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Je me disais, chouette une serie sur l'univers de Lovecraft...
Il est ou ? ou est l'univers et l'ambiance ?
Ici on parle plus de la ségrégation. Bien que n'ayant pas été au USA en 55, j'ai comme un doute sur la véracité du tableau dépeint...je pense que c'était bien pire...
1er épisodes avec des créatures monstrueuse et une histoire décousue et mal joué...les effets sont passable mais ça n'a aucun panache.
2eme épidoses déjà oublié...il s'est passé quoi ??
3eme épisides, là on frôle Supernatural ou XFiles...c'est une histoire de fantôme. Pas la queue d'un grand ancien.
Et en 55; une femme noire achète une demeure dans un quartier blanc ? sérieux ?
Je n'y ai pas cru une seconde...
Bref, je vais surveiller au cas ou ça repartirai dans le bon sens...De la folie, de l'horreur indicible subtilement suggérée, la noirceur de l'univers Lovecraft quoi
Il est ou ? ou est l'univers et l'ambiance ?
Ici on parle plus de la ségrégation. Bien que n'ayant pas été au USA en 55, j'ai comme un doute sur la véracité du tableau dépeint...je pense que c'était bien pire...
1er épisodes avec des créatures monstrueuse et une histoire décousue et mal joué...les effets sont passable mais ça n'a aucun panache.
2eme épidoses déjà oublié...il s'est passé quoi ??
3eme épisides, là on frôle Supernatural ou XFiles...c'est une histoire de fantôme. Pas la queue d'un grand ancien.
Et en 55; une femme noire achète une demeure dans un quartier blanc ? sérieux ?
Je n'y ai pas cru une seconde...
Bref, je vais surveiller au cas ou ça repartirai dans le bon sens...De la folie, de l'horreur indicible subtilement suggérée, la noirceur de l'univers Lovecraft quoi
Dommage que la série n'est pas restée sur l'intrigue et le développement de l'épisode 1, dans les épisodes suivant on part plus sur de l'absurde horrifique que de l'horreur à proprement dit, l'épisode 1 annonçait pourtant quelque chose de très bien ficelé, vraiment dommage.
Gloubi- boulga d'horreur et de fantastique baroque pour fans de ce genre exclusivement, accompagné d'effets visuels et d'une bande son envahissants et fatigants. Du niveau des Harry Potter.
Regarder cette série en entier, c'est vraiment une épreuve.
Si vous êtes fan de Lovecraft ou si vous aimez son lore évitez à tout prix cette série minable.
Ce que vous aurez de plus Lovecraftien ce sera des références grossières à des entités qui sont représentées n'importe comment.
Le remplissage est omniprésent, l'ensemble est laborieux, les épisodes paraissent longs, interminables, certaines parties sont fondamentalement inutiles... et les monstres en CGI sont immondes.
Coté musique, on passe du Jazz, Blues, R&B qui collent parfaitement à l'époque concernée, à des sons contemporains mal venus qui finissent d'enterrer l'ensemble.
Trop de mauvais gout concentré dans cette série.
Si vous êtes fan de Lovecraft ou si vous aimez son lore évitez à tout prix cette série minable.
Ce que vous aurez de plus Lovecraftien ce sera des références grossières à des entités qui sont représentées n'importe comment.
Le remplissage est omniprésent, l'ensemble est laborieux, les épisodes paraissent longs, interminables, certaines parties sont fondamentalement inutiles... et les monstres en CGI sont immondes.
Coté musique, on passe du Jazz, Blues, R&B qui collent parfaitement à l'époque concernée, à des sons contemporains mal venus qui finissent d'enterrer l'ensemble.
Trop de mauvais gout concentré dans cette série.
Donc en fait c'est une série que je qualifierais de "Mais Pourquoi ????"
Ce que je n'aime pas dans cette série c'est le non sens et les éléments certes qui tant mettent plein la vue mais qui ont peu de cohérences, voir aucunes logiques et cette série n'est faite que de ça, on enchaîne les scènes dans une ambiance peut être bien inspirée de Lovecraft mais vide de sens, une histoire qu ne tiens pas la route dès le second épisode et qui se perd un peu plus à chaque épisode.
