Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Entertainment weekly
par Dana Schwartz
Le coeur de la série réside fermement dans l'unité de cette famille texane de classe moyenne (...). C'est ce focus familial, avec Sheldon qui fait figure d'alien et d'outsider mais est, malgré tout, aimé, qui fait de Young Sheldon une série plus tendre que ne l'est The Big Bang Theory.
La critique complète est disponible sur le site Entertainment weekly
New York Post
par Robert Rorke
[Zoe] Perry, qui est le portrait craché de sa mère, est absolument géniale dans le rôle de Mary Cooper... Bien entendu, le succès de l'entreprise repose sur les épaules de Iain Armitage. Il se révèle être un acteur habile.
La critique complète est disponible sur le site New York Post
San Francisco Chronicle
par David Wiegand
Il y a une différence de ton très distincte entre Young Sheldon et The Big Bang Theory. [Young Sheldon] est plus une série familiale traditionnelle et l'humour y est par conséquent plus propre. Dans The Big Bang Theory, Sheldon tient souvent une place centrale dans le groupe, il n'y a pas de doute là-dessus, [mais] son spin-off fait malgré tout l'effort d'être une série d'ensemble. Et, franchement, on aurait pu avoir notre dose de Sheldon il y a bien longtemps si quelqu'un n'avait pas eu la brillante idée de caster Mayim Bialik dans le rôle de sa future petite amie d'une patience à toute épreuve.
La critique complète est disponible sur le site San Francisco Chronicle
USA Today
par Kelly Lawler
Iain Armitage parvient à être adorable sans être mièvre tout en étant assez direct et agaçant pour percevoir des pointes de la version, livrée par Parson, du personnage agé de près de trois décennies de plus.
La critique complète est disponible sur le site USA Today
Yahoo TV
par Ken Tucker
Young Sheldon a ce rayonnement qui rappelle "Les Années coup de coeur". Sur le long terme, le challenge du show sera de faire en sorte que le jeune Sheldon reste un enfant attachant et auquel on croit tout en mettant l'accent sur les excentriques traits de caractère qui ont fait de lui une création comique efficace. Toutefois, au vu du premier épisode, on a vraiment le sentiment que cela ne sera pas un problème.
La critique complète est disponible sur le site Yahoo TV
Boston Herald
par Mark A. Perigard
Le pilote se met en quatre pour montrer comment [Sheldon] est dévoué à sa routine, qu'il n'aime pas toucher [les autres] ou qu'il est effrayé par les animaux et les bruits trop forts. Quand son noeud papillon disparaît, il explose de panique. La seule conclusion à tirer de Young Sheldon, c'est que son présent est bien plus intéressant que son passé.
La critique complète est disponible sur le site Boston Herald
Variety
par Maureen Ryan
A l'instar d'une ambitieuse expérience scientifique, Young Sheldon est un travail en cours, mais si [la série] trouve un moyen de fusionner le pathos de l'existence de Sheldon - il est fréquemment raillé et incompris autant à l'école que chez lui - à un humour léger mais fiable et efficace, CBS pourrait tenir quelque chose avec ce prequel.
La critique complète est disponible sur le site Variety
The Hollywood Reporter
par Dan Fienberg
En gros, ce sale gosse brillant est amusant, mais dans, The Big Bang Theory, ce qui est plus amusant encore, ce sont les gens qui ont choisi d'être avec lui. Et dans Young Sheldon, ce qui est plus amusant encore, ce sont les gens qui n'ont pas d'autre choix que d'être avec lui. Le pilote de Young Sheldon n'en est pas encore là. Il s'accroche trop à un héros dont on sait qu'il ne peut et qu'il ne changera pas pour le mieux. [Au moment de la saison 1] Lorre et toute l'équipe de The Big Bang Theory avaient très bien réussi à comprendre que leur série devait évoluer. Celle-ci a également besoin d'un réajustement de son concept.
La critique complète est disponible sur le site The Hollywood Reporter
We Got This Covered
par Lauren Humphries-Brooks
Young Sheldon est le cracker salé de la télévision : fade, inoffensif et, instantanément, oublié.
La critique complète est disponible sur le site We Got This Covered
Entertainment weekly
Le coeur de la série réside fermement dans l'unité de cette famille texane de classe moyenne (...). C'est ce focus familial, avec Sheldon qui fait figure d'alien et d'outsider mais est, malgré tout, aimé, qui fait de Young Sheldon une série plus tendre que ne l'est The Big Bang Theory.
New York Post
[Zoe] Perry, qui est le portrait craché de sa mère, est absolument géniale dans le rôle de Mary Cooper... Bien entendu, le succès de l'entreprise repose sur les épaules de Iain Armitage. Il se révèle être un acteur habile.
San Francisco Chronicle
Il y a une différence de ton très distincte entre Young Sheldon et The Big Bang Theory. [Young Sheldon] est plus une série familiale traditionnelle et l'humour y est par conséquent plus propre. Dans The Big Bang Theory, Sheldon tient souvent une place centrale dans le groupe, il n'y a pas de doute là-dessus, [mais] son spin-off fait malgré tout l'effort d'être une série d'ensemble. Et, franchement, on aurait pu avoir notre dose de Sheldon il y a bien longtemps si quelqu'un n'avait pas eu la brillante idée de caster Mayim Bialik dans le rôle de sa future petite amie d'une patience à toute épreuve.
USA Today
Iain Armitage parvient à être adorable sans être mièvre tout en étant assez direct et agaçant pour percevoir des pointes de la version, livrée par Parson, du personnage agé de près de trois décennies de plus.
Yahoo TV
Young Sheldon a ce rayonnement qui rappelle "Les Années coup de coeur". Sur le long terme, le challenge du show sera de faire en sorte que le jeune Sheldon reste un enfant attachant et auquel on croit tout en mettant l'accent sur les excentriques traits de caractère qui ont fait de lui une création comique efficace. Toutefois, au vu du premier épisode, on a vraiment le sentiment que cela ne sera pas un problème.
Boston Herald
Le pilote se met en quatre pour montrer comment [Sheldon] est dévoué à sa routine, qu'il n'aime pas toucher [les autres] ou qu'il est effrayé par les animaux et les bruits trop forts. Quand son noeud papillon disparaît, il explose de panique. La seule conclusion à tirer de Young Sheldon, c'est que son présent est bien plus intéressant que son passé.
Variety
A l'instar d'une ambitieuse expérience scientifique, Young Sheldon est un travail en cours, mais si [la série] trouve un moyen de fusionner le pathos de l'existence de Sheldon - il est fréquemment raillé et incompris autant à l'école que chez lui - à un humour léger mais fiable et efficace, CBS pourrait tenir quelque chose avec ce prequel.
The Hollywood Reporter
En gros, ce sale gosse brillant est amusant, mais dans, The Big Bang Theory, ce qui est plus amusant encore, ce sont les gens qui ont choisi d'être avec lui. Et dans Young Sheldon, ce qui est plus amusant encore, ce sont les gens qui n'ont pas d'autre choix que d'être avec lui. Le pilote de Young Sheldon n'en est pas encore là. Il s'accroche trop à un héros dont on sait qu'il ne peut et qu'il ne changera pas pour le mieux. [Au moment de la saison 1] Lorre et toute l'équipe de The Big Bang Theory avaient très bien réussi à comprendre que leur série devait évoluer. Celle-ci a également besoin d'un réajustement de son concept.
We Got This Covered
Young Sheldon est le cracker salé de la télévision : fade, inoffensif et, instantanément, oublié.