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4,2
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Votre avis sur Killing Eve ?
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28 critiques
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19 critiques
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L'une des meilleures séries que j'ai regardées, j'ai adoré les deux personnages principaux. Eve, un agent du MI5 chargée d'arrêter Villanelle, une tueuse à gages psychopathe. J'ai vraiment apprécié cette série la relation entre les deux personnages,
spoiler:
leur obsession l'une pour l'autre
et leur évolution. Eve spoiler: qui devient plus confiante avec plus d'assurance et surtout elle n'avez plus de problème de conscience qui me faisait vraiment chier au début quand il fallait se salir les mains elle le faisait son personnage a évoluer sans trop changer elle avait toujours ces principes
, concernent Villanelle, j'ai adoré son personnage, spoiler: pour la première fois qu'un méchant ne se transforme pas en gentil
, c'est vraiment top. spoiler: J'avais peur que le personnage décidé de rejoindre les gentille
comme dans la plupart des séries, mais ce n'était pas le cas ici. Mais bien sûr, il fallait une alternative spoiler: si le méchant reste méchant, il faut le buter à la fin de la série
. Sérieux, je ne comprends pas leur problème même si j'ai vraiment kiffé la série spoiler: je veux comprendre, c'est quoi cette manie de ce débarrassé des méchants pour la première fois que le personnage ne change pas de camp, pourquoi tout gâcher en le tuant
. Dans l'ensemble, la série est géniale, je la conseille vraiment, elle mérite les cinq étoiles.
et leur évolution. Eve spoiler: qui devient plus confiante avec plus d'assurance et surtout elle n'avez plus de problème de conscience qui me faisait vraiment chier au début quand il fallait se salir les mains elle le faisait son personnage a évoluer sans trop changer elle avait toujours ces principes
, concernent Villanelle, j'ai adoré son personnage, spoiler: pour la première fois qu'un méchant ne se transforme pas en gentil
, c'est vraiment top. spoiler: J'avais peur que le personnage décidé de rejoindre les gentille
comme dans la plupart des séries, mais ce n'était pas le cas ici. Mais bien sûr, il fallait une alternative spoiler: si le méchant reste méchant, il faut le buter à la fin de la série
. Sérieux, je ne comprends pas leur problème même si j'ai vraiment kiffé la série spoiler: je veux comprendre, c'est quoi cette manie de ce débarrassé des méchants pour la première fois que le personnage ne change pas de camp, pourquoi tout gâcher en le tuant
. Dans l'ensemble, la série est géniale, je la conseille vraiment, elle mérite les cinq étoiles.
Sous le prétexte de la traque d'une tueuse à gages, le film permet de tisser des trajectoires entre trois personnages principaux, tous féminins, et de construire une série féministe (elles sont libres de toutes contraintes des hommes et font littéralement ce qu'elles veulent). Car dans cette série, les hommes sont des suiveurs, des esclaves, et les femmes des maîtresses.
Jodie Comer est la tueuse à gages, extrêmement libre, sexuellement, professionnellement. Il est difficile de ne pas penser à Nikita (1990, Luc Besson) pour le concept, mais ici beaucoup plus fouillé et moins infantile, même si le personnage de Jodie Comer possède un côté enfantin.
Sandra Oh est l'enquêtrice que les services secrets britanniques mettent en pointe pour traquer cette tueuse. Nous comprenons très vie qu'elle est complètement folle, inconsciente, impulsive, comme la tueuse. Sandra Oh interprète parfaitement la dingue qui n'en a pas l'air.
Et tirant les ficelles au sein des services secrets britanniques, Fiona Shaw, dans un personnage dont ne sait jamais ce qu'elle a en tête, et qui sait utiliser l'imprévisible Sandra Oh. Car les personnages assassinés inquiètent les services secrets britanniques. Notre tueuse voyage beaucoup en Europe, y compris dans l'ex-URSS.
Donc le genre est le film d'espionnage, car les commanditaires de la tueuse sont mystérieux: sont évoqués une organisation occulte, ou alors un milliardaire, mais ce ne sont que des prétextes, car la série est dans la relation entre nos deux personnages féminins, qui manifestent des attirances mutuelles qui font le sel de la dramaturgie de la série.
C'est deux premières saisons donnent envie de continuer.
Jodie Comer est la tueuse à gages, extrêmement libre, sexuellement, professionnellement. Il est difficile de ne pas penser à Nikita (1990, Luc Besson) pour le concept, mais ici beaucoup plus fouillé et moins infantile, même si le personnage de Jodie Comer possède un côté enfantin.
