J'avoue ne jamais avoir vu la série entière, l'ayant suivi lorsque ma mère la regardait avant de me décider à regarder la saison 8 avant de voir les 4 premières saisons.
Oui, j'ai fais les choses à l'envers et de manière incomplète, mais cela ne m'a pas empêché de prendre mon pied.
Desperate Housewives, nom de série imprononçable à l'époque où je la regardais (j'avais 11-12 ans), est sans doute l'une des séries les plus cultes du début des années 2000. Certes, depuis, il y a eu des centaines de nouvelles séries super géniales, mais DH reste LA série culte de femmes.
Parce que oui, malheureusement ou heureusement selon le point de vue, cette série est une série de femmes faite pour les femmes.
Et d'un côté, c'est génial, car des femmes fortes et indépendantes en personnages principaux, on avait pas vraiment vu avant : alors oui, au début, c'est pas vraiment la joie du côté indépendance, mais lorsqu'on voit le trajet de ces quatre femmes, il y a eu du chemin. Et ça fait du bien de regarder ces personnages s'épanouirent devant nous, ces femmes s'adressant à nous, femmes, et évoluant avec nous, femmes.
Mais d'un autre côté... quel dommage que les hommes ne l'aient pas regardé ! Je ne vais pas commencé à philosopher sur ma colère que les hommes soient élevés de telle manière à ce que toute chose féminine les repousse ou leur soit condamnée, mais ça m'énerve.
Bref. Cette série est marquante parce qu'on ne s'ennuie jamais, parce qu'elle est drôle et dramatique à la fois, et que le final est l'un des meilleurs jamais fait.
Les filles, regardez cette série. Les hommes, regardez-la aussi, elle vous fera vos soirées.