Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
5 critiques presse
Entertainment weekly
par Shirley Li
Même si les scènes entre Jules, l'étudiante qui se prend pour un ninja, et Ophelia, la hackeuse dealeuse d'herbe, crépitent d'une alchimie de couple mal assorti assez vertigineuse, le côté tranchant de Sweet/Vicious n'est pas aussi aiguisé que la série semble vouloir l'être.
La critique complète est disponible sur le site Entertainment weekly
TV Guide
par Matt Roush
Comme UnReal, Sweet/Vicious arrive à point nommé, par sa façon de dépeindre la prise de pouvoir et la colère des femmes. Le tout recouvert d'un humour ironique et désabusé.
The A.V. Club
par Alex McCown
Sweet/Vicious est une tentative passionnée et futée d'accomplissement des désirs, malgré ses occasionnels faux pas. Les ingrédients clés d'une réussite, à savoir des héroïnes fortes, des dialogues bien écrits, et un pitch de départ imparable, sont en tout cas déjà en place, ce qui signifie que la série possède une base solide qui ne demande qu'à grandir et à se développer.
La critique complète est disponible sur le site The A.V. Club
Variety
par Maureen Ryan
La plupart des éléments qui composent la série sont inattendus et fonctionnent plutôt bien, à notre grande surprise. (…) Au fond, Sweet/Vicious est une saga super-héroïque plaisante (…) dont le sujet central est l'épidémie grandissante d’agressions sexuelles sur les campus des universités américaines.
La critique complète est disponible sur le site Variety
We Got This Covered
par Mitchel Broussard
Même si elle est le parfait exemple de ce qui accable certaines des fictions de MTV en terme de narration et de personnages construits de manière flagrante, la colère militante et étouffante de la série, qui vous donne un sacré coup dans la scène d'ouverture et fait sens une fois arrivé à la fin de l'épisode 2, est déployée avec assez de cran et de cœur pour justifier la morale sordide que Sweet/Vicious a le courage d'adopter.
La critique complète est disponible sur le site We Got This Covered
Entertainment weekly
Même si les scènes entre Jules, l'étudiante qui se prend pour un ninja, et Ophelia, la hackeuse dealeuse d'herbe, crépitent d'une alchimie de couple mal assorti assez vertigineuse, le côté tranchant de Sweet/Vicious n'est pas aussi aiguisé que la série semble vouloir l'être.
TV Guide
Comme UnReal, Sweet/Vicious arrive à point nommé, par sa façon de dépeindre la prise de pouvoir et la colère des femmes. Le tout recouvert d'un humour ironique et désabusé.
The A.V. Club
Sweet/Vicious est une tentative passionnée et futée d'accomplissement des désirs, malgré ses occasionnels faux pas. Les ingrédients clés d'une réussite, à savoir des héroïnes fortes, des dialogues bien écrits, et un pitch de départ imparable, sont en tout cas déjà en place, ce qui signifie que la série possède une base solide qui ne demande qu'à grandir et à se développer.
Variety
La plupart des éléments qui composent la série sont inattendus et fonctionnent plutôt bien, à notre grande surprise. (…) Au fond, Sweet/Vicious est une saga super-héroïque plaisante (…) dont le sujet central est l'épidémie grandissante d’agressions sexuelles sur les campus des universités américaines.
We Got This Covered
Même si elle est le parfait exemple de ce qui accable certaines des fictions de MTV en terme de narration et de personnages construits de manière flagrante, la colère militante et étouffante de la série, qui vous donne un sacré coup dans la scène d'ouverture et fait sens une fois arrivé à la fin de l'épisode 2, est déployée avec assez de cran et de cœur pour justifier la morale sordide que Sweet/Vicious a le courage d'adopter.