Sandra Oh est l'enquêtrice que les services secrets britanniques mettent en pointe pour traquer cette tueuse. Nous comprenons très vie qu'elle est complètement folle, inconsciente, impulsive, comme la tueuse. Sandra Oh interprète parfaitement la dingue qui n'en a pas l'air.
Et tirant les ficelles au sein des services secrets britanniques, Fiona Shaw, dans un personnage dont ne sait jamais ce qu'elle a en tête, et qui sait utiliser l'imprévisible Sandra Oh. Car les personnages assassinés inquiètent les services secrets britanniques. Notre tueuse voyage beaucoup en Europe, y compris dans l'ex-URSS.
Donc le genre est le film d'espionnage, car les commanditaires de la tueuse sont mystérieux: sont évoqués une organisation occulte, ou alors un milliardaire, mais ce ne sont que des prétextes, car la série est dans la relation entre nos deux personnages féminins, qui manifestent des attirances mutuelles qui font le sel de la dramaturgie de la série.
C'est deux premières saisons donnent envie de continuer.
elriad
une série résolument moderne et innovante, un ton et des situations aussi violentes que décalées, des dialogues ciselés et une distribution impeccable, "Killing Eve" est l'une des nouveautés les plus étonnantes, les plus détonantes, en matière de série à côté de laquelle il serait dommage de passer. Un coup de cœur !
Encore une série qui aurait mieux fait de s'arrêter avant une ultime saison poussive.... les 3 premières saisons sont rythmées et plaisantes, la 4ème, je ne sais même pas si je vais la terminer.... On s'ennuie, ferme!
Cette série est captivante.
L'intrigue, les acteurs, la réalisation, les décors, la musique etc.
Mention spéciale à Jodie Comer (sensationnelle, incroyable de talent) et à Sandra Oh ( qui confirme tout le bien que l'on pense d'elle).
spoiler: Malheureusement cette série s' achève sur une fausse note. Pourquoi faut-il qu'une des héroïnes meurt comme à chaque histoire d'amour entre personnages LGBT, comme si de nos jours nous ne pouvions accepter une fin heureuse.
Les fans font le succès des séries, de leurs protagonistes! Ils sont en droit de s'attendre, comme on aurait pu le croire dans le dernier épisode, à une note d'espoir et à un message bienveillant envoyé à notre société de plus en plus intolérante!
Et bien non! Fin banale et décevante alors que tout au long, cette série a fait preuve d'originalité, d' humour et de suspense!
Ce qui aurait pu la rendre la rendre encore plus originale et populaire aurait été une fin heureuse et peut-être même de faire apparaître dans le spin-off , une " correction" du dernier épisode de la saison 4, l[spolier) laissant croire que Villanelle a survécu![/spoiler]
Après tout on peut tout faire dans une fiction! Alors..............
L'intrigue, les acteurs, la réalisation, les décors, la musique etc.
Mention spéciale à Jodie Comer (sensationnelle, incroyable de talent) et à Sandra Oh ( qui confirme tout le bien que l'on pense d'elle).
spoiler: Malheureusement cette série s' achève sur une fausse note. Pourquoi faut-il qu'une des héroïnes meurt comme à chaque histoire d'amour entre personnages LGBT, comme si de nos jours nous ne pouvions accepter une fin heureuse.
Les fans font le succès des séries, de leurs protagonistes! Ils sont en droit de s'attendre, comme on aurait pu le croire dans le dernier épisode, à une note d'espoir et à un message bienveillant envoyé à notre société de plus en plus intolérante!
Et bien non! Fin banale et décevante alors que tout au long, cette série a fait preuve d'originalité, d' humour et de suspense!
Ce qui aurait pu la rendre la rendre encore plus originale et populaire aurait été une fin heureuse et peut-être même de faire apparaître dans le spin-off , une " correction" du dernier épisode de la saison 4, l[spolier) laissant croire que Villanelle a survécu![/spoiler]
Après tout on peut tout faire dans une fiction! Alors..............
Killing Eve réside dans ses deux personnages principaux, Eve et Villanelle, une enquêtrice des services secrets britanniques et une tueuse à gages d'une organisation aux motivations obscures, que nous voyons évoluer en miroir, avec leurs propres ambivalences et questionnements : équilibre vies affective et professionnelle, sexualité, attirance/répulsion mutuelle du prédateur et de la proie, Pour qui est-ce que je travaille réellement ? Qui sont les gentils ?
