Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Le Parisien
par Renaud Baronian
Au-delà de ce casting parfait, ce qui impressionne le plus dans "Cowboy Bebop" est le soin apporté aux décors et accessoires, qu’ils soient futuristes ou non. Car c’est justement dans ce domaine que la série animée était réputée inadaptable, tant elle mélange les genres, les styles et les ambiances.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Première
par Charles Martin
Sans aucun doute, de ce point de vue, la série Netflix n'a pas su capturer ni la magie ni l'âme de l'original. Mais elle n'en demeure pas pas moins un divertissement plaisant. Un western spatial frénétique et impétueux, qui saura faire son petit effet, surtout sur ceux qui découvriront ici, pour la première fois, le monde bouillonnant de Cowboy Bebop.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Alan Sepinwall
Chaque fois qu'on a l’impression qu'aucun de ces éléments ne devrait avoir de sens mis ensemble, en particulier dans l'action réelle, Cowboy Bebop s’élance d'une falaise, en refusant de regarder le vide, et continue d'avancer.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
20 Minutes
par Vincent Julé
Le Cowboy Bebop animé était un chef d’oeuvre de free-jazz, là où sa version live propose une partition désaccordée mais appliquée.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Entertainment weekly
par Christian Holub
Maintenant que le Roi Lion en live-action et le dessin animé original sont tous deux disponibles sur Disney + pour le même prix, quelle personne saine d’esprit, cliquerait un jour sur la version terne et "réaliste" lorsque le magnifique chef-d'œuvre animé est disponible lui aussi...? Le nouveau Cowboy Bebop enthousiasmera probablement tous ceux qui n'ont jamais vu l'anime original, et ceux qui l'ont vu pourraient être ravis par tous les hommages et reconstitutions. Mais dans tous les cas, il serait plus satisfaisant de regarder la série originale. C'est la vie.
La critique complète est disponible sur le site Entertainment weekly
Ouest France
par Anaïs Berno
La principale erreur de ce Cowboy Bebop est donc d’avoir voulu à la fois contenter les fans d’origine en tentant un copié collé raté de l’anime, tout en voulant séduire un nouveau public qui risque d’être surpris par ce melting-pot de références et d’ambiances. Au final, on en retient un divertissement plus qu’honnête qui vit très bien tout seul et pourrait bien donner envie à son futur public de découvrir l’œuvre animée.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Vulture
par Roxana Hadadi
Cowboy Bebop n'a jamais été un anime parmi d'autres, mais sous cette nouvelle forme, ce n’est qu’une série d'action Netflix de plus, avec un ventre mou à la mi-saison, des dialogues imperceptibles et des scènes de sexe sans sexe. Une fois l'excitation passée de voir dans le monde réel le canapé de Bebop, les cigarettes de Spike et le remue-ménage exubérant d'Ein, tout ce qui manque à cette adaptation devient évident. En chair et en os, Cowboy Bebop perd un peu de son âme mélancolique.
La critique complète est disponible sur le site Vulture
Ecran Large
par Matthias Mertz
Rappeler Shin'ichirō Watanabe et Yoko Kanno pour un ersatz de Cowboy Bebop sans groove était déjà provoquant. Ne pas offrir de direction artistique cohérente à l'une des oeuvres les plus authentiques de l'animation japonaise est insultant. En résulte un divertissement moyen et sans âme.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
RogerEbert.com
par Brian Tallerico
Cowboy Bebop avait un rythme de jazz, une forme d'art pleine d'improvisation. On ne peut pas faire semblant avec ça. On ne peut certainement pas se contenter d’essayer de recréer cela, mais cette version live perd tout sens de la créativité dans une tentative ratée de rester fidèle au matériau d’origine. Quelqu'un devrait appeler un chasseur de primes.
La critique complète est disponible sur le site RogerEbert.com
Le Parisien
Au-delà de ce casting parfait, ce qui impressionne le plus dans "Cowboy Bebop" est le soin apporté aux décors et accessoires, qu’ils soient futuristes ou non. Car c’est justement dans ce domaine que la série animée était réputée inadaptable, tant elle mélange les genres, les styles et les ambiances.
Première
Sans aucun doute, de ce point de vue, la série Netflix n'a pas su capturer ni la magie ni l'âme de l'original. Mais elle n'en demeure pas pas moins un divertissement plaisant. Un western spatial frénétique et impétueux, qui saura faire son petit effet, surtout sur ceux qui découvriront ici, pour la première fois, le monde bouillonnant de Cowboy Bebop.
Rolling Stone
Chaque fois qu'on a l’impression qu'aucun de ces éléments ne devrait avoir de sens mis ensemble, en particulier dans l'action réelle, Cowboy Bebop s’élance d'une falaise, en refusant de regarder le vide, et continue d'avancer.
20 Minutes
Le Cowboy Bebop animé était un chef d’oeuvre de free-jazz, là où sa version live propose une partition désaccordée mais appliquée.
Entertainment weekly
Maintenant que le Roi Lion en live-action et le dessin animé original sont tous deux disponibles sur Disney + pour le même prix, quelle personne saine d’esprit, cliquerait un jour sur la version terne et "réaliste" lorsque le magnifique chef-d'œuvre animé est disponible lui aussi...? Le nouveau Cowboy Bebop enthousiasmera probablement tous ceux qui n'ont jamais vu l'anime original, et ceux qui l'ont vu pourraient être ravis par tous les hommages et reconstitutions. Mais dans tous les cas, il serait plus satisfaisant de regarder la série originale. C'est la vie.
Ouest France
La principale erreur de ce Cowboy Bebop est donc d’avoir voulu à la fois contenter les fans d’origine en tentant un copié collé raté de l’anime, tout en voulant séduire un nouveau public qui risque d’être surpris par ce melting-pot de références et d’ambiances. Au final, on en retient un divertissement plus qu’honnête qui vit très bien tout seul et pourrait bien donner envie à son futur public de découvrir l’œuvre animée.
Vulture
Cowboy Bebop n'a jamais été un anime parmi d'autres, mais sous cette nouvelle forme, ce n’est qu’une série d'action Netflix de plus, avec un ventre mou à la mi-saison, des dialogues imperceptibles et des scènes de sexe sans sexe. Une fois l'excitation passée de voir dans le monde réel le canapé de Bebop, les cigarettes de Spike et le remue-ménage exubérant d'Ein, tout ce qui manque à cette adaptation devient évident. En chair et en os, Cowboy Bebop perd un peu de son âme mélancolique.
Ecran Large
Rappeler Shin'ichirō Watanabe et Yoko Kanno pour un ersatz de Cowboy Bebop sans groove était déjà provoquant. Ne pas offrir de direction artistique cohérente à l'une des oeuvres les plus authentiques de l'animation japonaise est insultant. En résulte un divertissement moyen et sans âme.
RogerEbert.com
Cowboy Bebop avait un rythme de jazz, une forme d'art pleine d'improvisation. On ne peut pas faire semblant avec ça. On ne peut certainement pas se contenter d’essayer de recréer cela, mais cette version live perd tout sens de la créativité dans une tentative ratée de rester fidèle au matériau d’origine. Quelqu'un devrait appeler un chasseur de primes.