Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
3 critiques presse
Le Monde
par Pierre Serisier
La subtilité de Kosminsky est de montrer combien l’intégrisme cherche à apparaître inclusif dans un monde qui ne cesse d’exclure, de déclasser (…) la glorification de la destruction est ce qui permet à la série de Peter Kosminsky d’éviter le piège de la complaisance, sans pour autant tomber dans la dénonciation qui ne prendrait en compte que le point de vue des Occidentaux.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télé Loisirs
par Anne Lenoir
Entre les mains de Peter Kosminsky, à qui l'on doit notamment les excellentes fictions Warriors ou Le Serment, l'œuvre ne pouvait qu'être palpitante et saisissante. On n'est nullement déçu, bien au contraire. Fruit de 18 mois de recherches aussi intensives qu'approfondies, ce travail est une plongée hyper réaliste, aux images parfois ahurissantes.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
L'Obs
par Sophie Grassin
Les deux premiers épisodes souffrent d’un effet de balancier : d'un côté, l'apprentissage des femmes (…) De l'autre, l'endoctrinement des hommes. Tout le monde a beau s'appeler "frère" et "sœur" dans cet Etat apparemment dépourvu de hiérarchie.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
La subtilité de Kosminsky est de montrer combien l’intégrisme cherche à apparaître inclusif dans un monde qui ne cesse d’exclure, de déclasser (…) la glorification de la destruction est ce qui permet à la série de Peter Kosminsky d’éviter le piège de la complaisance, sans pour autant tomber dans la dénonciation qui ne prendrait en compte que le point de vue des Occidentaux.
Télé Loisirs
Entre les mains de Peter Kosminsky, à qui l'on doit notamment les excellentes fictions Warriors ou Le Serment, l'œuvre ne pouvait qu'être palpitante et saisissante. On n'est nullement déçu, bien au contraire. Fruit de 18 mois de recherches aussi intensives qu'approfondies, ce travail est une plongée hyper réaliste, aux images parfois ahurissantes.
L'Obs
Les deux premiers épisodes souffrent d’un effet de balancier : d'un côté, l'apprentissage des femmes (…) De l'autre, l'endoctrinement des hommes. Tout le monde a beau s'appeler "frère" et "sœur" dans cet Etat apparemment dépourvu de hiérarchie.