Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Le Parisien
par La rédaction
Sensation du printemps outre-Atlantique, la série Killing Eve a profité d'un bouche-à-oreille efficace puisque chaque épisode a vu ses audiences augmenter par rapport au précédent. Un succès mérité. Car cette série aux héroïnes féminines décoiffantes nous a beaucoup séduits. (…) Le jeu du chat et de la souris qui se dessine entre les deux femmes est un bonheur.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Brain Damaged
par Asma El Mardi
Avec une réalisation stylisée et léchée, dans des décors réels, que ce soit à Paris, Londres, Vienne ou l’Italie, Killing Eve s’impose dès le pilote comme une série à suivre, qui pourrait bien être un grand cru des nouveautés 2018. Portée par des performances d’actrices remarquables, tant côté Oh que Comer, une narration maîtrisée et immersive, Killing Eve est une série qui est certaine d’offrir une vision féministe et féminine aux antipodes des thrillers classiques de la télévision, pour une intrigue qui devrait être palpitante et passionner ses spectateurs.
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Critictoo
par Maxime
Au bout de sa première saison, Killing Eve a déjà tout d’une grande. Sobre et élégante, intense et novatrice, elle ne cherche pas à réinventer le genre, elle le réécrit à sa sauce sans oublier le plus important, ses personnages. Après huit épisodes, le plaisir est total, la prise de risque justifiée et le manque va être dur à combler en attendant une seconde chasse à la femme confirmée.
La critique complète est disponible sur le site Critictoo
Ecran Large
par Alexandre Janowiak
Si elle bénéficie d'une superbe ambiance, d'un scénario solide (bien qu'un peu téléphoné) et d'une mise en scène raffinée, la série BBC de Phoebe Waller-Bridge peut surtout s'appuyer sur ses deux actrices principales : Sandra Oh et Jodie Comer. (…) véritable révélation du show et du monde des séries cette année. Si elle est encore inconnue du grand public, elle devrait voir beaucoup de portes s'ouvrir dans les mois à venir. Un futur succès qui serait amplement mérité puisque Jodie Comer est la meilleure raison de regarder Killing Eve.
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Elle
par Paul Sigognac
Imaginée par la désopilante Phoebe Waller-Bridge (Fleabag) et adaptée d’une série de nouvelles de Luke Jennings (Codename Villanelle), Killing Eve, duel lesbien et meurtrier, est une tuerie !
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L'Humanité
par Marianne Behar
Un thriller d’espionnage avec une distribution remarquable qui pose avec intelligence la question du genre.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Fiches du Cinéma
par Anne Héligon
En compétition le printemps dernier à Canneseries, cette production de BBC America est repartie bredouille mais n’a pas laissé les critiques indifférents. En effet, Killing Eve est un savoureux mélange d’espionnage, de suspense, d’humour et de féminisme !
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
La nouvelle série de la créatrice de "Fleabag" est bien partie pour être l'une des meilleures séries de l'année. A la fois féministe, drôle, captivante et magnifiquement écrite, elle dépoussière complètement le genre du thriller psychologique.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Charles Martin
Changeant totalement de registre, Phoebe Waller-Bridge confirme avec audace, en se lançant dans le thriller d'espionnage avec la même volonté d'innover, de renouveler le genre. Mission réussie, grâce, encore, à ses deux personnages féminins incroyablement forts.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé Loisirs
par Albin Duvert
Un face à face fascinant entre deux héroïnes radicalement opposées. (…) La série marque le grand retour de Sandra Oh à la télévision depuis Grey's Anatomy, mais consacre surtout Jodie Comer (Doctor Foster, Thirteen), stupéfiante dans le rôle ambigu de la meurtrière démente, manipulatrice et séductrice. Pleine de suspense, de rebondissements inattendus et d'humour grinçant, Killing Eve est sans doute l'une des meilleures surprises de cette rentrée !
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
20 Minutes
par Vincent Julé
La série reste ainsi à l’image de sa créatrice, à la fois enlevée et profonde. Car il ne s’agit pas seulement de la rencontre entre une espionne et une tueuse, mais aussi entre deux femmes, deux générations, deux mondes.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Le Figaro Magazine
par La rédaction
La série d’espionnage sardonique, coup de cœur du public et de la critique à CanneSéries, offre enfin à Sandra Oh, l’inoubliable Dr Yang de Grey’s Anatomy , le premier rôle de sa carrière.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro Magazine
Le Monde
par Pierre Sérisier
C‘est une histoire de femmes avec un parfum presque inconnu. Non que le rôle de tueur à gages soit réservé aux hommes mais Killing Eve a un petit quelque chose qui n’a pas été considéré avec toute l’attention nécessaire jusqu’à présent : l’idée que la violence physique, crue et déroutante n’est pas un privilège exclusif de la masculinité et que le féminisme c’est aussi le pouvoir de ne respecter ni la retenue, ni la discrétion qu’on attend des femmes. Tout dépend de la personne et les personnages de Phoebe Waller-Bridge, la créatrice de cette nouvelle série de BBC America, ne s’excusent pas d’être qui elles sont.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télé 2 semaines
par La rédaction
Cette série, qui réactualise les codes de l'enquête policière, bénéficie d'une bonne intrigue, avec de l'humour et du suspense.
