Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
30 critiques presse
TVLine
par Dave Nemetz
Le reboot d'HBO paraît curieusement extrêmement actuel, avec des personnages richement dessinés, des images magnifiques, un mystère central vraiment captivant et une autre géniale performance de premier plan de .
La critique complète est disponible sur le site TVLine
Washington Post
par Hank Stuever
Perry Mason expose parfaitement et méthodiquement un mystère captivant et qui s'étend (ce qui est, après tout, le principal attrait d'une histoire de genre), tout en façonnant de façon remarquable des personnages dont les histoires parleront au public moderne (…) Aucune once de talent n'est ici gaspillée.
La critique complète est disponible sur le site Washington Post
TV Guide
par Matt Roush
Une version plus réaliste et sordidement satisfaisante [de Perry Mason] (…) [Matthew] Rhys est un merveilleux Perry.
indieWIRE
par Ben Travers
La série est vouée à s'améliorer l'an prochain. Perry Mason est un polar délicatement travaillé fait pour ceux qui apprécient le genre - ou simplement ceux qui apprécient les récits réfléchis, complexe et avec une intention en général.
La critique complète est disponible sur le site indieWIRE
Slant Magazine
par Steven Scaife
La série est sanglante et sombre, avec un cynisme profond, mais elle est aussi optimiste à sa manière, lorsque cette origin story raconte comment ses personnages trouvent une raison de se battre plutôt que d'être des spectateurs découragés et dégoûtés.
La critique complète est disponible sur le site Slant Magazine
Slate
par Willa Paskin
Alors que la série se transforme plus ou moins en cours de route, chaque épisode devient une vitrine un peu plus appropriée pour [Matthew] Rhys, acteur qui évoque honnêteté et décence même lorsqu'il n'est ni honnête ni décent (…) Alors que Perry devient un avocat-super-héros, alors qu'il assemble sa nouvelle équipe diverse, la série policière laisse place aux plaisirs plus simple du drame judiciaire dans lequel le système peut fonctionner, même un peu, car il y a un avocat à croire.
La critique complète est disponible sur le site Slate
The A.V. Club
par Gwen Inhat
[Matthew] développe son personnage énigmatique couche après couche avec adresse, transformant ce dégénéré en une version plus reconnaissable de l'icône juridique admirée pendant des décennies. Le mystère qui entoure la façon dont il y parvient est même plus captivant que le complot répugnant qui balade Perry Mason.
La critique complète est disponible sur le site The A.V. Club
The Independent
par Ed Cumming
Le rendu visuel et sonore est merveilleux, chaque décor et costume sont détaillés de façon impeccable, et il y a juste assez de nudité et de violence pour vous faire comprendre que vous êtes devant de la télévision pour adultes.
La critique complète est disponible sur le site The Independent
The Oregonian
par Kristi Turnquist
Ce qui rend Perry Mason captivante, c'est la façon dont la série contrebalance la tristesse au cœur de l'enquête menée par Mason - un enfant est enlevé et tué - avec des touches vintage, dont un casting formidable.
La critique complète est disponible sur le site The Oregonian
CNN
par Brian Lowry
"Ce n'est pas le Perry Mason de votre grand-mère" n'est pas vraiment un pitch de marketing. Une meilleure façon de décrire cette espèce d'origin story serait [de parler de] rencontre entre Chinatown et Boardwalk Empire dans un récit policier d'époque habile et sombre qui est assez bon pour que cela constitue un argument pour qu'on le regarde, même s'il ne s'agit pas vraiment d'une affaire simple.
La critique complète est disponible sur le site CNN
Hollywood Reporter
par Dan Fienberg
Avec une solide performance principale de , un casting à tomber et une impeccable reconstitution de l'époque de la Grande Dépression, la série fait cas d'elle-même sans pour autant nous faire comprendre, de manière convaincante, pourquoi parmi toutes les marques disponibles dans le monde, c'est celle-ci qu'ils ont voulu creuser (…) Perry Mason évite dans l'ensemble de s'engouffrer dans le côté "Anti-Héros du Câble : Édition Grande Dépression". Et une bonne partie du crédit en revient à Rhys.
La critique complète est disponible sur le site Hollywood Reporter
Pittsburg Post-Gazette
par Rob Owen
Le remake de Perry Mason signé HBO rassemble plusieurs super éléments, à commencer par le casting et les décors d'époque, mais il faut cinq épisodes pour en arriver au drame judiciaire que les téléspectateurs familiers du personnage connaissent.
