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elriad
430 abonnés
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Critique de la série
5,0
Publiée le 28 août 2020
Voici une série brillante et complexe, intelligente et interrogatrice sur les relations troubles entre médias et politique, sur la puissance et l’influence des journaux sur le déroulement des élections. Des psychologies poussées des personnages au scénario fin et cynique, cette série de 8 épisodes d'une durée de 60 minutes, portée par des comédiens impeccables jusqu'aux plus petits, mérite sans le détour et prouve s'il en était besoin la qualité des séries britanniques une fois de plus.
Bof bof Ça commence plutôt bien Et puis ça se gâte ,c'est lent ,c'est long ,ça devient interminable.Et quand on commence à attaquer les flashbacks,ça devient carrément ennuyeux.La même histoire en 1 h30,c'était suffisant.
Les pouvoirs et les méandres de la politique, du pouvoir et de la presse. Superbement joué, scénario original, complexe, prenant. Que demandez de plus ?
cette série anglaise aux ressemblances US aurait méritée 4 étoiles s'il y avait eu une seconde saison, mais là on reste sans explication et c'est désolant. Surtout trop de bla-bla et peu d'action , ce qui a peut être été la cause de l'annulation, et pas bon pour l'image de Geere.
Richard Gere dans une série télévisée produite par la BBC est en soi comme un événement. En effet l’acteur contrairement à beaucoup d’autres de sa génération n’a pratiquement jamais cédé aux sirènes de la télévision. Sa dernière apparition dans remonte à 1976 dans un unique épisode de la série « Kojak » aux côtés de Telly Savalas. Autant dire que participation à « Motherfatherson » constituait une surprise qui fut plutôt bonne. En effet dans ce drame sur fond de scandale mêlant étroitement politique, presse et finance, l’acteur s’avère excellent livrant sans aucun doute l’une de ses meilleures interprétations depuis «Affaires privées » de Mike Figgi en 1990 et « L’Elite de Brooklyn » en 2010. Magnat très puissant agissant principalement dans le domaine des media et de la presse en particulier, Max Finch fait la pluie et le beau temps au sein de la politique anglaise à la veille de l’élection du nouveau premier ministre. Froid et calculateur l’entrepreneur qui navigue entre le Mexique où l’attend sa nouvelle femme et l’Angleterre où réside son ex-épouse (Helen McCrory) et son fils (Billy Howle) qui dirige son principal journal doit faire face aux difficultés existentielles de celui spoiler: qui ne possède pas les qualités de commandement de son auguste père. La série s’enroule autour de ce conflit jamais réglé qui va obliger Max Finch à s’impliquer davantage dans la vie se son successeur désigné quand celui-ci va faire un AVC à la suite d’une surdose de cocaïne . Très habilement structurée, l’intrigue entremêle subtilement suspense, drame familial, étude de mœurs et de caractères. Étonnamment, quand il aborde le thème de la politique anglaise, le scénario ne plonge pas dans le manichéisme habituel qspoiler: ui voudrait que le magnat de la presse ayant quelque attrait professionnel pour une candidate que l’on pourra qualifier selon la novlangue actuelle de populiste celle-ci soit systématiquement caricaturée pour en faire un repoussoir . Les enjeux sont exposés avec un juste équilibre ce qui permet de laisser son libre arbitre au spectateur. La série est, il est vrai, produite par la BBC qui ne perd pas si facilement son sang-froid, prenant toujours soin de ne jamais trop céder aux emballements du moment. A côté de richard Gere on l’a dit excellent on appréciera la performance d’Helen McCrory excellente actrice anglaise trop tôt disparue qui donne toute l’humanité voulue à l’ex-épouse qui doit continuer à lutter pour échapper à l’emprise de Max Finch. Idem pour le jeune Billy Howle proprement confondant en fils paralysé par l’aura d’un père qu’il n’arrive pas à satisfaire. Tous les autres seconds rôles sont au diapason. Une série méconnue à chaudement recommander.
Max (Richard Gere) est un magnat américain possédant plusieurs médias en Angleterre et dans le monde. Caden, son fils trentenaire, dirige le journal londonien appartenant à son père. Il est jeune, ambitieux, difficilement contrôlable. Tout bascule quand Caden est atteint par un AVC, sa capacité à communiquer et, surtout, à garder un secret sont altérées mettant en danger tout l’empire de Max.
Sombre histoire familiale, Mother Father Son est une série dure et parfois éprouvante. L’interprétation est irréprochable (mention spéciale à Helen Mc Crory vue dans Peaky Blinders) et les huit épisodes s’apparentent à une lente descente aux enfers.
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J'ai eu plaisir à voir la 1ère saison, notamment pour le jeu de Helen McCrory (peaky blinders). Les personnages sont très travaillés. Le scénario est parfois un peu lent et cliché mais ça reste une bonne découverte.