Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
La Croix
par Aude Carasco
Finement écrite et interprétée, avec un soin particulier apporté au son et à la musique, la série Ad Vitamnous emporte dans un tourbillon de réflexions sur le sens d’une vie sans mort ou le malaise d’une jeunesse qui ne trouve plus de place dans la société.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Martine Delahaye
Série plutôt sombre et énigmatique, non exempte de quelques longueurs, Ad Vitam s’intéresse plus, avec bonheur, à la renaissance de ses personnages, à leurs révoltes et à leurs peurs, qu’à l’intrigue policière proprement dite. Ce qui permet à son créateur, le cinéaste Thomas Cailley (Les Combattants), des ruptures de ton et un mélange des genres (thriller, mélo, onirisme, etc.) qui tranchent avec ce que proposent nombre de séries françaises, surtout lorsqu’elles investissent le champ de l’anticipation.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Stéphanie Guerrin
En choisissant de donner vie à une société où la mort n’est plus une fatalité, Thomas Cailley signe une série subtile mêlant avec intelligence action, suspense et réflexion sur le sens de l’existence. (…) Ad vitam, récompensé du prix de la meilleure série française au festival Séries Mania en avril, est une réussite rare pour de la science-fiction made in France.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télé 7 Jours
par VB
Après son film Les Combattants, salué par la critique, Thomas Cailley signe un thriller d'anticipation mélancolique, glaçant et spirituel sur le thème de l'immortalité. Dans ce monde sans mort fascinant, le duo Yvan Attal-Garance Marillier crève l'écran !
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Télérama
par Pierre Langlais
Après Les Combattants, César du meilleur premier film en 2015, Thomas Cailley coécrit et coréalise (avec Manuel Schapira) une nouvelle histoire de survie. Il passe cette fois-ci par le genre, dans un polar d’anticipation aux riches accents métaphoriques, émouvant portrait croisé de deux héros tourmentés. Sa mise en scène sensorielle regorge d’effets visuels réussis et de séquences oniriques, et amène par l’émotion une réflexion existentielle passionnante sur la jeunesse et sur la mort comme condition sine qua non de notre humanité. Yvan Attal, pourtant très bien, se fait voler la vedette par Garance Marillier, habitée, qui confirme, après Grave, l’intensité de son jeu.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
par Igor Hansen-Love
Aux commandes, Thomas Cailley (auteur de l'excellent Les Combattants, 2014) signe une mise en scène branchée et aguicheuse. L'univers visuel soigné et très coloré lorgne du côté de la BD SF. La bande-son électro, minimale et dansante, est entêtante. L'atmosphère mélancolique est immédiatement contagieuse. Dans la peau de leur personnage, Yvan Attal et Garance Marillier imposent un jeu délicatement lunaire. L'alchimie fonctionne à merveille. Et le constat s'impose : Ad vitam est une série qui a du cachet.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Les Inrockuptibles
par Olivier Joyard
Dans un futur où la mort est exorcisée par la science, un flic de 120 ans enquête sur sept suicidés. Une série figée qui prend le temps de décoller.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télé Loisirs
par Claire Lavarenne
Dans une série sobre et efficace tant en termes esthétiques que narratifs, Yvan Attal comme Garance Marillier livrent des performances convaincantes. Saluons aussi l'effort de tenter le genre de la science-fiction, même s'il est un peu dommage de noyer le postulat posé par l'univers de la série et les questions passionnantes qu'il soulève sous une enquête policière.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Le Figaro Magazine
par Constance Jamet
Ad vitam a bouleversé de nombreux confrères. On aurait adoré l’aimer. Las, cette réflexion en six volets sur la mortalité de notre existence qui constitue notre humanité nous a laissés de marbre. (…) La faute au polar. Cette porte d’entrée parasite le propos qui se veut existentialiste et introduit un faux rythme. Hiératique, Yvan Attal est aussi impassible que Ryan Gosling dans Drive ou First Man. Et les souffrances de cette jeunesse, traduites par la performance éblouissante de Garance Marillier, ne suffisent pas à nous retenir.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro Magazine
Ecran Large
par Lino Cassinat
Imaginez un Altered Carbon qui se prendrait encore plus au sérieux mais aurait encore moins les moyens de ses ambitions et d'inspiration, et vous aurez un bon aperçu d'Ad Vitam. En l'état, en dehors des nombreux moments de gêne de la saison 1 d'Ad Vitam, il n'y a absolument rien à en retenir et tout à oublier, et surtout aucune raison d'espérer une éventuelle saison 2, plus redoutée qu'attendue.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
La Croix
Finement écrite et interprétée, avec un soin particulier apporté au son et à la musique, la série Ad Vitamnous emporte dans un tourbillon de réflexions sur le sens d’une vie sans mort ou le malaise d’une jeunesse qui ne trouve plus de place dans la société.
