Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Los Angeles Times
par Lorraine Ali
Dietland est une magnifique exagération de la rage qui entoure ce fameux mouvement #MeToo forçant un changement de cap. L'effet Harvey Weinstein est satirisé ici, de sa dépravation à la furie des victimes, passés par le filtre de l'humour noir, et cet humour noir se transforme en un étrange mais pertinent drama.
La critique complète est disponible sur le site Los Angeles Times
New Yorker
par Troy Patterson
La tournure que prennent les événements est à la fois proportionelle à l'intensité de sa critique culturelle et appropriée à sa narration rythmée par des séquences de rêves, de cauchemars éveillés et d'hallucinations extravagantes. De la mousse de savon mêlée à du sang en effervescence.
La critique complète est disponible sur le site New Yorker
The Hollywood Reporter
par Inkoo Kang
Dietland est une série fascinante et tourbillonnante : à la fois récit d'apprentissage, manifeste sur les diktats de la mode, laïus sur le capitalisme et le consumérisme, mystère aturour d'une cellulle terroriste feministe qui utilise la violence pour punir les violeurs, les pédophiles... et les éditeurs de magazines ! La colère qu'elle dégage à l'encontre des mysogynes dans les deux premiers épisodes est crue, dure et argumentée, mais aussi parfois un peu confuse.
La critique complète est disponible sur le site The Hollywood Reporter
USA Today
par Kelly Lawler
Cette dramédie sombre intelligemment écrite est l'expression délectable d'une colère féministe, une parabole qui éviscère le patriarcat.
La critique complète est disponible sur le site USA Today
Entertainment weekly
par Kristen Baldwin
S'attacher à Dietland va demander une patience aux téléspectateurs qu'ils n'ont pas forcément. A ce stade, elle est comparable à un régime : facile à démarrer et tout aussi facile à abandonner;
La critique complète est disponible sur le site Entertainment weekly
Newsday
par Verne Gay
Souvent drôle, engagée, et pas aussi compliquée qu'elle en a l'air, Dietland devient de plus en plus noire au fil des épisodes. Il s'agit d'une série de vengeance, et avec Marti Noxon à sa tête, "drôle" et "noir" vont forcément ensemble.
La critique complète est disponible sur le site Newsday
RogerEbert.com
par Allison Shoemaker
Dietland est certainement bordélique, mais elle a ce qu'il faut... Elle raconte tellement d'histoires à la fois qu'elle en devient confuse, parfois écrasante. Pourtant, il y a quelque chose qui fonctionne et qui l'emporte toujours. Qui captive même. Sa rage est immensément attirante. Son désir de passer d'un style à un autre et devenir franchement bizarre est admirable.
La critique complète est disponible sur le site RogerEbert.com
Collider
par Allison Keene
L'approche "fusil de chasse" de Dietland en terme d'écriture et son désir d'être une étrange et sombre comédie plutôt que de miser sur ses moments de sincérité (et sur le trésor qu'est l'actrice Joy Nash) ressemble à une opportunité manquée.
La critique complète est disponible sur le site Collider
Variety
par Caroline Framke
Pour tous les moments qui frappent tout près de la réalité et qui laissent donc une trace, il y en a cinq autres qui brassent du vent. Dietland veut être à la fois une satire et un drame (...) et sa détermination à être tout ça ressemble surtout à rien.
La critique complète est disponible sur le site Variety
Los Angeles Times
Dietland est une magnifique exagération de la rage qui entoure ce fameux mouvement #MeToo forçant un changement de cap. L'effet Harvey Weinstein est satirisé ici, de sa dépravation à la furie des victimes, passés par le filtre de l'humour noir, et cet humour noir se transforme en un étrange mais pertinent drama.
New Yorker
La tournure que prennent les événements est à la fois proportionelle à l'intensité de sa critique culturelle et appropriée à sa narration rythmée par des séquences de rêves, de cauchemars éveillés et d'hallucinations extravagantes. De la mousse de savon mêlée à du sang en effervescence.
The Hollywood Reporter
Dietland est une série fascinante et tourbillonnante : à la fois récit d'apprentissage, manifeste sur les diktats de la mode, laïus sur le capitalisme et le consumérisme, mystère aturour d'une cellulle terroriste feministe qui utilise la violence pour punir les violeurs, les pédophiles... et les éditeurs de magazines ! La colère qu'elle dégage à l'encontre des mysogynes dans les deux premiers épisodes est crue, dure et argumentée, mais aussi parfois un peu confuse.
USA Today
Cette dramédie sombre intelligemment écrite est l'expression délectable d'une colère féministe, une parabole qui éviscère le patriarcat.
Entertainment weekly
S'attacher à Dietland va demander une patience aux téléspectateurs qu'ils n'ont pas forcément. A ce stade, elle est comparable à un régime : facile à démarrer et tout aussi facile à abandonner;
Newsday
Souvent drôle, engagée, et pas aussi compliquée qu'elle en a l'air, Dietland devient de plus en plus noire au fil des épisodes. Il s'agit d'une série de vengeance, et avec Marti Noxon à sa tête, "drôle" et "noir" vont forcément ensemble.
RogerEbert.com
Dietland est certainement bordélique, mais elle a ce qu'il faut... Elle raconte tellement d'histoires à la fois qu'elle en devient confuse, parfois écrasante. Pourtant, il y a quelque chose qui fonctionne et qui l'emporte toujours. Qui captive même. Sa rage est immensément attirante. Son désir de passer d'un style à un autre et devenir franchement bizarre est admirable.
Collider
L'approche "fusil de chasse" de Dietland en terme d'écriture et son désir d'être une étrange et sombre comédie plutôt que de miser sur ses moments de sincérité (et sur le trésor qu'est l'actrice Joy Nash) ressemble à une opportunité manquée.
Variety
Pour tous les moments qui frappent tout près de la réalité et qui laissent donc une trace, il y en a cinq autres qui brassent du vent. Dietland veut être à la fois une satire et un drame (...) et sa détermination à être tout ça ressemble surtout à rien.