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4,0
4184 notes
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Votre avis sur The Sinner ?
5
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87 critiques
3
53 critiques
2
31 critiques
1
10 critiques
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Si comme moi vous êtes intrigué par le sujet, passez votre chemin, car après un début effectivement intriguant, cela traine en longueur, certains épisodes ne servant à rien, et pourtant c'est une mini-série ! Plus l'intrigue avance et plus c'est décevant, pas crédible pour un sou. Le mystère épais et glauque qui semble émerger au début se révèle devenir une vague aventure adolescente. Tout ça pour ça.
spoiler:
Et je ne m'y connais pas en justice mais une peine de 30 ans transformée en 2 ans d'hôpital psy parce que tout d'un coup le juge revient sur son avis, ça me semble juste pas crédible et quand même, 2 ans pour l'assassinat sauvage d'un homme, malgré les circonstances atténuantes, ça laisse béa, non ?
D'ailleurs j'ai eu le sentiment désagréable de l'apologie de la violence...
D'ailleurs j'ai eu le sentiment désagréable de l'apologie de la violence...
Un premier épisode intriguant qui enchaine sur de l'ultra conventionnel (mère abusive, père adultère, mari qui ne sait rien sa femme) et du passablement ridicule (la sœur oubliée, le détective Ambrose, le changement de verdict).
Bref 6 épisodes de remplissage pour un final assez décevant. Regardez les épisodes 1 et 8, vous ne loupez absolument rien.
Bref 6 épisodes de remplissage pour un final assez décevant. Regardez les épisodes 1 et 8, vous ne loupez absolument rien.
Je reste un peu dubitative sur cette 3e saison. Ça commence très bien, et le personnage de Mister B., beau comme un ange et torturé comme un démon, est fascinant. Mais très vite, on a l'impression de tourner en rond, la même idée est reprise à l'infini, l'intrigue stagne, Mister B se débat entre le Bien et le Mal,
spoiler:
son désir de tuer et son attachement à la normalité,
des pans entiers restent inexpliqués, spoiler: comme le meurtre du devin dans la soirée à NY,
la pression exercée par Nick est redondante, la position du flic vraiment trop ambiguë - on sait depuis la S1 qu'il est lui aussi aux prises avec un combat intérieur entre le bien et le mal mais ce n'est pas rappelé ici on ne peut donc que s’étonner de la fascination que Mister B, spoiler: complètement cinglé disons le,
exerce sur lui.
Bref, j'ai un sentiment de quelque chose de brouillon, d'inabouti, d'une intrigue qui tire à la ligne - 4 épisodes auraient été suffisants pour moi.
des pans entiers restent inexpliqués, spoiler: comme le meurtre du devin dans la soirée à NY,
la pression exercée par Nick est redondante, la position du flic vraiment trop ambiguë - on sait depuis la S1 qu'il est lui aussi aux prises avec un combat intérieur entre le bien et le mal mais ce n'est pas rappelé ici on ne peut donc que s’étonner de la fascination que Mister B, spoiler: complètement cinglé disons le,
exerce sur lui.
Bref, j'ai un sentiment de quelque chose de brouillon, d'inabouti, d'une intrigue qui tire à la ligne - 4 épisodes auraient été suffisants pour moi.
J'ai découvert cette série par hasard sur le net et le 1er épisode est intriguant. C'est assez sombre, mais je trouve que les acteurs jouent bien et que c'est assez bien produit. On se demande qu'est-ce qu'il se passe, pourquoi, on veut savoir. L'épisode 2 sera pour très bientôt, je vais le regarder.
un bijoux cette série. il faut aller plus loin que le premier épisode pour accrocher. mais une fois lancer la série monte en puissance
3 saisons, 3 histoires. 3 récits de meurtre très compliqués avec des personnages très torturés psychologiquement. Pour les comprendre et tenter de les sauver face à la justice, il fallait un enquêteur très particulier, capable d'investiguer là où personne ne va aller chercher. Mais il faut aussi savoir les comprendre sur les raisons de leurs actes. Et avec une enfance douloureuse et des rapports compliqués, l'inspecteur Harry Ambrose est à même de mener ces missions. J'ai adoré la saison 1 (la meilleure), la saison 2 est assez moyenne et la saison 3 très bonne mais la plus intense, très perturbante. La force de la série est la complexité scénaristique : pour chacune des saisons, c'est le même mécanisme : un puzzle qui se met en place pièce par pièce tout au long des 8 épisodes : chapeau pour l'écriture de ces histoires ! L'autre force de la série est le rôle de l'inspecteur Ambrose joué par Bill Pullman littéralement habité par son personnage un peu dérangé sur le plan psychologique. C'est une superbe prestation et il porte la série sur ses épaules. Si vous aimez les séries policières complexes et assez noires, voir dérangeantes : celle-ci doit faire partie de votre liste.