Toutes ces thématiques (et bien d'autres) sont abordées le plus souvent avec subtilité, sans moralisme, et non sans humour, malgré l'atrocité des meurtres et l'apparente insouciance de la meurtrière, dans un chassé-croisé classique mais aux rebondissements inattendus grâce à la personnalité des deux premiers rôles.
Le récit nous met à la place d'Eve qui découvre ce monde, décalée, horrifiée comme nous par ce qui s'y joue alors que les autres personnages semblent insensibles ou blasés face aux crimes odieux qui se perpétuent pour des causes qui les dépassent et se rendent coup pour coup.
La légèreté et l'humour glaçants de Villanelle ainsi que son comportement imprévisible et décomplexé, viennent contrebalancer le sérieux d'Eve.
C'est ce casting délicieux, ce contraste entre le recul des personnages blasés par cette violence et le décalage d'Eve qui découvre ce monde d'intrigues qui permet au récit de ne pas sombrer dans le gore crasse.
Par son ton original, cette série nous embarque joyeusement dans un genre maintes fois traité mais délaissé depuis longtemps en séries et qu'elle dépoussière efficacement. Attention, c'est un série continue les épisodes se suivent sans qu'il soit possible d'en sauter.
Toutes ces thématiques (et bien d'autres) sont abordées le plus souvent avec subtilité, sans moralisme, et non sans humour, malgré l'atrocité des meurtres et l'apparente insouciance de la meurtrière, dans un chassé-croisé classique mais aux rebondissements inattendus grâce à la personnalité des deux premiers rôles.
Le récit nous met à la place d'Eve qui découvre ce monde, décalée, horrifiée comme nous par ce qui s'y joue alors que les autres personnages semblent insensibles ou blasés face aux crimes odieux qui se perpétuent pour des causes qui les dépassent et se rendent coup pour coup.
La légèreté et l'humour glaçants de Villanelle ainsi que son comportement imprévisible et décomplexé, viennent contrebalancer le sérieux d'Eve.
C'est ce casting délicieux, ce contraste entre le recul des personnages blasés par cette violence et le décalage d'Eve qui découvre ce monde d'intrigues qui permet au récit de ne pas sombrer dans le gore crasse.
Par son ton original, cette série nous embarque joyeusement dans un genre maintes fois traité mais délaissé depuis longtemps en séries et qu'elle dépoussière efficacement. Attention, c'est un série continue les épisodes se suivent sans qu'il soit possible d'en sauter.
Une serie interessante et palpitante, on suit avec interet ce jeu du chat et de la souris morbide, mais captivant. Le jeu d'acteur est incroyable tant pour Sandra Oh que pour Jodie Comer. Elles subliment le personnage qu'elles interpretent. Malgres quelques scenes inutiles rendant l'episode un peu trop long. On est pris dans cette incroyable histoire qu'est Killing Eve
"Who runs the TV Series? Girls!"
Ça pourrait être la phrase d'accroche. Une série qui sait mettre en avant ses personnages féminins.
Une enquêtrice bien sous tous rapports mais qui est plus complexe qui n'y paraît et une tueuse à gages internationale psycophate mais attachante interprétée avec brio par Jodie Comer qui joue au chat et à la souris. Les 2 premières saisons sont de hautes volés tandis que la saisons 3 et 4 s'essoufflent de par un nombre grandissant d'incohérences pour entretenir l'intérêt et la surprise. Ça reste néanmoins une excellente série britannique. Mention spéciale pour notre Camille Cotin nationale qui participe à la 3ème & 4ème saison!
Ça pourrait être la phrase d'accroche. Une série qui sait mettre en avant ses personnages féminins.
Une enquêtrice bien sous tous rapports mais qui est plus complexe qui n'y paraît et une tueuse à gages internationale psycophate mais attachante interprétée avec brio par Jodie Comer qui joue au chat et à la souris. Les 2 premières saisons sont de hautes volés tandis que la saisons 3 et 4 s'essoufflent de par un nombre grandissant d'incohérences pour entretenir l'intérêt et la surprise. Ça reste néanmoins une excellente série britannique. Mention spéciale pour notre Camille Cotin nationale qui participe à la 3ème & 4ème saison!
Une série extraordinaire, où on ne s'ennuie pas une seconde. Chaque personnage à son importance et on finit par s'y attacher.
