Chernobyl
Critiques spectateurs
Critiques presse
Note moyenne
4,6
20709 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
Votre avis sur Chernobyl ?

790 critiques spectateurs

5
478 critiques
4
235 critiques
3
44 critiques
2
13 critiques
1
3 critiques
0
17 critiques
Trier par :
Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
Mouss T.
Mouss T.

6 abonnés 23 critiques Suivre son activité

Critique de la série
2,5
Publiée le 2 avril 2020
Série très bien réalisée et très bons acteurs mais par contre la propagande anti russe dans toute sa splendeur m’a écoeuré. Si seulement le gouvernement américain autorisait à faire le même genre de série concernant les agissements américains en tous genre.
Raw Moon Show
Raw Moon Show

140 abonnés 836 critiques Suivre son activité

Critique de la série
2,0
Publiée le 2 septembre 2021
Titanic est une réussite parce que malgré le sujet (une catastrophe, un fait divers ayant vraiment eu lieu), James Cameron réussit la prouesse de tisser autour du drame inéluctable un conte universel, le bateau devenant métaphore de la société de l'époque (mais de toutes les époques) avec ses parvenus, ses laissés pour compte, ses passe-droits, ses histoires d'amour empêchées par la fatalité, ses musiciens qui jouent leur partition jusqu'au bout du bout pour divertir le peuple (le spectacle quoi, la télévision...) alors que le bateau s'enfonce dans les eaux glacées... Bref tout est sublimé par la vision d'un auteur.

Chernobyl est sombre, glauque, reconstitue de façon soignée une époque, un drame, mais à mon goût ne dépasse jamais le statut du document-fiction, de l'objet créé pour expliquer point par point ce qui s'est produit, ce qu'il est advenu de ces gens sacrifiés les uns après les autres pour sauver l'humanité toute entière... Les personnages deviennent des archétypes qui ne sont là que pour "passer les plats", délivrer des messages, expliquer, décrypter... Chose que des documentaires ont parfaitement réussi par ailleurs... Or le rôle de la fiction est justement de s'adosser au réel pour raconter autre chose, pour sublimer son récit. Chernobyl ne dépasse jamais sa fonction de "documenter" les engrenages et la chronologie de l'horreur. C'est pour cela que j'en suis sorti comme j' y étais entré : un peu plus éclairé, mais pas transporté ni même transformé, juste un peu écoeuré par l'amoncellement d'effets réalistes pour bien décrire les effets de l'irradiation sur les chairs fraîches. Maigre ambition.
anonyme
Un visiteur
Critique de la série
3,5
Publiée le 21 mai 2019
@moi mickael
en anglais il est très bien écrit le titre. Il aurait fallu je pense suivre un peu plus les cours d'anglais à l'époque.
Sinon le doc en lui même est pas trop mal,j'avais déjà regardé 2-3 doc sur cette catastrophe et ça va il fait son job.
Zeu d'Homme
Zeu d'Homme

15 abonnés 23 critiques Suivre son activité

Critique de la série
4,5
Publiée le 4 juin 2019
Je viens de terminer l’épisode 1. Totalement glaçant ! J’ai rarement été aussi angoissé et stressé au visionnage du premier épisode d’une série. C’est extrêmement dérangeant, pas pour tout public et l’on voit dès ce premier épisode la gestion catastrophique de l’événement. C’est en cela que la série semble être de qualité.
J’espère juste que l’on va nous expliquer plus tard en détail l’enchaînement des erreurs ou des évènements qui ont conduit à cette tragédie.
La très dérangeante sensation de cette menace invisible qui irradie et brûle toutes ces personnes est terriblement bien représentée, presque matérialisée au travers du travail des cadres, des ambiances sonores et de lumière. Les scènes de la population qui contemple le « spectacle » sont « poétiquement » abominables.
On a la sensation que tous les personnages qui compose ce terrible drame vont disparaître très rapidement (comme cela a été le cas dans la réalité). Du coup, je me demande si il y aura des personnages centraux dans cette mini-série.
En tout cas, j’ai à la fois hâte et je redoute de voir la suite.
Kiwi98
Kiwi98

