Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
RogerEbert.com
par Brian Tallerico
Le premier épisode met du temps à démarrer et certains traits d’humour et de dialogues modernisés tombent à plat, mais une fois l’action lancée à la fin du pilote, il vous sera presque impossible ne pas regarder le second épisode.
La critique complète est disponible sur le site RogerEbert.com
Télé Loisirs
par Florian Lautré
A n’en pas douter, Dracula est la fiction qui vous tiendra en haleine et vous fera sursauter sur votre canapé en ce début d’année !
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Ouest France
par Alexis Boisselier
Avec aux manettes les britanniques Steven Moffat et Mark Gatiss, connus pour avoir créé la très bonne série Sherlock, Dracula ressemble à un conte inquiétant dans lequel on se laisse entraîner, malgré quelques passages un peu naïfs et un jeu d’acteur parfois caricatural. En revanche, l’humour très british apporte un peu de légèreté.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Ecran Large
par Simon Riaux
En l’état, on se demande si Dracula est trop long ou trop court, s’il tire à la ligne ou déborde. Sans aucun doute l’expérience proposée est-elle frustrante, sa sanglante cascade un peu trop coagulée. Mais le dédale cadavéreux proposé par Moffat et Gatiss a le mérite de sa folle générosité et l’audace d’une canine trop aiguisée. On aurait tort de s’en priver.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Libération
par Marius Chapuis
Plutôt plaisant dans sa façon de triturer le mythe, de changer quelques ingrédients, cette première livraison reste néanmoins confite dans un conservatisme bon teint.
La critique complète est disponible sur le site Libération
TV Guide
par Tim Surette
Dommage que l’épisode final soit aussi mauvais, car le premier est vraiment fantasmafique !
La critique complète est disponible sur le site TV Guide
Brain Damaged
par Asma El Mardi
Dracula rate son coche scénaristique : parfois comédie, parfois nanar gore et pittoresque, souvent lassante, la série que les showrunners voulaient certainement comme un cross-over de genres, flirte avec la limite de la pastiche du mythe du vampire.
La critique complète est disponible sur le site Brain Damaged
Télérama
par Cécile Mury
Après une introduction délicieusement gothique et truffée de références cinéphiles aux vampires de jadis (mention spéciale à Christopher Lee), dans un vieux château inquiétant à souhait, la fête macabre prend un tour… plus inattendu, dans la veine du grand-guignol à l’anglaise, ces Penny Dreadful, anthologies d’horreur baroque de l’époque victorienne.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
RogerEbert.com
Le premier épisode met du temps à démarrer et certains traits d’humour et de dialogues modernisés tombent à plat, mais une fois l’action lancée à la fin du pilote, il vous sera presque impossible ne pas regarder le second épisode.
Télé Loisirs
A n’en pas douter, Dracula est la fiction qui vous tiendra en haleine et vous fera sursauter sur votre canapé en ce début d’année !
Ouest France
Avec aux manettes les britanniques Steven Moffat et Mark Gatiss, connus pour avoir créé la très bonne série Sherlock, Dracula ressemble à un conte inquiétant dans lequel on se laisse entraîner, malgré quelques passages un peu naïfs et un jeu d’acteur parfois caricatural. En revanche, l’humour très british apporte un peu de légèreté.
Ecran Large
En l’état, on se demande si Dracula est trop long ou trop court, s’il tire à la ligne ou déborde. Sans aucun doute l’expérience proposée est-elle frustrante, sa sanglante cascade un peu trop coagulée. Mais le dédale cadavéreux proposé par Moffat et Gatiss a le mérite de sa folle générosité et l’audace d’une canine trop aiguisée. On aurait tort de s’en priver.
Libération
Plutôt plaisant dans sa façon de triturer le mythe, de changer quelques ingrédients, cette première livraison reste néanmoins confite dans un conservatisme bon teint.
TV Guide
Dommage que l’épisode final soit aussi mauvais, car le premier est vraiment fantasmafique !
Brain Damaged
Dracula rate son coche scénaristique : parfois comédie, parfois nanar gore et pittoresque, souvent lassante, la série que les showrunners voulaient certainement comme un cross-over de genres, flirte avec la limite de la pastiche du mythe du vampire.
Télérama
Après une introduction délicieusement gothique et truffée de références cinéphiles aux vampires de jadis (mention spéciale à Christopher Lee), dans un vieux château inquiétant à souhait, la fête macabre prend un tour… plus inattendu, dans la veine du grand-guignol à l’anglaise, ces Penny Dreadful, anthologies d’horreur baroque de l’époque victorienne.