La critique complète est disponible sur le site Pittsburg Post-Gazette
Salon.com
par Melanie McFarland
Le public de cette série (…) devrait se sentir servi avec compétence par le matériau. Pour ceux qui connaissent le titre, Perry Mason est inattendue. Ceux qui ne le connaissaient pas pourraient s'éprendre de son exécution globale, qui en fait un titre de premier ordre. Du haut niveau qui m'a laissé avec l'envie de quelque chose d'entièrement nouveau.
La critique complète est disponible sur le site Salon.com
Sioux City Journal
par Bruce Miller
Répartie sur huit épisodes, Perry Mason mérite le temps que vous lui consacrez. [La série] permet aux personnages secondaires d'avoir leurs moments et offre à [Matthew] Rhys une nouvelle opportunité de faire étalage de la fertilité de son imagination. Si deuxième saison il y a (…), il serait bien d'y voir des cas résolus après deux ou trois épisodes.
La critique complète est disponible sur le site Sioux City Journal
TV Guide
par Keith Phipps
Tout au long de ses huit épisodes, la série plonge dans le passé de Mason tout en le redéfinissant pour une nouvelle époque de télévision mue par des personnages complexes, des mondes richement détaillés et des intrigues qui s'étendent sur une saison. Elle réussit tellement bien à gérer les deux premiers éléments qu'il est dommage qu'elle trébuche sur le troisième.
La critique complète est disponible sur le site TV Guide
Time
par Judy Berman
D'un point de vue narratif, Perry Mason ne constitue pas le haut du panier d'HBO. Dans la lignée de l'attachante série originale, dans laquelle Mason faisait régulièrement avouer des coupables sous serment, il y a des trous dans l'histoire, des twists incroyables et des discours qui paraissent super mais soulèvent plus de questions qu'il n'y répondent. Les fans du format procédural de l'originale ne seront peut-être pas les seuls téléspectateurs frustrés par le rythme lent de ce reboot feuilletonnant. Mais [Matthew] Rhys y mène un excellent casting.
La critique complète est disponible sur le site Time
Vanity Fair
par Sonia Saraiya
L'ensemble fonctionne mieux qu'il ne le devrait. Il y a eu tellement de choses investies dans la production que le monde de la série prend vie, alors que le mystère est captivant et imprévisible (…) Mais l'histoire ne nous laisse pas entrer assez dans les vies intérieures [de Soeur Alice et la Mère qui la contrôle]. C'est un manque flagrant car, dans le même temps, la série passe trop de temps à naviguer au milieux des sentiments peu profonds ds hommes.
La critique complète est disponible sur le site Vanity Fair
Vulture
par Jen Chaney
Un récit d'époque à la fois somptueux, sombre et pafois purement et simplement gore, plein de performances de qualité, mais également un peu surchargé par des sous-intrigues qui auraient mérité d'être simplifiées ou coupées. Cet excès de gras chez Perry Mason est un défaut, mais il n'est pas de nature à nuire à ce qui reste, dans l'ensemble, une saison de télévision bonne et prenante.
La critique complète est disponible sur le site Vulture
Boston Globe
par Matthew Gilbert
Aussi intéressant pour son jeu d'acteurs et son ambiance d'époque que frustrant pour son histoire et son rythme. Oui, c'est un mélange classique, une série qui réussit à être un polar plein de textures et un cartoon un peu plat à la , avec des méchants définis par une seule caractéristique.
La critique complète est disponible sur le site Boston Globe
Collider
par Dave Trumbore
On retrouve l'empreinte d'HBO un peu partout, pour le meilleur comme pour le pire. En résulte quelque chose qui est brièvement lié à ce que l'on connaît de Perry Mason, et en même temps assez peu réjouissant qu'il en devient difficile de le recommander.
La critique complète est disponible sur le site Collider
Los Angeles Times
par Robert Lloyd
La saison, qui ressemble finalement au très long pilote de ce qui pourrait être une future bonne série, s'apprécie facilement, est joliment jouée et intelligemment conçue, avec des scènes complexes bien faites ; mais elle est aussi parfois déplaisante, un peu folle à l'approche de la fin, et trop longue et chargée pour le matériau.
La critique complète est disponible sur le site Los Angeles Times
RogerEbert.com
par Brian Tallerico
C'est une magnifique série en matière de décors et le casting est solide d'un bout à l'autre, mais les scénaristes et peinent à trouver une histoire qui vaille le coup de s'y investir pendant au moins la première moitié de la saison. La seconde est plus solide, et les performances [des acteurs] l'élèvent tout du long, mais avec des capacités de concentration réduites par l'état du monde en 2020, Perry Mason pourrait avoir du mal à retenir ses téléspectateurs pendant l'été (…) Le jury délibère encore sur ce cas.