270 abonnés 238 critiques Suivre son activité

Critique de la série
4,5
Publiée le 5 juin 2019
Avant d’aborder littéralement, et sous un angle d’un réalisme terrifiant, la catastrophe nucléaire de Tchernobyl, cette mini-série de cinq épisodes s’impose aussi comme un pamphlet tétanisant sur le pouvoir du mensonge, imposant toujours sa domination dans l’URSS des années 1980. Certes, il y a déjà eu le bouleversant documentaire produit par Discovery Channel en 2006, « La Bataille de Tchernobyl », alliant avec brio témoignages et documents d’archives, dépeignant la catastrophe et ses conséquences avec une documentation jamais vue jusqu’alors. Avec une reconstitution fictive, il est vrai, nous étions en droit de craindre le pire, surtout en sachant qu’HBO n’avait pas réellement le droit de se tromper en s’appuyant sur un sujet pareil.

Mais bien sûr, la simple idée de concevoir que tout ce qui nous est montré est vrai suffit à elle seule à provoquer le frisson. Évidemment, nombre d’éléments ont été modifiés, afin de rendre la fiction plus efficace, mais cela n’entache guère la précision, ainsi que la finesse de l’écriture de Craig Mazin (étonnant quand l’on observe la filmographie de ce dernier). Le showrunner offre une série minutieuse, où l’horreur se confond avec l’absurdité du mensonge et où la tension de mêle au réalisme impalpable de la vérité. Car comment mettre en scène ces instants où la réalité dépasse la fiction ? Tournée en grande partie en Lituanie, « Chernobyl » met en exergue l’échec de la communication en tant qu’élément central de la catastrophe : élément déclencheur, il en est également l’éternelle conséquence. Et si cela est montré de manière parfois particulièrement didactique, il n’empêche pas à « Chernobyl » de s’octroyer une résonnance et une richesse dramatique accentuant encore davantage son authenticité et la pertinence de son propos à l’ère actuelle.

La brutalité silencieuse de « Chernobyl » vient aussi bien de sa vraisemblance que de son observation flirtant avec la contemplation. La musique, composée par la violoncelliste islandaise Hildur Guðnadóttir, apporte une véritable violence, où les notes crépitent à tout va, apportant ainsi une réelle ambiance d’horreur invisible. Pendant ce temps, s’enchainent les séquences insoutenables ; pour ne citer que, celle pont de Pripiat, dans le premier épisode, où encore celle des liquidateurs, nettoyant le toit de la centrale des déchets radioactifs pour permettre la construction du sarcophage. Une observation contemplative n’allant nullement à l’encontre d’un véritable cyclone dramatique, mais aussi politique. Car en plaçant Valery Legasov comme personnage principal, « Chernobyl » se risque à un terrain glissant, ici scrupuleusement éviter par une sobre interprétation de Jared Harris. Celui qui a tout fait pour apporter la vérité au monde, se voit confier un vif hommage, relevant notamment la question de la responsabilité.

« Chernobyl » fait intégralement confiance en l’acuité de ses spectateurs. Refusant sans détour les facilités du sensationnalisme et du misérabilisme, la série se place alors au plus près de l’événement, sans jamais se détourner de ses centres d’intérêts. Nous voyons un grand nombre de personnages, dont les intrigues se voient souvent classées sans suite, comme celle des exterminateurs, ou celle de Ludmila, par exemple. Pourquoi laisser ses intrigues inachevées au profit d’un cinquième épisode plus orienter sur la mécanique judiciaire et politique ? Tout simplement car ces petites histoires dans la grande resteront à jamais silencieuses, elles sont les spectres de Tchernobyl, celles qui demeurent et demeureront innommables.

En bref, le fruit d’un travail remarquable, face auquel on ne peut que s’incliner. Posant la problématique du cadrage de la réalité lorsque celle-ci surpasse la fiction, « Chernobyl » compte la folie humaine dans toute son essence, et la manière avec laquelle nous ne pouvons que rester impavide face à la destruction. La question, une fois la série achevée, est la suivante : si cela devait se produire, aujourd’hui, en France en particulier, le scénario serait-il similaire ? On ne peut en tirer qu’une réponse : difficile d’imaginer.

Et surtout, enfin un véritable hommage à celles et ceux qui ont empêché cette ignominie d’avoir des conséquences bien plus désastreuses sur l’ensemble de l’Europe.
Stef P.
Stef P.