Je conseillerai à tout le monde qui n'a pas peur de voir spoiler: des meurtres (non sanglants)
de regarder.
Je conseillerai à tout le monde qui n'a pas peur de voir spoiler: des meurtres (non sanglants)
de regarder.
« Killing Eve » est une série qui m'a vraiment marquée par la performance fascinante de l’antihéroïne Villanelle, une tueuse professionnelle à la fois terrifiante et captivante. C'est l’une des meilleures méchantes que j'ai jamais vues à l'écran, et il vaut la peine de regarder la série rien que pour ses expressions, ses mouvements et ses interactions, qui sont absolument stupéfiants. En revanche, le personnage d'Eve m'a beaucoup moins convaincu. Contrairement à son rôle précédent dans « Grey's Anatomy », Sandra Oh incarne ici une Eve trop douce et naïve, ce qui rend sa performance ennuyeuse. Malgré cela, le reste de la distribution est excellent et les décors sont magnifiques, notamment la représentation de Moscou qui échappe aux clichés de pauvreté pour montrer un lieu de richesse et de pouvoir. Bien que la série commence fort, elle perd de sa force au fil des saisons, laissant un goût d'inachevé et de précipitation dans le développement des intrigues et des relations, surtout dans la saison 4. Malgré tout, la série reste divertissante grâce à ses premières saisons mémorables. WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
Il est difficile de donner une note à cette série tant les saisons sont inégales.
La saison 1 est vraiment de loin la meilleure, elle pose les fondements de la série avec une esthétique singulière et originale et une super B.O.
La 2 étire un petit peu ce qui s'est passé dans la une mais elle reste très bonne aussi.
Par contre à partir de la 3, il n'y a comme plus de scénario, juste des épisodes pour satisfaire l'audience. L'intrigue est assez confuse. Beaucoup de personnages secondaires qu'on ne reverra plus apparaissent et la psychologie des deux protagonistes semble changer du tout au tout et devient un peu cliché.
Enfin la saison 4 est clairement de trop. Le premier épisode ne semble pas du tout suivre le dernier de la précédente saison, la psychologie des personnages change encore drastiquement. spoiler: Vilanelle la tueuse en série froide et psychopathe, avec un goût certain pour la mode fait une dépression, rejoint l'église et voit Jésus en drag queen. Les 12, pourtant au cœur de cette saison, restent toujours un mystère, même leur mort n'est pas très claire. Ils sont censés être une organisation internationale de crime et pourtant se retrouvent dans la cave d'un bateau sans personnel de sécurité, avec Vilanelle qui arrive sans arme pour tous les tuer
Au final, j'ai beaucoup aimé cette série, surtout la saison 1 et la 2, la 3 et la 4 était en trop même si j'étais ravie de retrouver les personnages. Il est parfois plus intéressant de rester avec une fin ouverte que de vouloir tout résoudre avec des saisons un peu réchauffées. C'est intéressant d'avoir une série où tous les personnages principaux sont des femmes , de la responsable du MI6, à la tueuse en série en passant par la policière ou l'une des responsables des 12. Et où les amours lesbiens sont mis en avant.
La saison 1 est vraiment de loin la meilleure, elle pose les fondements de la série avec une esthétique singulière et originale et une super B.O.
La 2 étire un petit peu ce qui s'est passé dans la une mais elle reste très bonne aussi.
Par contre à partir de la 3, il n'y a comme plus de scénario, juste des épisodes pour satisfaire l'audience. L'intrigue est assez confuse. Beaucoup de personnages secondaires qu'on ne reverra plus apparaissent et la psychologie des deux protagonistes semble changer du tout au tout et devient un peu cliché.
Enfin la saison 4 est clairement de trop. Le premier épisode ne semble pas du tout suivre le dernier de la précédente saison, la psychologie des personnages change encore drastiquement. spoiler: Vilanelle la tueuse en série froide et psychopathe, avec un goût certain pour la mode fait une dépression, rejoint l'église et voit Jésus en drag queen. Les 12, pourtant au cœur de cette saison, restent toujours un mystère, même leur mort n'est pas très claire. Ils sont censés être une organisation internationale de crime et pourtant se retrouvent dans la cave d'un bateau sans personnel de sécurité, avec Vilanelle qui arrive sans arme pour tous les tuer
Au final, j'ai beaucoup aimé cette série, surtout la saison 1 et la 2, la 3 et la 4 était en trop même si j'étais ravie de retrouver les personnages. Il est parfois plus intéressant de rester avec une fin ouverte que de vouloir tout résoudre avec des saisons un peu réchauffées. C'est intéressant d'avoir une série où tous les personnages principaux sont des femmes , de la responsable du MI6, à la tueuse en série en passant par la policière ou l'une des responsables des 12. Et où les amours lesbiens sont mis en avant.