Dommage car les éléments pris séparément sont pas si mal enfin presque pas mal... d'ailleurs en ne regardant que quelques passages (très courts) on pourrait se dire que ça à l'air plutôt bien, mais une fois le puzzle reconstitué on se dit très vite qu'au final ça ressemble vraiment à rien. Comme le dit l'expression ça a ni queue ni tête.
Oeuvre abstraite ? ou pas ! moi vous aurez compris que cela m'échappe.
Ce que je n'aime pas dans cette série c'est le non sens et les éléments certes qui tant mettent plein la vue mais qui ont peu de cohérences, voir aucunes logiques et cette série n'est faite que de ça, on enchaîne les scènes dans une ambiance peut être bien inspirée de Lovecraft mais vide de sens, une histoire qu ne tiens pas la route dès le second épisode et qui se perd un peu plus à chaque épisode.
Dommage car les éléments pris séparément sont pas si mal enfin presque pas mal... d'ailleurs en ne regardant que quelques passages (très courts) on pourrait se dire que ça à l'air plutôt bien, mais une fois le puzzle reconstitué on se dit très vite qu'au final ça ressemble vraiment à rien. Comme le dit l'expression ça a ni queue ni tête.
Oeuvre abstraite ? ou pas ! moi vous aurez compris que cela m'échappe.
Ne connaissant pas du tout l'univers Lovecraft Country, je me suis laissé emporter par l'intrigue avec une belle dose d'horreur, de romance, et d'action ! HBO produit souvent des séries avec une jolie qualité visuelle et c'est ici le cas !
Attention, je spoil dans les grandes lignes, soyez prévenue.
Grand fan de l'univers de Lovecraft, cette série paraissait prometteuse a travers les différent synopsis que j'avait lu.
Au final, oubliez l'univers de lovecraft. Tout ce qui concerne lovecraft tient sur un post-it. C'est dommage pour une série qui porte son nom. Si l'on supprime toute les référence a Lovecraft, la série ne serait pas amputé de plus de 2 minutes. et cela pourrait être remplacer sans problème par n'importe quel pirouette scénaristique.
Cette série a voulue faire une combinaison de différent genre, historique, romance, gore, fantastique, etc. Le problème, c'est qu'a vouloir intégrer autant de thèmes, on fini par n'en maîtrisé aucun.
Si cette série avait été uniquement basé sur l'histoire du peuple noir dans les années 20/50, elle aurait pu être très intéressante, car elle parle de nombreux faits et événement peu connue ( ville couché de soleil, massacre de tulsa, racisme quotidien ) en recréant l'ambiance... Sauf que comme dit, elle part dans tout les sens, et surtout, dans un pamphlet politique. et extrêmement manichéen.
Dans cette série, pas de rebondissement ou autre, toute les cartes sont données dés le début et on s'en rend compte très vite. Tout les personnages noir sont les gentils, victimes et tourmenté. Tout les personnages blanc sont raciste, cruel, manipulateur etc. Sans mentir, il vous suffit de voir la couleur de peau d'un personnage lors de sa première apparitions a l'écran pour savoir de quel coté du scénario il est. Et je vous passe le coté sexuel rajouté a la série ( bisexualité, etc )
De ce fait, on assiste rapidement a un constat : si tout les noirs sont gentil, alors tout les blanc mérite d'être punie. C'est d'ailleurs le raisonnement et l'épilogue de la série. Pour l'exemple, le directeur du magasin de vêtement (seul homme blanc visiblement hétéro de la série) fait une tentative d'agression sexuel sur une de ses vendeuse (noir). En conséquence, il est logique qu'il soit violé et torturé par une des protagonistes de l'histoire. En opposition, le père du héro est un gentil homme noir bisexuel tourmenté par sa sexualité et les blancs. Cette série le martèle a chaque épisode noir/femme/bisexuel = gentil en opposition à blanc/homme/hétéro=méchant.
La fin de la série est encore plus parlante. ( attention spoil ) une des protagonistes utilise la sorcellerie pour privé ses adversaires de leur capacité à utilisé la magie. Qui sont ses adversaire ? Les blanc. Elle rend impossible a tout les blanc sur terre la possibilité d'utilisé la magie. Pas seulement ceux qui lui ont fait du mal, non, tous. La morale ? Il est normal que tout les blanc paient pour le mal que certains d'entre eux ont infligé au peuple noir, car les blancs sont tous mauvais. Peut on faire plus manichéen ?