24 abonnés 93 critiques Suivre son activité

Critique de la série
4,5
Publiée le 2 juin 2019
Excellente serie sur les évènements de l explosion de la centrale qui fait meme tres peur car c est vraiment arrivé.

Entre la réalité et la fiction de certains personnages, le scénario est tres bien réalisé avec une angoisse de plus en plus opressante au fil des episodes en essayant de croire que tout ca n existe mais malheureusement c est bel et bien et bien vrai, une catastrophe mondiale de la main de l homme, des morts et des maladies même de nos jours en souffrent encore.

less images, la bande son et les acteurs font vraiment le job, une serie digne d un thriller tiré d une histoire vraie.
napo03
napo03

15 abonnés 26 critiques Suivre son activité

Critique de la série
2,5
Publiée le 9 juin 2019
Pas mal, sujet à controverse très intéressant. Série bien réalisée. Cependant attention, cela reste très clairement une série de propagande anti-russe, dommage.
anonyme
Un visiteur
Critique de la série
5,0
Publiée le 16 mai 2019
Quelle série et quelle tension...cette série est la preuve par 100 qu'une série peut être haletante et immersive sans avoir besoin d'une tonne d'effets spéciaux et de sur-jeu des acteurs. Les notes sont juste, le jeu parfait et l'immersion implacable.

On peut croire à plusieurs moment que c'est une fiction tellement c'est tragique et grotesque la façon dont on réagit les dirigeants de cette empire soviétique...On passe du temps a se demander, comment ont-ils pu faire vivre ça à leur "camarade"?.

Finalement on se retrouve face à un documentaire animé par l'histoire des gens qui ont vécu l"Evénement de près comme de loin, des politiques au lambda qui n'a rien demandé à personne, ce qui rend la chose encore plus sensible et éprouvante...

Une série chef d'oeuvre qui nous montre la noirceur d'une partie de l'histoire de notre monde.
lhomme-grenouille
lhomme-grenouille

