Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Ecran Large
par Florian Descamps
Bien qu'attrayante, c'est donc avec une impression en demi-teinte que l'on sort de cette première approche d'Osmosis. Grâce à un casting et une enveloppe plastique robustes, on se laissera toutefois tenter par la suite dès son apparition sur Netflix.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Les Inrockuptibles
par Alexandre Buyukodabas
Explorant maladroitement un questionnement récurrent des récits de SF contemporains, la nouvelle création originale de Netflix en France, peine pour le moment à convaincre.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télé Loisirs
par Roxane Mansano
[S]i le thème général d'Osmosis est très intrigant et attise notre curiosité, la fiction prend parfois des chemins étonnants, nous poussant à nous demander où le show de Netflix veut en venir. C'est du moins le cas dans les deux premiers épisodes présentés à la presse. Reste à savoir si cela s'améliore dans la suite de la série.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
L'Obs
par Guillaume Loison
Le problème de fond d’Osmosis réside peut-être dans sa difficulté à faire son miel des lois du genre (...). La balise Black mirror s’avère par exemple un spectre encombrant, dont l’ombre plane sur toutes les scènes de ces deux premiers épisodes. Comme si la série peinait à s’en démarquer ou au contraire, à suivre son sillage.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Damien Leloup
[L]a curiosité que l’on ressent à l’égard des cobayes atypiques de l’expérience met cruellement en relief le fait que l’intrigue principale n’arrive pas franchement à captiver.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Benjamin Fau
La nouvelle dystopie du géant du streaming enfile comme des perles tous les défauts que l'on rencontre dans la science-fiction mal écrite.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Première
par François Léger
Une grosse déception.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Pierre Langlais
Quasi-huis clos assez bavard mais empesé par des dialogues trop explicatifs – le grand mal des séries françaises –, ce drame esthétisé tente de nous émouvoir, de trouver un équilibre entre austérité futuriste et chaleur humaine. En vain.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Télé 7 Jours
par Frédérick Rapilly
Derrière l’idée de départ plutôt séduisante et très dans l’air du temps, (...), Osmosis déçoit assez vite (précision, nous n’avons vu que deux épisodes sur huit). En effet, difficile d’accrocher avec ces personnages figés, distants, qui ressemblent à des robots ou plutôt des artefacts et de se passionner pour cette intrigue qui navigue entre thriller et je-ne-sais-trop quoi.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Vanity Fair
par Caroline Veunac
Réalisation fonctionnelle, jeux d’acteur approximatif, faiblesse des dialogues et de la narration… La série de Netflix plante son concept en négligeant l’intelligence du récit, livrant au final un diagnostic très pauvre et artificiellement romantique sur les possibles dérives des applis de rencontre.
La critique complète est disponible sur le site Vanity Fair
Ecran Large
Bien qu'attrayante, c'est donc avec une impression en demi-teinte que l'on sort de cette première approche d'Osmosis. Grâce à un casting et une enveloppe plastique robustes, on se laissera toutefois tenter par la suite dès son apparition sur Netflix.
Les Inrockuptibles
Explorant maladroitement un questionnement récurrent des récits de SF contemporains, la nouvelle création originale de Netflix en France, peine pour le moment à convaincre.
Télé Loisirs
[S]i le thème général d'Osmosis est très intrigant et attise notre curiosité, la fiction prend parfois des chemins étonnants, nous poussant à nous demander où le show de Netflix veut en venir. C'est du moins le cas dans les deux premiers épisodes présentés à la presse. Reste à savoir si cela s'améliore dans la suite de la série.
L'Obs
Le problème de fond d’Osmosis réside peut-être dans sa difficulté à faire son miel des lois du genre (...). La balise Black mirror s’avère par exemple un spectre encombrant, dont l’ombre plane sur toutes les scènes de ces deux premiers épisodes. Comme si la série peinait à s’en démarquer ou au contraire, à suivre son sillage.
Le Monde
[L]a curiosité que l’on ressent à l’égard des cobayes atypiques de l’expérience met cruellement en relief le fait que l’intrigue principale n’arrive pas franchement à captiver.
Le Point
La nouvelle dystopie du géant du streaming enfile comme des perles tous les défauts que l'on rencontre dans la science-fiction mal écrite.
Première
Une grosse déception.
Télérama
Quasi-huis clos assez bavard mais empesé par des dialogues trop explicatifs – le grand mal des séries françaises –, ce drame esthétisé tente de nous émouvoir, de trouver un équilibre entre austérité futuriste et chaleur humaine. En vain.
Télé 7 Jours
Derrière l’idée de départ plutôt séduisante et très dans l’air du temps, (...), Osmosis déçoit assez vite (précision, nous n’avons vu que deux épisodes sur huit). En effet, difficile d’accrocher avec ces personnages figés, distants, qui ressemblent à des robots ou plutôt des artefacts et de se passionner pour cette intrigue qui navigue entre thriller et je-ne-sais-trop quoi.
Vanity Fair
Réalisation fonctionnelle, jeux d’acteur approximatif, faiblesse des dialogues et de la narration… La série de Netflix plante son concept en négligeant l’intelligence du récit, livrant au final un diagnostic très pauvre et artificiellement romantique sur les possibles dérives des applis de rencontre.