Grand fan de l'univers de Lovecraft, cette série paraissait prometteuse a travers les différent synopsis que j'avait lu.
Au final, oubliez l'univers de lovecraft. Tout ce qui concerne lovecraft tient sur un post-it. C'est dommage pour une série qui porte son nom. Si l'on supprime toute les référence a Lovecraft, la série ne serait pas amputé de plus de 2 minutes. et cela pourrait être remplacer sans problème par n'importe quel pirouette scénaristique.
Cette série a voulue faire une combinaison de différent genre, historique, romance, gore, fantastique, etc. Le problème, c'est qu'a vouloir intégrer autant de thèmes, on fini par n'en maîtrisé aucun.
Si cette série avait été uniquement basé sur l'histoire du peuple noir dans les années 20/50, elle aurait pu être très intéressante, car elle parle de nombreux faits et événement peu connue ( ville couché de soleil, massacre de tulsa, racisme quotidien ) en recréant l'ambiance... Sauf que comme dit, elle part dans tout les sens, et surtout, dans un pamphlet politique. et extrêmement manichéen.
Dans cette série, pas de rebondissement ou autre, toute les cartes sont données dés le début et on s'en rend compte très vite. Tout les personnages noir sont les gentils, victimes et tourmenté. Tout les personnages blanc sont raciste, cruel, manipulateur etc. Sans mentir, il vous suffit de voir la couleur de peau d'un personnage lors de sa première apparitions a l'écran pour savoir de quel coté du scénario il est. Et je vous passe le coté sexuel rajouté a la série ( bisexualité, etc )
De ce fait, on assiste rapidement a un constat : si tout les noirs sont gentil, alors tout les blanc mérite d'être punie. C'est d'ailleurs le raisonnement et l'épilogue de la série. Pour l'exemple, le directeur du magasin de vêtement (seul homme blanc visiblement hétéro de la série) fait une tentative d'agression sexuel sur une de ses vendeuse (noir). En conséquence, il est logique qu'il soit violé et torturé par une des protagonistes de l'histoire. En opposition, le père du héro est un gentil homme noir bisexuel tourmenté par sa sexualité et les blancs. Cette série le martèle a chaque épisode noir/femme/bisexuel = gentil en opposition à blanc/homme/hétéro=méchant.
La fin de la série est encore plus parlante. ( attention spoil ) une des protagonistes utilise la sorcellerie pour privé ses adversaires de leur capacité à utilisé la magie. Qui sont ses adversaire ? Les blanc. Elle rend impossible a tout les blanc sur terre la possibilité d'utilisé la magie. Pas seulement ceux qui lui ont fait du mal, non, tous. La morale ? Il est normal que tout les blanc paient pour le mal que certains d'entre eux ont infligé au peuple noir, car les blancs sont tous mauvais. Peut on faire plus manichéen ?
Un bon pot pourri où l'on mélange les genres, un peu de fantastique (l'univers de Lovecraft est à peine perceptible), de caricature de la ségrégation raciale (qui incite presque à la haine du blanc), d'érotisme gore et inutile, sans parler de l'OST délirante où l'on retrouve du rap dans une série qui se déroule dans les années 50. L'histoire est sans queue ni tête, on s'ennuie à mourir, et on retrouve parfois le style médiocre d'un Charmed ou encore de Buffy contre les vampires. HBO serait-il en train de décliner. Dommage de retrouver Michael Kenneth Williams dans cette série après ses excellentes interprétation dans The Wire ou Boardwalk Empire. Svp HBO ne pensez même pas à une seconde saison et mobilisé votre budget à de meilleurs projets.
J'ai regardé d'un trait les 4 premiers épisodes ("binge watching", comme ils disent), bon, ben, j'arrête... ça va comme ça maintenant, la comédie... c'est absolument délirant, nul, ridicule !