3 383 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

Critique de la série
4,0
Publiée le 30 septembre 2019
J’avoue que j’y suis allé à reculons vers cette série. Pas de chance pour « HBO » : j’ai un pote qui a fait un séjour y’a pas longtemps du côté de Pripiat et du coup, Tchernobyl, j’en ai bouffé en long, en large et en travers. Je me suis même un peu documenté dans la foulée, c’est donc dire si, pour moi, cet appel à l’exotisme et à la curiosité que pouvait susciter cette série sur certain n’avait vraiment aucun effet sur moi. Mais bon, suite aux nombreux retours élogieux, je m’y suis quand même risqué, et je dois bien reconnaître que cette série à vraiment bien fonctionné sur moi. Pourtant elle en a des défauts cette « Chernobyl » et pas des moindres. La plus importante tient pour moi dans le ton général donné à cette intrigue. Outre le fait que tous les acteurs soient Américains et parlent anglais, leurs attitudes, leurs réactions, leurs dialogues sont ceux d’Américains. Pas ceux d’Ukrainiens vivant en 1986 dans l’URSS de Gorbatchev. Deux symptômes assez forts de cette tendance : d’abord l’interprétation de Con O’Neil très « famille Ewing à la tête de son empire du pétrole », ou bien encore cette scène de procès final que j’ai vraiment eu du mal à trouver crédible. Du coup j’ai davantage eu l’impression de regarder une série qui parlait de l’incident de Three Miles Island (toute proportion confondue) plutôt que de celui de Chernobyl. Enfin, l’autre gros souci tient pour moi à la création pure et simple du personnage d’Ulana Khomyuk. Le générique de fin nous dit qu’elle a été créée pour rendre hommage à tous ces scientifiques qui, dans l’ombre, ont aidé Valery Legassov. Sauf que… Eh bah c’est quand même une sacrée entorse à la réalité des événements qui est faite là ! Et ça pour moi ça pose un sérieux problème dans l’esprit de reconstitution et de pédagogie minutieuse dans lequel se lance cette série. Et d’autre part ça m’amène à questionner les vraies raisons de cet ajout. S’agitait-il vraiment de rendre hommage à des anonymes ou bien au contraire de féminiser un casting trop masculin pour une série post #metoo ? Pour le coup, ça jette un doute sur l’intégrité des scénaristes quant à leur volonté de retranscrire fidèlement les époques et les évènements. Et c’est dommage car ce sont là des imperfections évitables qui viennent nuire quelque-peu à la qualité de cette série qui – au-delà de ça – n’en demeure pas moins remarquable. J’avoue que, pour ma part, je tire particulièrement mon chapeau aux scénaristes. L’écriture est impeccable. Tous les choix tapent juste. D’abord le format : mini-série de cinq épisodes. Pas trop long. Parfait. Mais aussi la manière d’enchaîner les événements et les révélations. Je trouve notamment particulièrement judicieux de commencer avec l’explosion et de la vivre à hauteur d’humains – j’entends par là de civils. Certes on fait bien un tour à l’intérieur de la salle des commandes, mais on n’en sait pas trop. On voit juste le déni. On comprend que quelque-chose ne s’est pas passé comme prévu. Tout ça, les explications, on les garde pour la fin, et je trouve ça juste brillant. Et cela pour deux raisons. La première c’est parce que le fait de ne pas savoir nous met dans la situation d’urgence et d’ignorance des gens de l’époque. Le mystère n’en rend la menace que plus effrayante. La seconde, c’est parce que cela permet de doubler le cheminement de la série catastrophe d’une dimension propre au polar : mais au fond que s’est-il vraiment passé ? Qui est coupable de quoi ? Le dernier épisode parvient ainsi, comme un bon polar, à non seulement donner toutes les réponses mais aussi à nous faire revivre la tragédie du premier épisode, mais ce coup-ci au travers d’un œil plus avisé. Habile. Efficace. La boucle est bouclée. Tout est dit. J’adore. Mais si cette écriture fonctionne aussi bien c’est parce que d’autres choix judicieux ont su faire mouche. La mise en scène d’abord. Sobre. Pas de musique. Juste la force évocatrice des images. D’ailleurs, à ce sujet-là, chapeau. La variété des points de vue, au sol, hélicoptère, et même quelques paysages tournés au drone permettent de prendre conscience de l’impact spatial de la catastrophe. Pour le coup cette série parvient parfaitement à nous faire ressentir la puissance apocalyptique de cet événement. On y retrouve toutes les composantes d’un film où une super-puissance mobilise toutes ses ressources sans compter contre un ennemi face auquel on ne peut pas se permettre de perdre. Sur cet aspect là, pour moi, c’est une totale réussite. Et enfin, dernier point fort, c’est pour moi le casting. Même si je reste sur mon aigreur d’un jeu très américain, je trouve que certains personnages fonctionnent remarquablement bien. Ma palme va notamment à Paul Ritter qui incarne un merveilleux Dyatlov, et puis un petit prix spécial pour Stellen Skarsgard qui, au final, se révèle convaincant. Vous l’aurez donc compris, l’un dans l’autre, je suis conquis par cette courte et belle expérience que constitue ce « Chernobyl ». Et si je me montre aussi scrupuleux à son égard c’est aussi parce que sa proposition d’ensemble était tellement remarquable que j’en regrette d’autant plus qu’elle échappe à la perfection. En tout cas chapeau bas à HBO. Pour ceux qui se demandaient ce qu’ils allaient faire après « Game of Thrones », il me semble qu’on tient là un modèle encourageant pour la suite.
soniadidierkmurgia
soniadidierkmurgia