Clémentine K.
Une mini-série qui m’a tenue en haleine pendant l’ensemble des 8 épisodes. On y voit deux anti-héros : une criminelle et un inspecteur de police très tourmenté. Malgré ce qu’ils font/sont, on ressent très vite de l’empathie. Le dénouement sur 2 épisodes était vraiment bouleversant mais efficace.
The Sinner reviste le traditionnel "whodunnit", qui est le coupable ? du policier traditionnel par le whydunnit, pourquoi le coupable a fait ça ? Et c'est bien plus intéressant car Cora a fait quelque chose de terrible mais le pourquoi devient une question cruciale et obsédante. En effet, le téléspectateur est tout aussi interloqué que le détective Ambrose qui ne veut pas lâcher l'affaire sous prétexte qu'il a sa coupable derrière les barreaux. The Sinner, c'est aussi une atmosphère particulière limite pesante sous fond de religion...
C'est drôle j'avais un bon souvenir des 2 premières saisons de "the sinner" mais je suis beaucoup plus mitigé sur la 3ème. Quand à son ambiance cette série US se rapproche beaucoup plus de ses homologues britanniques voire nordiques, c'est rare de voir une série américaine avec ce type de climat. Pour le reste lenquête met en valeur les liens plus qu'ambigus entre le flic Harry Ambrose (très bon Bill Pullman) et le psychopathe Jamie Burns (Matt Bomer, pas mauvais non plus) mais ca philosophe beaucoup trop tombant à quelques rares moments dans l'onirique complet. De plus il n'y a pas réellement d'enquête puisqu'on sait très vite de quoi il retourne donc 0 intérêt de ce côté là. ca ne m'a pas convaincu du tout mais c'est bien tourné. 2.5 / 5
Ufuk K
" The Sinner " qui comporte trois saisons à suivre sur Netflix et en VOD, est une série d'anthologie de bonne facture . En effet chaque saisons comporte des nouveaux personnages avec des nouvelles histoires décrivant comment une personne ordinaire d'apparence du jour au lendemain passe à l'acte en commettant un crime, la série décrypte d'une manière pertinente la société américaine, mélangeant le genre psychologique et policier, mention spéciale à la saison 1 nettement au dessus des autres ( avec la présence de Jessica Biel) , la saison 2 reste intéressante et la troisième un cran au dessous . Bravo à Bill Pullman présent dans tous les saisons pour sa prestation.
Série intéressante. L'ambiance et la construction se tiennent. Néanmoins, quelques incohérences et éléments bancals pénalise le tout.
Bon début d'intrigue hâte de découvrir la suite espérant que le suspense perdure..pullman toujours excellent
La saison démarre très bien mais tombe vite à plat. Les deux acteurs principaux sont très bons mais plus les épisodes passent plus on a l'impression d'être devant Esprits Criminels ou une série TF1 du genre. Très franchement un ou deux épisodes auraient suffis à raconter cette histoire qui s'étire pour s'étirer. Il y a des scènes un peu tirées par les cheveux, pas très cohérentes. Cette saison n'est pas à la hauteur des deux autres. Je ne la conseille pas.
Difficile d'être pleinement satisfait par cette série policière qui, pour moi, est l'une des moins abouties du genre de ces dernières années. Une jeune femme poignarde à mort un jeune homme sur une plage à la vue de tous. Rapidement interrogée, elle dit ne pas connaître la victime et ne pas comprendre son geste. A peine commencée, la série prend déjà un gros risque car le dénouement final devra être en adéquation avec cette improbable mise en place. Cette femme commet un meurtre et, sans le nier, semble
spoiler:
jouer la carte de l'incompréhension voire de l'amnésie..
