cruellement avec notre actualité. (...) Du côté des acteurs, tous les ados sont bluffants. A commencer par l’actrice autrichienne Jana McKinnon qui interprète le rôle difficile de Christiane, et crève vraiment l’écran en jouant aussi bien l’innocence de l’enfance que la violence de l’adolescence.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Paris Match
par Claire Stevens
En gommant les repères temporels, ses scénaristes choisissent aussi d’en faire un mythe universel : passé l’innocence de l’enfance, point de salut dans un monde d’adultes à la perversité abyssale. Problème : l’Américain Sam Levinson s’était déjà emparé de ce thème avec « Euphoria », sa série coup de poing de 2019. Polie, rebrodée, « Christiane F. » arrive donc avec un train de retard, et ressemble davantage à un ersatz pop qu’à un sulfureux brûlot.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Lucas Armati
(...) tout au long des trois épisodes que nous avons pu voir, la série semble hésiter entre le conte léger d’une amitié collective et la chronique sociale de ces ados livrés à eux-mêmes. En résulte une étrange sensation de flottement, renforcée par le choix de faire du roman biographique une série chorale, qui ne laisse hélas jamais le temps de s’attacher aux différents personnages.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Inrockuptibles
par Olivier Joyard
Adaptée du bestseller éponyme des années 80, la nouvelle série disponible sur Amazon Prime Video revient sur l’enfance perdue et violentée de son héroïne sans parvenir à l’incarner de façon convaincante.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Le Parisien
Moi, Christiane F. a beau se dérouler il y a plus de cinquante ans, la série, en pointant le mal-être d’une jeunesse malmenée qui a soif de liberté, résonne parfois cruellement avec notre actualité. (...) Du côté des acteurs, tous les ados sont bluffants. A commencer par l’actrice autrichienne Jana McKinnon qui interprète le rôle difficile de Christiane, et crève vraiment l’écran en jouant aussi bien l’innocence de l’enfance que la violence de l’adolescence.
Paris Match
En gommant les repères temporels, ses scénaristes choisissent aussi d’en faire un mythe universel : passé l’innocence de l’enfance, point de salut dans un monde d’adultes à la perversité abyssale. Problème : l’Américain Sam Levinson s’était déjà emparé de ce thème avec « Euphoria », sa série coup de poing de 2019. Polie, rebrodée, « Christiane F. » arrive donc avec un train de retard, et ressemble davantage à un ersatz pop qu’à un sulfureux brûlot.
Télérama
(...) tout au long des trois épisodes que nous avons pu voir, la série semble hésiter entre le conte léger d’une amitié collective et la chronique sociale de ces ados livrés à eux-mêmes. En résulte une étrange sensation de flottement, renforcée par le choix de faire du roman biographique une série chorale, qui ne laisse hélas jamais le temps de s’attacher aux différents personnages.
Les Inrockuptibles
Adaptée du bestseller éponyme des années 80, la nouvelle série disponible sur Amazon Prime Video revient sur l’enfance perdue et violentée de son héroïne sans parvenir à l’incarner de façon convaincante.