Fasciné par Villanelle, je me suis laissé porté par les dialogues et les sentiments si bien développé dans cette 3ième saison.
Au point d'en être bien trop absorbé, englouti par le récit.
A en perdre pied.
Et pourtant, je ne suis pas facilement dompté par les images de notre temps, que du contraire.
Je dois donc bien admettre qu'il y avait, dans le chef de cette équipe (jeu d'actrices, mise en scène, musique, dialogues) une fusion si puissante qu'elle emporte les plus fières montagnes.
Une plongée douloureuse mais due à une grande maîtrise de l'art du récit, BRAVO !
Donc 5 sur 5 pour m'avoir plongé dans le côté obscur.
Au point d'en être bien trop absorbé, englouti par le récit.
A en perdre pied.
Et pourtant, je ne suis pas facilement dompté par les images de notre temps, que du contraire.
Je dois donc bien admettre qu'il y avait, dans le chef de cette équipe (jeu d'actrices, mise en scène, musique, dialogues) une fusion si puissante qu'elle emporte les plus fières montagnes.
Une plongée douloureuse mais due à une grande maîtrise de l'art du récit, BRAVO !
Donc 5 sur 5 pour m'avoir plongé dans le côté obscur.
Comment dire... emporté par les saisons 1-2-3, on se retrouve à soupirer tant le jeu ne se développe plus, tant les personnages semblent figés et sans inspiration.
Pam, Konstantin, Carolyn se retrouvent dans des monologues lassant avec des gens qui vont mourir, l'on en vient même à deviner comment tout en n'ayant cure de pourquoi.
Toute la construction autour d'Eve et Villanelle se dilue dans la lenteur et l'ennui.
La quête contre les 12 devient plate et sans intérêt, inévitable fin qu'on attend à chaque coin.
Ils auraient pu raconter une histoire palpitante avec de vraies aventures avec ces 2 personnages, en passant au-delà de cette interminable quête contre les Douze.
Un rebondissement, une bifurcation qui fut abandonnée par paresse ?
Cela n'enlève rien à la merveilleuse aventure des 3 premières saisons.
Merci !
Pam, Konstantin, Carolyn se retrouvent dans des monologues lassant avec des gens qui vont mourir, l'on en vient même à deviner comment tout en n'ayant cure de pourquoi.
Toute la construction autour d'Eve et Villanelle se dilue dans la lenteur et l'ennui.
La quête contre les 12 devient plate et sans intérêt, inévitable fin qu'on attend à chaque coin.
Ils auraient pu raconter une histoire palpitante avec de vraies aventures avec ces 2 personnages, en passant au-delà de cette interminable quête contre les Douze.
Un rebondissement, une bifurcation qui fut abandonnée par paresse ?
Cela n'enlève rien à la merveilleuse aventure des 3 premières saisons.
Merci !
Tout simplement jouissif de voir des actrices jouant avec plaisir des personnages complètement décalés.
Pas une seule minute à s'ennuyer devant le déroulement d'une relation ambigüe dans laquelle on peut se retrouver.
L'amour-haine dans sa plus grande splendeur !
Chapeau-bas (et surtout pour J Comer si magnifique dans cette folle balade)
Pas une seule minute à s'ennuyer devant le déroulement d'une relation ambigüe dans laquelle on peut se retrouver.
L'amour-haine dans sa plus grande splendeur !
Chapeau-bas (et surtout pour J Comer si magnifique dans cette folle balade)
Une parfaite suite de la saison 1 dans laquelle nous continuons à nous attacher à ces personnages troubles plongés dans un ouragan de complications.
La démonstration presque parfaite (l'usage de l'anglais par Villanelle est par trop présent et non justifié).
Bravo aux scénaristes, productrice-eur, textes et metteuse-eur en scène qui nous emballent de cadeau de fils d'or !
La démonstration presque parfaite (l'usage de l'anglais par Villanelle est par trop présent et non justifié).
Bravo aux scénaristes, productrice-eur, textes et metteuse-eur en scène qui nous emballent de cadeau de fils d'or !