Le Monde
Série plutôt sombre et énigmatique, non exempte de quelques longueurs, Ad Vitam s’intéresse plus, avec bonheur, à la renaissance de ses personnages, à leurs révoltes et à leurs peurs, qu’à l’intrigue policière proprement dite. Ce qui permet à son créateur, le cinéaste Thomas Cailley (Les Combattants), des ruptures de ton et un mélange des genres (thriller, mélo, onirisme, etc.) qui tranchent avec ce que proposent nombre de séries françaises, surtout lorsqu’elles investissent le champ de l’anticipation.
Le Parisien
En choisissant de donner vie à une société où la mort n’est plus une fatalité, Thomas Cailley signe une série subtile mêlant avec intelligence action, suspense et réflexion sur le sens de l’existence. (…) Ad vitam, récompensé du prix de la meilleure série française au festival Séries Mania en avril, est une réussite rare pour de la science-fiction made in France.
Télé 7 Jours
Après son film Les Combattants, salué par la critique, Thomas Cailley signe un thriller d'anticipation mélancolique, glaçant et spirituel sur le thème de l'immortalité. Dans ce monde sans mort fascinant, le duo Yvan Attal-Garance Marillier crève l'écran !
Télérama
Après Les Combattants, César du meilleur premier film en 2015, Thomas Cailley coécrit et coréalise (avec Manuel Schapira) une nouvelle histoire de survie. Il passe cette fois-ci par le genre, dans un polar d’anticipation aux riches accents métaphoriques, émouvant portrait croisé de deux héros tourmentés. Sa mise en scène sensorielle regorge d’effets visuels réussis et de séquences oniriques, et amène par l’émotion une réflexion existentielle passionnante sur la jeunesse et sur la mort comme condition sine qua non de notre humanité. Yvan Attal, pourtant très bien, se fait voler la vedette par Garance Marillier, habitée, qui confirme, après Grave, l’intensité de son jeu.
L'Express
Aux commandes, Thomas Cailley (auteur de l'excellent Les Combattants, 2014) signe une mise en scène branchée et aguicheuse. L'univers visuel soigné et très coloré lorgne du côté de la BD SF. La bande-son électro, minimale et dansante, est entêtante. L'atmosphère mélancolique est immédiatement contagieuse. Dans la peau de leur personnage, Yvan Attal et Garance Marillier imposent un jeu délicatement lunaire. L'alchimie fonctionne à merveille. Et le constat s'impose : Ad vitam est une série qui a du cachet.
Les Inrockuptibles
Dans un futur où la mort est exorcisée par la science, un flic de 120 ans enquête sur sept suicidés. Une série figée qui prend le temps de décoller.
Télé Loisirs
Dans une série sobre et efficace tant en termes esthétiques que narratifs, Yvan Attal comme Garance Marillier livrent des performances convaincantes. Saluons aussi l'effort de tenter le genre de la science-fiction, même s'il est un peu dommage de noyer le postulat posé par l'univers de la série et les questions passionnantes qu'il soulève sous une enquête policière.
Le Figaro Magazine
Ad vitam a bouleversé de nombreux confrères. On aurait adoré l’aimer. Las, cette réflexion en six volets sur la mortalité de notre existence qui constitue notre humanité nous a laissés de marbre. (…) La faute au polar. Cette porte d’entrée parasite le propos qui se veut existentialiste et introduit un faux rythme. Hiératique, Yvan Attal est aussi impassible que Ryan Gosling dans Drive ou First Man. Et les souffrances de cette jeunesse, traduites par la performance éblouissante de Garance Marillier, ne suffisent pas à nous retenir.
Ecran Large
Imaginez un Altered Carbon qui se prendrait encore plus au sérieux mais aurait encore moins les moyens de ses ambitions et d'inspiration, et vous aurez un bon aperçu d'Ad Vitam. En l'état, en dehors des nombreux moments de gêne de la saison 1 d'Ad Vitam, il n'y a absolument rien à en retenir et tout à oublier, et surtout aucune raison d'espérer une éventuelle saison 2, plus redoutée qu'attendue.