Les 30 premières minutes du 1er épisode, je me suis dit : tiens, original, une communauté noire des années 50, qui essaie de s'en sortir malgré la discrimination. Il y a une atmosphère intéressante et puis rapidement pesante, que de clichés ripolinés ou tout noirs (les Blancs sont tous, sans exception, des démons de 1ère classe !) ! ...et là-dessus, une sorte de connexion-citation avec la littérature populaire, tiens, des Noirs des ghettos intimes d'Alexandre Dumas, Mary Shelley et puis Lovecraft, au point de les citer au détour de la conversation, intéressant..là-dessus, euh, les monstres chiens de garde du château (ça, ça m'a rappelé le 3e Prédateur, avec la planète terrain de chasse, et les molosses cabossés tout méchants tout piquants ; décidément les scénaristes US à la petite semaine n'arrêtent pas de se piquer les idées, faut boucler dans les temps, coco !). Bon, ça verse dès le 3e épisode dans le n'importe quoi pénible, avec des guildes, des conspirations et des confréries immémorielles (pensez 1833, l'incendie du château, pour des Etats-Uniens, c'est l'Antiquité au moins !) mais extrêmement fastidieuses, le fatras gothique comme ils aiment, enfin, le 4e épisode, non, là, vraiment, j'arrête, c'est trop c..., c'est juste c.... "La maison hantée" des foires de mon enfance était 1000 fois plus drôle et mystérieuse... et les acteurs noirs (ou blancs d'ailleurs), tous très bons, les pauvres !, qui soutiennent à bouts de bras cette daube comme ils se retrouvent avec sur les bras des squelettes décomposés en mauvais plastique, flottant dans les galeries souterraines noyées où ils jouent à Indiana Jones... j'avais déjà senti le virage au n'importe quoi interminable - pourri de citations - mais avec des effets "boîte à diable" toutes les 5 minutes, toujours lourdement signalés par la zizique, dans "American Horror Story", mais j'avais quand même suivi une ou deux saisons, avant de me rendre compte que je perdais mon temps... mais là, que dire... c'est gro-tesque, sans queue ni tête... pauvres acteurs, pauvres millions de dollars jetés là-dedans, oui, dans cette vraie malédiciton ! Je suis généralement très bon public, mais là, peux plus !
Ah, et aussi le gros effet "woke" là, tous les Blancs sont des démons, ouh là là, qu'on puisse montrer ça de manière aussi caricaturale, ce "wokisme" inquiétant montre bien la folie dissolvante qui s'empare des esprits là-bas... de plus en plus, je regarde ce genre de séries gore et aussi les films-catastrophe car ils chantent tous le "Götterdämmerung" états-unien, en inscrivant, décrivant et diffractant en oeuvres populaires, l'effondrement social et moral états-unien. A en juger par cette série invraisemblable, cet effondrement est encore plus avancé encore que je ne le croyais...
Les 30 premières minutes du 1er épisode, je me suis dit : tiens, original, une communauté noire des années 50, qui essaie de s'en sortir malgré la discrimination. Il y a une atmosphère intéressante et puis rapidement pesante, que de clichés ripolinés ou tout noirs (les Blancs sont tous, sans exception, des démons de 1ère classe !) ! ...et là-dessus, une sorte de connexion-citation avec la littérature populaire, tiens, des Noirs des ghettos intimes d'Alexandre Dumas, Mary Shelley et puis Lovecraft, au point de les citer au détour de la conversation, intéressant..là-dessus, euh, les monstres chiens de garde du château (ça, ça m'a rappelé le 3e Prédateur, avec la planète terrain de chasse, et les molosses cabossés tout méchants tout piquants ; décidément les scénaristes US à la petite semaine n'arrêtent pas de se piquer les idées, faut boucler dans les temps, coco !). Bon, ça verse dès le 3e épisode dans le n'importe quoi pénible, avec des guildes, des conspirations et des confréries immémorielles (pensez 1833, l'incendie du château, pour des Etats-Uniens, c'est l'Antiquité au moins !) mais extrêmement fastidieuses, le fatras gothique comme ils aiment, enfin, le 4e épisode, non, là, vraiment, j'arrête, c'est trop c..., c'est juste c.... "La maison hantée" des foires de mon enfance était 1000 fois plus drôle et mystérieuse... et les acteurs noirs (ou blancs d'ailleurs), tous très bons, les pauvres !, qui soutiennent à bouts de bras cette daube comme ils se retrouvent avec sur les bras des squelettes décomposés en mauvais plastique, flottant dans les galeries souterraines noyées où ils jouent à Indiana Jones... j'avais déjà senti le virage au n'importe quoi interminable - pourri de citations - mais avec des effets "boîte à diable" toutes les 5 minutes, toujours lourdement signalés par la zizique, dans "American Horror Story", mais j'avais quand même suivi une ou deux saisons, avant de me rendre compte que je perdais mon temps... mais là, que dire... c'est gro-tesque, sans queue ni tête... pauvres acteurs, pauvres millions de dollars jetés là-dedans, oui, dans cette vraie malédiciton ! Je suis généralement très bon public, mais là, peux plus !
