Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
Slate
par Karen Han
Une merveilleuse vitrine pour Omar Sy qui insuffle une nouvelle vie à un personnage littéraire rendu accessible à tous tout en rendant les rebondissements de l’histoire imprévisibles pour les fanatiques de Lupin. La série ne gaspille pas une seule minute en enchaînant les moments à suspense. Tous ces éléments font de la série l’un des premiers prétendants au classement des meilleurs shows de l’année.
La critique complète est disponible sur le site Slate
Première
par Pierre Lunn
Netflix modernise intelligemment le mythe d’Arsène Lupin avec un Omar impérial en gentleman cambrioleur obsédé par sa soif de vengeance. Le scénariste anglais George Kay (à qui l'on doit l'anthologie Criminal, déjà sur Netflix) a donc imaginé un héritier d’Arsène, avec gadgets et technologies, un cambrioleur à la morale rebelle et à l’intelligence fluide. Sexy, smart et contemporain.
La critique complète est disponible sur le site Première
Variety
par Daniel D'Addario
Avec un poids émotionnel fort, les exploits extraordinaires de Lupin […] résonnent d’autant plus. Au moment où la série arrive à son cinquième et dernier épisode, la tension et le courage du personnage principal rappellent Bodyguard et le cliffhanger donnera envie aux spectateurs qui ont fait le voyage d’en savoir plus.
La critique complète est disponible sur le site Variety
Les Echos
par Laura Berny
En revisitant un célèbre personnage de la littérature hexagonale, Netflix tient peut-être (enfin) son premier grand succès made in France. La plateforme de streaming n'a pas ménagé ses efforts, en tout cas, pour mettre en scène un héros qui pourrait plaire, au-delà même des frontières.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Vanity Fair
par Norine Raja
À une époque où l’on se plaint des recyclages en tout genre, Lupin a au moins le mérite de tenter de réinventer le mythe, en s'attaquant à des sujets peu évoqués dans la fiction française. Dommage que la question de l'identité et de la discrimination soit ici traitée en surface ou à travers des situations trop stéréotypées.
La critique complète est disponible sur le site Vanity Fair
Le Figaro
par Constance Jamet
Avec Lupin : dans l’ombre d’Arsène, Netflix s’essaye aussi à l’art de la transplantation en misant, non sur une modernisation, mais sur une mise en abyme. Le résultat en met certes plein la vue mais manque à la fois d’élégance et de transgression. Le gentleman cambrioleur se transforme en gentil prestidigitateur.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Critikat.com
par Bastien Gens
Dissimuler Omar Sy, voilà un enjeu de taille quand on mesure la carrure et le charisme physique de l’acteur [...], mais le spectateur, pas dupe des illusions créées par le héros, est cependant pris au piège : jusqu’où sera-t-il prêt à accepter les invraisemblances qui lui sont proposées ?
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Point
par Philippe Guedj
Les scénaristes adaptent Leblanc, mais ils auraient dû aussi relire Shakespeare, qui rappelait toujours que les fictions les plus crédibles sont celles qui soignent leurs seconds couteaux. Ici, hélas, pas de fine lame et, en l'absence de protagonistes avec assez de chair (Assane Diop en tête), le spectateur a du mal à savourer ces péripéties bien frugales en crédibilité.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Slate
Une merveilleuse vitrine pour Omar Sy qui insuffle une nouvelle vie à un personnage littéraire rendu accessible à tous tout en rendant les rebondissements de l’histoire imprévisibles pour les fanatiques de Lupin. La série ne gaspille pas une seule minute en enchaînant les moments à suspense. Tous ces éléments font de la série l’un des premiers prétendants au classement des meilleurs shows de l’année.
Première
Netflix modernise intelligemment le mythe d’Arsène Lupin avec un Omar impérial en gentleman cambrioleur obsédé par sa soif de vengeance. Le scénariste anglais George Kay (à qui l'on doit l'anthologie Criminal, déjà sur Netflix) a donc imaginé un héritier d’Arsène, avec gadgets et technologies, un cambrioleur à la morale rebelle et à l’intelligence fluide. Sexy, smart et contemporain.
Variety
Avec un poids émotionnel fort, les exploits extraordinaires de Lupin […] résonnent d’autant plus. Au moment où la série arrive à son cinquième et dernier épisode, la tension et le courage du personnage principal rappellent Bodyguard et le cliffhanger donnera envie aux spectateurs qui ont fait le voyage d’en savoir plus.
Les Echos
En revisitant un célèbre personnage de la littérature hexagonale, Netflix tient peut-être (enfin) son premier grand succès made in France. La plateforme de streaming n'a pas ménagé ses efforts, en tout cas, pour mettre en scène un héros qui pourrait plaire, au-delà même des frontières.
Vanity Fair
À une époque où l’on se plaint des recyclages en tout genre, Lupin a au moins le mérite de tenter de réinventer le mythe, en s'attaquant à des sujets peu évoqués dans la fiction française. Dommage que la question de l'identité et de la discrimination soit ici traitée en surface ou à travers des situations trop stéréotypées.
Le Figaro
Avec Lupin : dans l’ombre d’Arsène, Netflix s’essaye aussi à l’art de la transplantation en misant, non sur une modernisation, mais sur une mise en abyme. Le résultat en met certes plein la vue mais manque à la fois d’élégance et de transgression. Le gentleman cambrioleur se transforme en gentil prestidigitateur.
Critikat.com
Dissimuler Omar Sy, voilà un enjeu de taille quand on mesure la carrure et le charisme physique de l’acteur [...], mais le spectateur, pas dupe des illusions créées par le héros, est cependant pris au piège : jusqu’où sera-t-il prêt à accepter les invraisemblances qui lui sont proposées ?
Le Point
Les scénaristes adaptent Leblanc, mais ils auraient dû aussi relire Shakespeare, qui rappelait toujours que les fictions les plus crédibles sont celles qui soignent leurs seconds couteaux. Ici, hélas, pas de fine lame et, en l'absence de protagonistes avec assez de chair (Assane Diop en tête), le spectateur a du mal à savourer ces péripéties bien frugales en crédibilité.