La trame est lancée et va devoir tenir sur 8 épisodes tout en tissant une toile suffisamment cohérente pour rester crédible. Je passe rapidement sur les prestations moyennes de Jessica Biel et Bill Pullman. La première ne convainc qu'à moitié et le second n'est pas servi pas un personnage dont le réalisateur se plaît à spoiler: torturer physiquement et psychologiquement
sans raison apparente pour l'histoire. L'inspecteur Ambrose donc, mène l'enquête et veut découvrir la vérité sur cette affaire. Les pistes distillées avec parcimonie par l'accusée vont bien l'y aider. À la lumière du final, ce genre de show pour se démarquer doit avoir un petit truc en plus (le charisme d'un personnage, une bonne histoire, peu d'invraisemblances, etc.) mais The Sinner ne possède rien de spécial ou de novateur, Derek Simonds semble même utiliser toute la panoplie du scénario facile (raccourcis, ellipse temporel surprenante, inspecteur instable, indices et présomptions tombant du ciel, ...). Ces quelques exemples suffisent.. spoiler: une mère ultra pratiquante voire tyrannique, un père adultère, un mari très niais sur le passé de sa femme, l'arrivée de la police d'Etat,
Tout ou presque y passe.. Autre point important que nous ne pouvons ignorer... spoiler: Cora semble avoir oublié sa vie passée avec sa sœur pourtant très présente dans les flashback. La prise de stupéfiants semble lui avoir fait oublier son passé puisque des brides viennent tout au long des 8 épisodes.
Et c'est là que The Sinner ne tient pas vraiment la route. spoiler: Elle sait que sa sœur existe, qu'elle prenait beaucoup de place dans sa vie. Ensuite, elle remplace sa sœur par Maddy dans tout ce qui la traumatise autrement dit le meurtre de sa sœur et sa captivité. Pour finalement se souvenir qu'elle est sortie avec elle ce jour-là.. On parle de sœurs limite fusionnelles dont l'une très malade ne sortait jamais jusqu'à cette soirée fatale..
La trame est lancée et va devoir tenir sur 8 épisodes tout en tissant une toile suffisamment cohérente pour rester crédible. Je passe rapidement sur les prestations moyennes de Jessica Biel et Bill Pullman. La première ne convainc qu'à moitié et le second n'est pas servi pas un personnage dont le réalisateur se plaît à spoiler: torturer physiquement et psychologiquement
sans raison apparente pour l'histoire. L'inspecteur Ambrose donc, mène l'enquête et veut découvrir la vérité sur cette affaire. Les pistes distillées avec parcimonie par l'accusée vont bien l'y aider. À la lumière du final, ce genre de show pour se démarquer doit avoir un petit truc en plus (le charisme d'un personnage, une bonne histoire, peu d'invraisemblances, etc.) mais The Sinner ne possède rien de spécial ou de novateur, Derek Simonds semble même utiliser toute la panoplie du scénario facile (raccourcis, ellipse temporel surprenante, inspecteur instable, indices et présomptions tombant du ciel, ...). Ces quelques exemples suffisent.. spoiler: une mère ultra pratiquante voire tyrannique, un père adultère, un mari très niais sur le passé de sa femme, l'arrivée de la police d'Etat,
Tout ou presque y passe.. Autre point important que nous ne pouvons ignorer... spoiler: Cora semble avoir oublié sa vie passée avec sa sœur pourtant très présente dans les flashback. La prise de stupéfiants semble lui avoir fait oublier son passé puisque des brides viennent tout au long des 8 épisodes.
Et c'est là que The Sinner ne tient pas vraiment la route. spoiler: Elle sait que sa sœur existe, qu'elle prenait beaucoup de place dans sa vie. Ensuite, elle remplace sa sœur par Maddy dans tout ce qui la traumatise autrement dit le meurtre de sa sœur et sa captivité. Pour finalement se souvenir qu'elle est sortie avec elle ce jour-là.. On parle de sœurs limite fusionnelles dont l'une très malade ne sortait jamais jusqu'à cette soirée fatale..
Un savoir faire évident , des acteurs a la hauteur mais par moment des purges psy fatigantes qui se complaisent dans des longueurs insurmontables. On a droit aussi a des invraisemblance trop énormes , conséquences du cheminement tortueux des scénaristes. On ne laisse pas ressortir un taré complet, quand il déraille à ce point aux urgences psy , même si l’état a baissé le nombre de lits. Dommage donc car rien que pour l’enquêteur ça valait le déplacement , sauf que par moment on se demande si de son coté il n'en a pas un petit coup aussi.