Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
3 critiques presse
Le Monde
par Pierre Serisier
Tous les ingrédients sont là pour figurer en bonne place à 19h20 avant d’entrer dans le sanctuaire du journal de 20h00. De ce point de vue, DNA est assez irréprochable, la formule est fluide, il y a des rebondissements toutes les dix minutes, soit en milieu et en fin d’épisode, l’histoire avance vite.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Figaro Magazine
par Romain Delacroix
En dépit de quelques invraisemblances, l’enquête un tantinet artificielle, réussit à tenir malgré tout en haleine (…) On dépasse les quelques faiblesses, dont la performance hasardeuse de Lorie Pester en fliquette, grâce à un casting de choix (Alexandre Pasteur, Patrick Rocca, Charlotte Valandrey) et le soin de la réalisation.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro Magazine
Télé 7 Jours
par La rédaction
Malgré le handicap des 26 minutes par épisode (contre 90 minutes pour les traditionnelles séries de l’été) le scénario remplit le contrat, oscillant entre une intrigue policière bien ficelée et des situations plus légères.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Le Monde
Tous les ingrédients sont là pour figurer en bonne place à 19h20 avant d’entrer dans le sanctuaire du journal de 20h00. De ce point de vue, DNA est assez irréprochable, la formule est fluide, il y a des rebondissements toutes les dix minutes, soit en milieu et en fin d’épisode, l’histoire avance vite.
Le Figaro Magazine
En dépit de quelques invraisemblances, l’enquête un tantinet artificielle, réussit à tenir malgré tout en haleine (…) On dépasse les quelques faiblesses, dont la performance hasardeuse de Lorie Pester en fliquette, grâce à un casting de choix (Alexandre Pasteur, Patrick Rocca, Charlotte Valandrey) et le soin de la réalisation.
Télé 7 Jours
Malgré le handicap des 26 minutes par épisode (contre 90 minutes pour les traditionnelles séries de l’été) le scénario remplit le contrat, oscillant entre une intrigue policière bien ficelée et des situations plus légères.