Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
The Hollywood Reporter
par Tim Goodman
Réaliste, repoussant les limites, exceptionnellement réalisée, cette nouvelle série de HBO avec Zendaya explore le sexe, les drogues et le rap chez les ados d'aujourd'hui (...) C'est probablement LE rôle de sa vie pour Zendaya, celui qui définira la suite de sa carrière, elle est LA révélation de la série; il en va de même pour l'actrice et mannequin transgenre Hunter Schafer, bluffante dans son premier grand rôle.
La critique complète est disponible sur le site The Hollywood Reporter
Le Parisien
par Stéphanie Guerrin
Provocatrice et glauque, elle est aussi enivrante et bouleversante.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Olivier Joyard
Moins savoureuse dans son jeu avec les codes que Sex Education, moins précise que l’extraordinaire Pen15 sur les aventures physiques de l’adolescence, elle se démarque par son envie d’embrasser en profondeur plusieurs spectres d’expériences (chaque personnage pourrait être le héros ou l’héroïne d’une série) et une multitude de désirs.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
TV Guide
par Malcolm Venable
Au-delà de son contenu un peu forcé et ses retournements narratifs constants, Euphoria offre un récit d'apprentissage très honnête (...) La série est choquante, mais peut-être ne devrions-nous pas l'être.
La critique complète est disponible sur le site TV Guide
Rolling Stone
par Alan Sepinwall
Tout ne fonctionne pas dans Euphoria, mais quand un moment marche, il offre une montée d'adrénaline qui n'est pas très différente de celle que les personnages cherchent désespèrement à ressentir.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Télérama
par Pierre Langlais
On se laisse absorber par ses images sublimes, hypnotisés par les visages expressifs et les corps fiévreux de personnages aux émotions chaotiques (...) Dommage que la série confonde parfois élégance et esthétisation, et que son regard frôle la complaisance en faisant du mal-être de la jeunesse un si joli spectacle.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Uncle Barky
par Ed Bark
Vouloir passer pour "réaliste" ne devrait pas signifier se plonger la tête la première dans une multitude de drogues, de profanités, de promiscuité et une indifférence très limite à tout ça. C'est là qu'Euphoria se plante compte tenu du jeune public impressionnable auquel elle s'adresse.
La critique complète est disponible sur le site Uncle Barky
indieWIRE
par Ben Travers
Malgré la très claire maîtrise de Sam Levinson sur son esthétique et son écriture, malgré l'excellente performance de Zendaya, et malgré la riche authenticité qui conduit chaque scène, les téléspectateurs ne doivent pas s'attendre à prendre du plaisir à regarder la série (...) Sa sévère noirceur condamne son impact, la laissant dans le domaine du drama brusque et forcé.
La critique complète est disponible sur le site indieWIRE
Newsday
par Verne Gay
Euphoria est si astucieusement construite et si souvent impressionnante et frappante visuellement qu'on en oublierait ses faiblesses. Elle introduit des personnages qu'elle zappe ensuite, Elle démarre des scènes, qu'elle fait trop durer, et qu'elle termine brutalement. Apparemment, dans ce monde-là, écrire des segments complets ça craint !
La critique complète est disponible sur le site Newsday
The Hollywood Reporter
Réaliste, repoussant les limites, exceptionnellement réalisée, cette nouvelle série de HBO avec Zendaya explore le sexe, les drogues et le rap chez les ados d'aujourd'hui (...) C'est probablement LE rôle de sa vie pour Zendaya, celui qui définira la suite de sa carrière, elle est LA révélation de la série; il en va de même pour l'actrice et mannequin transgenre Hunter Schafer, bluffante dans son premier grand rôle.
Le Parisien
Provocatrice et glauque, elle est aussi enivrante et bouleversante.
Les Inrockuptibles
Moins savoureuse dans son jeu avec les codes que Sex Education, moins précise que l’extraordinaire Pen15 sur les aventures physiques de l’adolescence, elle se démarque par son envie d’embrasser en profondeur plusieurs spectres d’expériences (chaque personnage pourrait être le héros ou l’héroïne d’une série) et une multitude de désirs.
TV Guide
Au-delà de son contenu un peu forcé et ses retournements narratifs constants, Euphoria offre un récit d'apprentissage très honnête (...) La série est choquante, mais peut-être ne devrions-nous pas l'être.
Rolling Stone
Tout ne fonctionne pas dans Euphoria, mais quand un moment marche, il offre une montée d'adrénaline qui n'est pas très différente de celle que les personnages cherchent désespèrement à ressentir.
Télérama
On se laisse absorber par ses images sublimes, hypnotisés par les visages expressifs et les corps fiévreux de personnages aux émotions chaotiques (...) Dommage que la série confonde parfois élégance et esthétisation, et que son regard frôle la complaisance en faisant du mal-être de la jeunesse un si joli spectacle.
Uncle Barky
Vouloir passer pour "réaliste" ne devrait pas signifier se plonger la tête la première dans une multitude de drogues, de profanités, de promiscuité et une indifférence très limite à tout ça. C'est là qu'Euphoria se plante compte tenu du jeune public impressionnable auquel elle s'adresse.
indieWIRE
Malgré la très claire maîtrise de Sam Levinson sur son esthétique et son écriture, malgré l'excellente performance de Zendaya, et malgré la riche authenticité qui conduit chaque scène, les téléspectateurs ne doivent pas s'attendre à prendre du plaisir à regarder la série (...) Sa sévère noirceur condamne son impact, la laissant dans le domaine du drama brusque et forcé.
Newsday
Euphoria est si astucieusement construite et si souvent impressionnante et frappante visuellement qu'on en oublierait ses faiblesses. Elle introduit des personnages qu'elle zappe ensuite, Elle démarre des scènes, qu'elle fait trop durer, et qu'elle termine brutalement. Apparemment, dans ce monde-là, écrire des segments complets ça craint !