1 226 abonnés 4 205 critiques Suivre son activité

Critique de la série
5,0
Publiée le 6 août 2019
Désormais plus rien n'échappe à l'œil aiguisé des producteurs de séries télévisées. Des sujets les plus légers aux exploits des comics heroes en passant par les sujets historiques. La catastrophe de Tchernobyl survenue en Ukraine le 26 avril 1986 et dont Mikhaïl Gorbatchev lui-même affirma qu'elle avait été un accélérateur de la dissolution de l'Union Soviétique survenue le 26 décembre 1991, constituait tout naturellement un sujet formidable compte tenu du contexte actuel qui n'engendre pas à l'optimisme. Sur commande de la chaîne HBO, c'est le scénariste américain Craig Mazin jusqu'alors spécialisé dans la science-fiction et la comédie qui s'atèle à la tâche. Il lui faut marcher sur le fil étroit tendu entre la charge antisoviétique qui sera forcément observée à la loupe et l'objectivité destinée à alerter les spectateurs sur le terrible jeu d'apprenti sorcier qui a amené les grandes puissances à accorder une confiance parfois aveugle à l'atome. Le pari est largement réussi, la minisérie de cinq épisodes restant tout à la fois crédible en ménageant un suspense insoutenable quant à la manière dont la bureaucratie soviétique a pu conduire à la catastrophe que l'on connait tout en parvenant à préserver l'essentiel grâce aux sacrifices d'un peuple dont l'histoire le plus souvent tragique a montrer son courage et sa formidable résilience. La vision proposée par HBO pouvait difficilement échapper à la polémique et celle-ci a bien eu lieu au point que la chaîne publique russe NTV a rapidement annoncé une version alternative. Toutefois "Chernobyl" formidablement scénarisée, filmée (les décors naturels trouvés en Lituanie sont particulièrement réalistes et inquiétants) et interprétée (mentions spéciales à Stellan Skarsgard, Emily Watson et Jared Harris) démontre une nouvelle fois la formidable créativité des chaînes de télévision américaines qui parviennent à proposer à flux continu des œuvres d'une qualité qui compense avec bonheur le peu de recherche narrative des blockbusters inspirés des comics Marvel ou DC. A voir d'urgence pour les retardataires.
Uchroniqueur
Uchroniqueur

169 abonnés 2 392 critiques Suivre son activité

Critique de la série
4,0
Publiée le 29 mars 2022
"Chernobyl", mini-série historique britannico-américaine en cinq épisodes créée et écrite par Craig Mazin, réalisée par Johan Renck et diffusée en 2019. Un récit de la catastrophe nucléaire survenue dans la centrale V. I. Lénine de Tchernobyl en 1986 dans la République socialiste soviétique d'Ukraine. Un récit clair et précis heure par heure et jour par jour des événements. Une bonne reconstitution. Une réalisation de qualité. Quelques petites libertés prises avec les faits ou les personnages, mais une bonne documentation des événements. Une série qui ne se perd en romances ou intrigues parallèles, ce qui est d'ailleurs la grande qualité des mini-séries, contrairement aux séries. Une bonne mini-série en 5 épisodes, instructive et très bien faite.
Oeil HORUS
Oeil HORUS

78 abonnés 677 critiques Suivre son activité

Critique de la série
5,0
Publiée le 4 avril 2022
Cela fait Mathusalem que j'ai pas regardé une série qui s'approche du Chef d'oeuvre !! Je suis captivé par ce que mes yeux ont vu.. Pour la première fois j'ai ressenti le malaise de cette catastrophe comme si j'étais sur place entrain de subir avec eux ce qu'il leur arrive. La scene est pesante lourde et parfois malsaine car il y a de quoi vu le contexte.. La pellicule montre comme du grain un peu poisseux et poussiéreuse qui incite la aussi a prendre ses gants et son masque , la lumière photographique est sublime j'en ressent les émanations radioactives jusqu'a chez moi. Carton plein pour ce petit bijoux qui donne envie de le revoir et de s'émouvoir. Bravo
Nigivir G
Nigivir G

15 abonnés 51 critiques Suivre son activité

Critique de la série
5,0
Publiée le 11 juin 2019
Rien à dire . Série poignante , saisissante et surtout une vérité et dénonciation des secrets et les dessous de Tchernobyl et comment l’ex URSS a essayé d’étouffer les fautes humaines .... a voir absolument
Elisa L
Elisa L

5 abonnés 2 critiques Suivre son activité

Critique de la série
5,0
Publiée le 12 juin 2019
Excellentissime. J'ai rarement vu une série aussi émouvante et bien construite que Chernobyl. Cette série devrait être regardée par tout le monde pour le devoir de mémoire.
dragoyo
dragoyo

115 abonnés 781 critiques Suivre son activité

Critique de la série
4,0
Publiée le 22 juin 2019
4/5 Très bien. Une série qui soulève beaucoup de questions dans l’esprit du spectateur. Interessante et très fidèle à la réalité malgré quelques différences principalement dues à l’adaptation. On est tenu en haleine 5 épisodes durant et le dernier épisode est vraiment top pour boucler le tout. Captivant, étonnant, on ne peut rester indifférent devant cette histoire. Très bon !