La critique complète est disponible sur le site Télé 2 semaines
Télé 7 Jours
par Frédérick Rapilly
Qui attrapera qui ? Qui séduira qui ? Thriller ou histoire d'amour ? Dans ce chassé-croisé entre deux femmes fascinées l'une par l'autre, une tueuse implacable et une bureaucrate qui se découvre des talents d'agent secret, l'humour est toujours présent alors que le fond de cette série lorgne plutôt du côté de la noirceur Nikita. Tant mieux, car c'est aussi tordu que suprenant à suivre.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Télérama
par Pierre Langlais
Après la comédie dramatique Fleabag, portrait intimiste grinçant et émouvant, Phoebe Waller-Bridge, scénariste anglaise surdouée, s’essaye au thriller. Elle s’approprie les codes du genre dans un suspense hyper efficace, relevé par une bonne dose d’humour noir, qui assume crânement ses excès. Surtout, elle imagine deux personnages féminins atypiques, balaye subtilement les stéréotypes de genre et bouscule les rôles traditionnellement attachés aux femmes et aux hommes. Killing Eve s’impose immédiatement comme un divertissement haut de gamme, prenant, porté par deux formidables comédiennes (Sandra Oh, Grey’s Anatomy, et Jodie Comer, Doctor Foster). Et qui, l’air de rien, renouvelle brillamment le thriller d’espionnage.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
par Igor Hansen-Love
Killing Eve est une sorte de Mission impossible féminin et féministe ; Tom Cruise en moins et l'humour politiquement incorrect en plus. A la tête du scénario, la jeune auteure anglaise de 33 ans Phoebe Waller-Bridge (Crashing, Fleabag) ne parvient pas à éviter les clichés culturels internationaux (les Italiens aiment le vin, les Allemands écoutent de la techno et - attention - les Français font régulièrement l'amour à trois), mais, indéniablement, sa formule mêlant comédie moderne et action pétaradante est habilement pensée. Décidément, Phoebe Waller-Bridge est un grand espoir de la fiction britannique. En attendant, ces huit épisodes constituent un divertissement dispensable... loin d'être désagréable.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Parisien
Sensation du printemps outre-Atlantique, la série Killing Eve a profité d'un bouche-à-oreille efficace puisque chaque épisode a vu ses audiences augmenter par rapport au précédent. Un succès mérité. Car cette série aux héroïnes féminines décoiffantes nous a beaucoup séduits. (…) Le jeu du chat et de la souris qui se dessine entre les deux femmes est un bonheur.
Brain Damaged
Avec une réalisation stylisée et léchée, dans des décors réels, que ce soit à Paris, Londres, Vienne ou l’Italie, Killing Eve s’impose dès le pilote comme une série à suivre, qui pourrait bien être un grand cru des nouveautés 2018. Portée par des performances d’actrices remarquables, tant côté Oh que Comer, une narration maîtrisée et immersive, Killing Eve est une série qui est certaine d’offrir une vision féministe et féminine aux antipodes des thrillers classiques de la télévision, pour une intrigue qui devrait être palpitante et passionner ses spectateurs.
Critictoo
Au bout de sa première saison, Killing Eve a déjà tout d’une grande. Sobre et élégante, intense et novatrice, elle ne cherche pas à réinventer le genre, elle le réécrit à sa sauce sans oublier le plus important, ses personnages. Après huit épisodes, le plaisir est total, la prise de risque justifiée et le manque va être dur à combler en attendant une seconde chasse à la femme confirmée.
Ecran Large
Si elle bénéficie d'une superbe ambiance, d'un scénario solide (bien qu'un peu téléphoné) et d'une mise en scène raffinée, la série BBC de Phoebe Waller-Bridge peut surtout s'appuyer sur ses deux actrices principales : Sandra Oh et Jodie Comer. (…) véritable révélation du show et du monde des séries cette année. Si elle est encore inconnue du grand public, elle devrait voir beaucoup de portes s'ouvrir dans les mois à venir. Un futur succès qui serait amplement mérité puisque Jodie Comer est la meilleure raison de regarder Killing Eve.
Elle
Imaginée par la désopilante Phoebe Waller-Bridge (Fleabag) et adaptée d’une série de nouvelles de Luke Jennings (Codename Villanelle), Killing Eve, duel lesbien et meurtrier, est une tuerie !