La critique complète est disponible sur le site RogerEbert.com
Rolling Stone
par Alan Sepinwall
Ce nouveau Perry Mason est rempli de bonnes performances (même si toutes ne proviennent pas de la même série). Le rendu visuel est incroyable (quoique parfois plus gore qu'il n'est nécessaire). Mais l'histoire est un chantier - à la fois alambiquée et trop insipide pour tenir sur huit heures - et la volonté de donner à Mason l'origin story qu'il n'a jamais eue se révèle finalement plus problématique que nécessaire.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
The Guardian
par Rebecca Nicholson
Bien faite et assez captivante, en grande partie grâce au casting qui compte également dans le rôle du mentor de Mason, E.B. Jonathan, ou dans la peau de sa secrétaire, Della Street, [la série] ne semble pas encore particulièrement bien dans sa peau.
La critique complète est disponible sur le site The Guardian
Wall Street Journal
par John Anderson
La saison ressemble d'abord à un pilote de huit épisodes dans sa manière de présenter lentement des personnages destinés à réapparaître ailleurs ensuite (…) Avec moins de creux pensifs et plus de substance dramatique pour ce Perry Mason, l'excès n'aurait pas été aussi dérangeant.
La critique complète est disponible sur le site Wall Street Journal
Chicago Sun-Times
par Richard Roeper
Malgré une qualité de production de premier ordre et un casting exemplaire, l'intrigue ressemble à un Packard Roadster rutilant de 1932 avec de sérieux problèmes de moteur : c'est impressionnant, magnifique et agrémenté de plusieurs distractions étincelantes, mais nous ne pouvons finalement ignorer sa manière d'être sur la route, en nous secouant et en ayant des ratés par-ci par-là.
La critique complète est disponible sur le site Chicago Sun-Times
New York Times
par James Poniewozik
En tant qu'enquête, cette saison de huit épisodes est moyenne, et à la fin, la raison de vouloir faire revivre cette franchise reste mystérieuse.
La critique complète est disponible sur le site New York Times
Newsday
par Verne Gay
Une plongée ennuyeuse dans le L.A. noir [polar se déroulant à Los Angeles, ndlr].
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USA Today
par Kelly Lawler
Peu importe à quel point [Matthew] Rhys est convaincant en détective blasé à la recherche de la vérité, Perry Mason est trop funèbre. Il pourrait y avoir un temps pour une enquête macabre (surtout si elle accélérait le rythme), mais ce n'est certainement pas pour aujourd'hui.
La critique complète est disponible sur le site USA Today
Variety
par Daniel D'Addario
Beaucoup d'intrigues secondaires donnent l'impression de patiner - [Tatiana] est tellement vivante dans ses scènes qu'il peut être facile de se laisser emporter dans leur tourbillon, oubliant ainsi qu'il ne se passe pas grand-chose dans ces épisodes qui durent plus d'une heure. Une trop grande majorité de cette saison, huit épisodes punitifs, ressemble à une autre itération de quelque chose que nous avons déjà vue auparvant, ailleurs et souvent mieux.
La critique complète est disponible sur le site Variety
TVLine
Le reboot d'HBO paraît curieusement extrêmement actuel, avec des personnages richement dessinés, des images magnifiques, un mystère central vraiment captivant et une autre géniale performance de premier plan de .
Washington Post
Perry Mason expose parfaitement et méthodiquement un mystère captivant et qui s'étend (ce qui est, après tout, le principal attrait d'une histoire de genre), tout en façonnant de façon remarquable des personnages dont les histoires parleront au public moderne (…) Aucune once de talent n'est ici gaspillée.
TV Guide
Une version plus réaliste et sordidement satisfaisante [de Perry Mason] (…) [Matthew] Rhys est un merveilleux Perry.
indieWIRE
La série est vouée à s'améliorer l'an prochain. Perry Mason est un polar délicatement travaillé fait pour ceux qui apprécient le genre - ou simplement ceux qui apprécient les récits réfléchis, complexe et avec une intention en général.
Slant Magazine
La série est sanglante et sombre, avec un cynisme profond, mais elle est aussi optimiste à sa manière, lorsque cette origin story raconte comment ses personnages trouvent une raison de se battre plutôt que d'être des spectateurs découragés et dégoûtés.