Ah, et aussi le gros effet "woke" là, tous les Blancs sont des démons, ouh là là, qu'on puisse montrer ça de manière aussi caricaturale, ce "wokisme" inquiétant montre bien la folie dissolvante qui s'empare des esprits là-bas... de plus en plus, je regarde ce genre de séries gore et aussi les films-catastrophe car ils chantent tous le "Götterdämmerung" états-unien, en inscrivant, décrivant et diffractant en oeuvres populaires, l'effondrement social et moral états-unien. A en juger par cette série invraisemblable, cet effondrement est encore plus avancé encore que je ne le croyais...
Ambiance colorée et angoissante, couleurs vives et moments sombres, du muscle et du sang, tant de contrastes qui font que j'ai adoré la série. En plus de ça, la réalisation est soignée et parfaite, digne de grands films tant en plus les effets spéciaux sont très réussis. La musique est un pur kiffe aussi. On voit que HBO mets l'argent ou il faut, et c'est un plaisir. Sur la série en elle-même, certains épisodes sont un régal, grâce à une histoire bien foutue, surprenante, gore, et un plaisir à découvrir - je pense notamment à l'épisode 1, ou encore l'épisode sur Ruby. Sur la trame générale, ça part vite en vrille, mais bon, pourquoi pas. La fin de la saison est un gros bord*l, passable en soi, même si de meilleures idées auraient pu être utilisées. Mais les 2 dernières minutes me donnaient très envie de voir une suite, malheureusement on s'en passera. Sur le casting, y a des belles révélations, notamment Dee et Ruby... en revanche, le duo d'acteurs principal, plus la série passait, plus c'était une catastrophe. Jurnee en fait trop, et Majors devient insupportable avec ses mimiques de bouche quand il essaye de faire l'énervé. Pas top du tout. Malgré tout, j'ai adoré découvrir ces 10 épisodes, et je regrette qu'une saison 2 ne soit pas commandée.
AlexLaloix
Pourtant bien lancée grâce à son épisode pilote époustouflant, Lovecraft Country s’avère être plus maladroite que réussie. Dotée d’une réalisation particulièrement spectaculaire, la série se veut vouloir montrer l’étendue de son univers, quitte à en montrer bien plus qu’il n’en faudrait. Bien que l’intrigue ait un énorme potentiel, elle est malheureusement trop confuse pour y accrocher jusqu’à la fin. Beaucoup trop d’éléments s’enchaînent qu’on en perd le fil donnant un résultat plutôt désordonné à l’arrivée. Cependant, avec ses épisodes rythmés d’aventure, d’horreur et de fantastique, la série arrive à être quelque peu prenante et assez divertissante qu’on évite de décrocher en cours de route.
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13,5/20
Critique sur Lovecraft Country (saison 1)
Vue du 29 au 31.12.2020 sur OCS
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13,5/20
Critique sur Lovecraft Country (saison 1)
Vue du 29 au 31.12.2020 sur OCS
Encore un gros gâchis, certes il y a quelques idées et de beaux décors, mais la qualité globale est très moyenne.
Cela manque cruellement de subtilité et d'intelligence. Mélange non réussi entre fantastique / historique / messages politiques.
Cela manque cruellement de subtilité et d'intelligence. Mélange non réussi entre fantastique / historique / messages politiques.
