Je devais avoir aux alentours de 14 ans lorsque cette série est sortie et j’ai très vite été passionnée par les aventures rocambolesques de nos héroïnes bien différentes les unes des autres. Nous suivons nos Desperate Housewives dans leurs déboires amoureux, familiaux et professionnels.
La banlieue Wisteria Lane à Fairview est un personnage à part entière. Ce quartier a vu bon nombres d’enquêtes, des amitié indestructibles, beaucoup de mensonges, des adultères, de l’amour, des adolescents en pleine crise, un nombre incalculable de secrets, des révélations, des naissances, des mariages, des trahisons, de l’humour, des rivalités, la maladie, des enfants durs à gérer, des addictions, un incendie, une tempête, un crash d’avion,.. Certains deuils ont été assez difficile à faire.. Impossible de rester de marbre face à tout ce que vivent les habitants de Wisteria Lane. J’ai ri, j’ai été ému mais surtout, j’ai été happé par le suspens. Marc Cherry arrive à nous faire aimer des personnes qu’on détestait la saison d’avant. L’épisode centré sur l’homme à tout faire Eli Scrubs m’a vraiment touché et Gabrielle m’a donné des frissons lors de l’épisode 220, sans parler de la fin de l’épisode 816.
Desperate Housewives aborde de nombreux sujets importants avec l’aide de nos héroïnes qui sont toutes totalement différentes. Nous avons la pinup Gabrielle, la maladroite Susan, la mère débordée Lynette, les femmes d’intérieures Bree et Katherine, la bimbo Eddie, la dure à cuire Angie,.. Toutes ces femmes ont des défaut et des qualités, elles sont humaines et ça fait déculpabiliser un peu. Merci Marc Cherry de m’avoir fait passer par tous les sentiments possibles durant ces 8 années.
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