Slate
Alors que la série se transforme plus ou moins en cours de route, chaque épisode devient une vitrine un peu plus appropriée pour [Matthew] Rhys, acteur qui évoque honnêteté et décence même lorsqu'il n'est ni honnête ni décent (…) Alors que Perry devient un avocat-super-héros, alors qu'il assemble sa nouvelle équipe diverse, la série policière laisse place aux plaisirs plus simple du drame judiciaire dans lequel le système peut fonctionner, même un peu, car il y a un avocat à croire.
The A.V. Club
[Matthew] développe son personnage énigmatique couche après couche avec adresse, transformant ce dégénéré en une version plus reconnaissable de l'icône juridique admirée pendant des décennies. Le mystère qui entoure la façon dont il y parvient est même plus captivant que le complot répugnant qui balade Perry Mason.
The Independent
Le rendu visuel et sonore est merveilleux, chaque décor et costume sont détaillés de façon impeccable, et il y a juste assez de nudité et de violence pour vous faire comprendre que vous êtes devant de la télévision pour adultes.
The Oregonian
Ce qui rend Perry Mason captivante, c'est la façon dont la série contrebalance la tristesse au cœur de l'enquête menée par Mason - un enfant est enlevé et tué - avec des touches vintage, dont un casting formidable.
CNN
"Ce n'est pas le Perry Mason de votre grand-mère" n'est pas vraiment un pitch de marketing. Une meilleure façon de décrire cette espèce d'origin story serait [de parler de] rencontre entre Chinatown et Boardwalk Empire dans un récit policier d'époque habile et sombre qui est assez bon pour que cela constitue un argument pour qu'on le regarde, même s'il ne s'agit pas vraiment d'une affaire simple.
Hollywood Reporter
Avec une solide performance principale de , un casting à tomber et une impeccable reconstitution de l'époque de la Grande Dépression, la série fait cas d'elle-même sans pour autant nous faire comprendre, de manière convaincante, pourquoi parmi toutes les marques disponibles dans le monde, c'est celle-ci qu'ils ont voulu creuser (…) Perry Mason évite dans l'ensemble de s'engouffrer dans le côté "Anti-Héros du Câble : Édition Grande Dépression". Et une bonne partie du crédit en revient à Rhys.
Pittsburg Post-Gazette
Le remake de Perry Mason signé HBO rassemble plusieurs super éléments, à commencer par le casting et les décors d'époque, mais il faut cinq épisodes pour en arriver au drame judiciaire que les téléspectateurs familiers du personnage connaissent.
Salon.com
Le public de cette série (…) devrait se sentir servi avec compétence par le matériau. Pour ceux qui connaissent le titre, Perry Mason est inattendue. Ceux qui ne le connaissaient pas pourraient s'éprendre de son exécution globale, qui en fait un titre de premier ordre. Du haut niveau qui m'a laissé avec l'envie de quelque chose d'entièrement nouveau.
Sioux City Journal
Répartie sur huit épisodes, Perry Mason mérite le temps que vous lui consacrez. [La série] permet aux personnages secondaires d'avoir leurs moments et offre à [Matthew] Rhys une nouvelle opportunité de faire étalage de la fertilité de son imagination. Si deuxième saison il y a (…), il serait bien d'y voir des cas résolus après deux ou trois épisodes.
TV Guide
Tout au long de ses huit épisodes, la série plonge dans le passé de Mason tout en le redéfinissant pour une nouvelle époque de télévision mue par des personnages complexes, des mondes richement détaillés et des intrigues qui s'étendent sur une saison. Elle réussit tellement bien à gérer les deux premiers éléments qu'il est dommage qu'elle trébuche sur le troisième.
Time
D'un point de vue narratif, Perry Mason ne constitue pas le haut du panier d'HBO. Dans la lignée de l'attachante série originale, dans laquelle Mason faisait régulièrement avouer des coupables sous serment, il y a des trous dans l'histoire, des twists incroyables et des discours qui paraissent super mais soulèvent plus de questions qu'il n'y répondent. Les fans du format procédural de l'originale ne seront peut-être pas les seuls téléspectateurs frustrés par le rythme lent de ce reboot feuilletonnant. Mais [Matthew] Rhys y mène un excellent casting.
Vanity Fair
L'ensemble fonctionne mieux qu'il ne le devrait. Il y a eu tellement de choses investies dans la production que le monde de la série prend vie, alors que le mystère est captivant et imprévisible (…) Mais l'histoire ne nous laisse pas entrer assez dans les vies intérieures [de Soeur Alice et la Mère qui la contrôle]. C'est un manque flagrant car, dans le même temps, la série passe trop de temps à naviguer au milieux des sentiments peu profonds ds hommes.