L'Humanité
Un thriller d’espionnage avec une distribution remarquable qui pose avec intelligence la question du genre.
Les Fiches du Cinéma
En compétition le printemps dernier à Canneseries, cette production de BBC America est repartie bredouille mais n’a pas laissé les critiques indifférents. En effet, Killing Eve est un savoureux mélange d’espionnage, de suspense, d’humour et de féminisme !
Les Inrockuptibles
La nouvelle série de la créatrice de "Fleabag" est bien partie pour être l'une des meilleures séries de l'année. A la fois féministe, drôle, captivante et magnifiquement écrite, elle dépoussière complètement le genre du thriller psychologique.
Première
Changeant totalement de registre, Phoebe Waller-Bridge confirme avec audace, en se lançant dans le thriller d'espionnage avec la même volonté d'innover, de renouveler le genre. Mission réussie, grâce, encore, à ses deux personnages féminins incroyablement forts.
Télé Loisirs
Un face à face fascinant entre deux héroïnes radicalement opposées. (…) La série marque le grand retour de Sandra Oh à la télévision depuis Grey's Anatomy, mais consacre surtout Jodie Comer (Doctor Foster, Thirteen), stupéfiante dans le rôle ambigu de la meurtrière démente, manipulatrice et séductrice. Pleine de suspense, de rebondissements inattendus et d'humour grinçant, Killing Eve est sans doute l'une des meilleures surprises de cette rentrée !
20 Minutes
La série reste ainsi à l’image de sa créatrice, à la fois enlevée et profonde. Car il ne s’agit pas seulement de la rencontre entre une espionne et une tueuse, mais aussi entre deux femmes, deux générations, deux mondes.
Le Figaro Magazine
La série d’espionnage sardonique, coup de cœur du public et de la critique à CanneSéries, offre enfin à Sandra Oh, l’inoubliable Dr Yang de Grey’s Anatomy , le premier rôle de sa carrière.
Le Monde
C‘est une histoire de femmes avec un parfum presque inconnu. Non que le rôle de tueur à gages soit réservé aux hommes mais Killing Eve a un petit quelque chose qui n’a pas été considéré avec toute l’attention nécessaire jusqu’à présent : l’idée que la violence physique, crue et déroutante n’est pas un privilège exclusif de la masculinité et que le féminisme c’est aussi le pouvoir de ne respecter ni la retenue, ni la discrétion qu’on attend des femmes. Tout dépend de la personne et les personnages de Phoebe Waller-Bridge, la créatrice de cette nouvelle série de BBC America, ne s’excusent pas d’être qui elles sont.
Télé 2 semaines
Cette série, qui réactualise les codes de l'enquête policière, bénéficie d'une bonne intrigue, avec de l'humour et du suspense.
Télé 7 Jours
Qui attrapera qui ? Qui séduira qui ? Thriller ou histoire d'amour ? Dans ce chassé-croisé entre deux femmes fascinées l'une par l'autre, une tueuse implacable et une bureaucrate qui se découvre des talents d'agent secret, l'humour est toujours présent alors que le fond de cette série lorgne plutôt du côté de la noirceur Nikita. Tant mieux, car c'est aussi tordu que suprenant à suivre.
Télérama
Après la comédie dramatique Fleabag, portrait intimiste grinçant et émouvant, Phoebe Waller-Bridge, scénariste anglaise surdouée, s’essaye au thriller. Elle s’approprie les codes du genre dans un suspense hyper efficace, relevé par une bonne dose d’humour noir, qui assume crânement ses excès. Surtout, elle imagine deux personnages féminins atypiques, balaye subtilement les stéréotypes de genre et bouscule les rôles traditionnellement attachés aux femmes et aux hommes. Killing Eve s’impose immédiatement comme un divertissement haut de gamme, prenant, porté par deux formidables comédiennes (Sandra Oh, Grey’s Anatomy, et Jodie Comer, Doctor Foster). Et qui, l’air de rien, renouvelle brillamment le thriller d’espionnage.
L'Express
Killing Eve est une sorte de Mission impossible féminin et féministe ; Tom Cruise en moins et l'humour politiquement incorrect en plus. A la tête du scénario, la jeune auteure anglaise de 33 ans Phoebe Waller-Bridge (Crashing, Fleabag) ne parvient pas à éviter les clichés culturels internationaux (les Italiens aiment le vin, les Allemands écoutent de la techno et - attention - les Français font régulièrement l'amour à trois), mais, indéniablement, sa formule mêlant comédie moderne et action pétaradante est habilement pensée. Décidément, Phoebe Waller-Bridge est un grand espoir de la fiction britannique. En attendant, ces huit épisodes constituent un divertissement dispensable... loin d'être désagréable.