Je mets 4 étoiles mais en sortant totalement dans le flou après le 1er épisode ! 😂 J'ai trouvé les décors, costumes, l'ambiance générale de l'époque très bons. Par contre à la lecture de l'histoire de cette série, je me suis direct demandé ce que Lovecraft venait faire la dedans ! Et le 1er épisode m'a pas répondu et aidé ! 😂 Bref j'en dis pas plus. Quand Green Book rencontre The Host
Bonjour Il se trouve que j'ai plusieurs passions, et parmi elles, la musique des années 50 (R'n'B, R'nR, Rockabilly, Doo-wop) et l'horreur (Lovecraft, Koontz, S. King). Emballé par l'épisode pilote (musique trépidante et Bestioles imaginaires), le plaisir fut de courte durée. Au fil des épisodes, les Blancs sont mauvais et les Noirs des victimes (sempiternelle excuse des minorités des 2 côtés de l'Atlantique). Pour en revenir aux Noirs, la guerre de Sécession est la quête d'indépendance des 13 états sudistes pauvres face aux états nordistes aristocrates et leurs satanées taxes. L'esclavage était pratiqué dans les 2 camps et ce problème fut soulevé bien + tard par LINCOLN (une stratégie pour faire basculer la victoire de son côté). Il était en train de la perdre...
La série n'est qu'un prétexte pour mettre en avant la musique des Noirs au détriment de celles des Blancs. Elvis à 19 ans avait fait la synthèse de ces musiques (des colorés et visages pâles) et ajouter comme nouveauté le vocal syncopé. Le Rockabilly était alors né courant été 1954 à Memphis (Seuls 3 artistes Noirs de l'époque s'y sont essayés). Ecoutez "Baby let's play house" par the King pour comprendre. Chose qui pourrait passer inaperçue pour un non amateur 50's, la demie-soeur de l'héroîne se moque d'un titre musical (titre des Crew-Cuts, groupe vocal Blanc). On a même droit dans un autre épisode à l'insipide version de "Tutti Frutti" par Pat Boone. Celle de monsieur Elvis PRESLEY, qualitativement bien au-dessus de celles de Pat Boone et Little RICHARD a été écartée ! Pour dissiper tout malentendu, moi qui suis Visage Pâle, j'ai un salon diner US dans ma maison et les murs portent des photos d'artistes Blancs et Noirs de cette époque...
Ce n'est qu'une série à sens unique, anti-blancs (c'est la mode d'ailleurs), où l'intrigue fantastique est même désuète. La série peine vraiment à fidéliser. Je décroche...
Un titre de monsieur Bo DIDDLEY que j'adresse au scénariste et autres consorts de la série
You can't judge a book by its cover... Seuls les actes nous départagent.... C'est valable pour toutes les couleurs de peau.
La série n'est qu'un prétexte pour mettre en avant la musique des Noirs au détriment de celles des Blancs. Elvis à 19 ans avait fait la synthèse de ces musiques (des colorés et visages pâles) et ajouter comme nouveauté le vocal syncopé. Le Rockabilly était alors né courant été 1954 à Memphis (Seuls 3 artistes Noirs de l'époque s'y sont essayés). Ecoutez "Baby let's play house" par the King pour comprendre. Chose qui pourrait passer inaperçue pour un non amateur 50's, la demie-soeur de l'héroîne se moque d'un titre musical (titre des Crew-Cuts, groupe vocal Blanc). On a même droit dans un autre épisode à l'insipide version de "Tutti Frutti" par Pat Boone. Celle de monsieur Elvis PRESLEY, qualitativement bien au-dessus de celles de Pat Boone et Little RICHARD a été écartée ! Pour dissiper tout malentendu, moi qui suis Visage Pâle, j'ai un salon diner US dans ma maison et les murs portent des photos d'artistes Blancs et Noirs de cette époque...
Ce n'est qu'une série à sens unique, anti-blancs (c'est la mode d'ailleurs), où l'intrigue fantastique est même désuète. La série peine vraiment à fidéliser. Je décroche...
Un titre de monsieur Bo DIDDLEY que j'adresse au scénariste et autres consorts de la série
You can't judge a book by its cover... Seuls les actes nous départagent.... C'est valable pour toutes les couleurs de peau.
Je ne m'attendais pas a grand chose et j'ai été très agréablement surpris.
En effet j'ai dévoré les 4 premiers épisodes d'affilés.
Un mélange d'historique a travers la ségrégation aux USA, saupoudré par un deuxième monde fantastique ancré dans notre réalité issue de la myologie lovecraftienne.
Une série a voir.
A chacun de se faire son propre avis.
En effet j'ai dévoré les 4 premiers épisodes d'affilés.
Un mélange d'historique a travers la ségrégation aux USA, saupoudré par un deuxième monde fantastique ancré dans notre réalité issue de la myologie lovecraftienne.
Une série a voir.
A chacun de se faire son propre avis.