Vulture
Un récit d'époque à la fois somptueux, sombre et pafois purement et simplement gore, plein de performances de qualité, mais également un peu surchargé par des sous-intrigues qui auraient mérité d'être simplifiées ou coupées. Cet excès de gras chez Perry Mason est un défaut, mais il n'est pas de nature à nuire à ce qui reste, dans l'ensemble, une saison de télévision bonne et prenante.
Boston Globe
Aussi intéressant pour son jeu d'acteurs et son ambiance d'époque que frustrant pour son histoire et son rythme. Oui, c'est un mélange classique, une série qui réussit à être un polar plein de textures et un cartoon un peu plat à la , avec des méchants définis par une seule caractéristique.
Collider
On retrouve l'empreinte d'HBO un peu partout, pour le meilleur comme pour le pire. En résulte quelque chose qui est brièvement lié à ce que l'on connaît de Perry Mason, et en même temps assez peu réjouissant qu'il en devient difficile de le recommander.
Los Angeles Times
La saison, qui ressemble finalement au très long pilote de ce qui pourrait être une future bonne série, s'apprécie facilement, est joliment jouée et intelligemment conçue, avec des scènes complexes bien faites ; mais elle est aussi parfois déplaisante, un peu folle à l'approche de la fin, et trop longue et chargée pour le matériau.
RogerEbert.com
C'est une magnifique série en matière de décors et le casting est solide d'un bout à l'autre, mais les scénaristes et peinent à trouver une histoire qui vaille le coup de s'y investir pendant au moins la première moitié de la saison. La seconde est plus solide, et les performances [des acteurs] l'élèvent tout du long, mais avec des capacités de concentration réduites par l'état du monde en 2020, Perry Mason pourrait avoir du mal à retenir ses téléspectateurs pendant l'été (…) Le jury délibère encore sur ce cas.
Rolling Stone
Ce nouveau Perry Mason est rempli de bonnes performances (même si toutes ne proviennent pas de la même série). Le rendu visuel est incroyable (quoique parfois plus gore qu'il n'est nécessaire). Mais l'histoire est un chantier - à la fois alambiquée et trop insipide pour tenir sur huit heures - et la volonté de donner à Mason l'origin story qu'il n'a jamais eue se révèle finalement plus problématique que nécessaire.
The Guardian
Bien faite et assez captivante, en grande partie grâce au casting qui compte également dans le rôle du mentor de Mason, E.B. Jonathan, ou dans la peau de sa secrétaire, Della Street, [la série] ne semble pas encore particulièrement bien dans sa peau.
Wall Street Journal
La saison ressemble d'abord à un pilote de huit épisodes dans sa manière de présenter lentement des personnages destinés à réapparaître ailleurs ensuite (…) Avec moins de creux pensifs et plus de substance dramatique pour ce Perry Mason, l'excès n'aurait pas été aussi dérangeant.
Chicago Sun-Times
Malgré une qualité de production de premier ordre et un casting exemplaire, l'intrigue ressemble à un Packard Roadster rutilant de 1932 avec de sérieux problèmes de moteur : c'est impressionnant, magnifique et agrémenté de plusieurs distractions étincelantes, mais nous ne pouvons finalement ignorer sa manière d'être sur la route, en nous secouant et en ayant des ratés par-ci par-là.
New York Times
En tant qu'enquête, cette saison de huit épisodes est moyenne, et à la fin, la raison de vouloir faire revivre cette franchise reste mystérieuse.
Newsday
Une plongée ennuyeuse dans le L.A. noir [polar se déroulant à Los Angeles, ndlr].
USA Today
Peu importe à quel point [Matthew] Rhys est convaincant en détective blasé à la recherche de la vérité, Perry Mason est trop funèbre. Il pourrait y avoir un temps pour une enquête macabre (surtout si elle accélérait le rythme), mais ce n'est certainement pas pour aujourd'hui.
Variety
Beaucoup d'intrigues secondaires donnent l'impression de patiner - [Tatiana] est tellement vivante dans ses scènes qu'il peut être facile de se laisser emporter dans leur tourbillon, oubliant ainsi qu'il ne se passe pas grand-chose dans ces épisodes qui durent plus d'une heure. Une trop grande majorité de cette saison, huit épisodes punitifs, ressemble à une autre itération de quelque chose que nous avons déjà vue auparvant, ailleurs et souvent mieux.