Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
Brain Damaged
par Asma El Mardi
Si pour le moment les épisodes sont inégaux, après un pilote bourré de longueurs, Here and Now possède un potentiel indéniable pour faire une très bonne série, entre drame psychologique familial, et critique d’une société américaine moderne sclérosée.
La critique complète est disponible sur le site Brain Damaged
San Francisco Chronicle
par David Wiegand
C'est vraiment le thème de la série : de vraies vies et émotions tentent de passer au travers des pressions sociales et des détritus de la vie contemporaine. Ce sont ces luttes qui nous attirent dans ce monde compliqué pour nous attacher aux créations précieuses et pleines de défauts de Ball.
La critique complète est disponible sur le site San Francisco Chronicle
Time
par Daniel d'Addario
Here and Now est plus franche et plus radicale que This Is Us, et donc plus adaptée à notre époque. Le goût de cette série pour le baroque, pour l'étrangeté, rappelle, parfois, le meilleur et le pire de Six Feet Under.
La critique complète est disponible sur le site Time
Télérama
par Pierre Langlais
Avec Here and now, le créateur de Six Feet Under imagine un nouveau drame familial dans l’Amérique de Trump. Un touchant retour à ses premières amours, teinté de mysticisme, qui témoigne des angoisses du scénariste.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Entertainment weekly
par Dana Schwartz
Le créateur de la série, Alan Ball (Six Feet Under, True Blood) possède un bilan impeccable lorsqu'il s'agit d'écrire des shows fantastiques sur des familles non-conventionnelles, donc je ne parierais pas contre lui, et les performances [des acteurs] sont aussi excellentes qu'espéré au vu du niveau de talent impliqué mais, dans ses premiers épisodes au moins, Here and Now souffre d'un sérieux face auquel il est difficile de ne pas rire - mais pour de mauvaises raisons.
La critique complète est disponible sur le site Entertainment weekly
Ouest France
par Pascale Vergereau
Cette nouvelle production d’HBO s’ancre dans le quotidien d’une famille d’intellectuels de Portland dont trois des quatre enfants sont adoptés. Le premier épisode, diffusé lundi sur OCS, donne envie de les retrouver au plus vite.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Vanity Fair
par Norine Raja
Un brin de mélancolie et un soupçon de magie... L'ovni du mois de février.
La critique complète est disponible sur le site Vanity Fair
Yahoo TV
par Ken Tucker
Cette fichue chose est irritante, intelligente, bien jouée, exaspérante, bien-pensante, curieuse, involontairement drôle, prétentieuse, et Holly Hunter est dedans… Donc pourquoi Here and Now se regarde-t-elle aussi bien ? Car les performances sont formidables et Ball, malgré son misérabilisme, sait comment écrire des scènes capables de déployer des émotions. Hunter et [Tim] Robbins sont superbes dans le rôle des parents.
La critique complète est disponible sur le site Yahoo TV
Newsday
par Verne Gay
Here And Now est définitivement intéressante, mais comme tout ce qui est construit sur une pile d'éléments façon bric à brac, elle est souvent maladroite et incertaine. Au bout du compte, on a l'impression que Ball essaye de temporiser en cherchant un moyen d'intégrer tous ces élements à un ensemble qui se veut cohérent. Mais après 4 épisodes, cette recherche est toujours aussi vaine.
La critique complète est disponible sur le site Newsday
Boston Globe
par Matthew Gilbert
Il y a sans doute une bonne série, quelque part au milieu de ce fouillis sur l'Amérique, et il sera intéressant de voir si [Alan] Ball parviendra à la trouver avant que les téléspectateurs ne se lassent du fait d'avancer à la dérive.
La critique complète est disponible sur le site Boston Globe
DailyMars
par Yann Kerjan
À dessein, la série cherche à projeter d’emblée ses protagonistes dans un marasme insondable. On devine que le but est de démontrer à terme que les valeurs collectives et multiculturelles vont prévaloir et peuvent rejaillir sur le bonheur individuel. Mais est-ce que le public sera prêt à suivre/supporter les Bishop pour le découvrir ? Rien n’est moins sûr.
La critique complète est disponible sur le site DailyMars
Les Inrockuptibles
par Olivier Joyard
Alan Ball, le génial créateur de Six Feet under, est de retour avec Here and Now. Malgré des pistes intéressantes, le début de la saison 1 peine à convaincre.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
New York Post
par Robert Rorke
Si HBO était à la recherche d'un This Is Us avec de la nudité, alors Here And Now en est le résultat inconsistant et vain.
La critique complète est disponible sur le site New York Post
New York Times
par Mike Hale
Malheureusement - et c'était déjà le cas dans American Beauty malgré ses nombreux Oscars - [Alan Ball] n'a rien de nouveau ou de particulièrement intéressant à dire. Des hétéros blancs ont la haine d'eux-même et sont nuls. Les pères sont déprimés mais rachetables, les mères sont globalement des causes perdues. Nous irions tous mieux si nous laissions nos portables de côté et que nous allions dehors. Durant quatre de ses dix épisodes, Here and Now travaille le sol bien labouré du malaise de la quarantaine en banlieue, et s'aventure sur les terres [d'auteurs] tels qu'Updike, Cheever et leurs nombreux imitateurs.
La critique complète est disponible sur le site New York Times
The Hollywood Reporter
par Tim Goodman
L'ambition n'est pas un problème avec Here And Now. Mais il y a de vrais problèmes quand même dans les 4 premiers épisodes présentés à la presse qui tentent, sans grand succès, de définir quelle série elle a envie d'être... Toutefois, lorsqu'elle s'intéresse au personnage de Ramon ou à la famille Shokrani, il y a un peu plus de profondeur.
La critique complète est disponible sur le site The Hollywood Reporter
The Oregonian
par Kristi Turnquist
Dans ses quatre premiers épisodes, Here and Now souffre de son désir de couvrir trop de sujets. Arrivés au quatrième épisode, les personnages commencent à devenir moins ennuyeux, mais cela demande à des téléspectateurs d'être patients dans un monde où il y a des centaines d'autres shows à regarder. Le principal problème, du moins dans ses débuts, c'est qu'Here and Now ressemble moins à un drame avec des personnages pleinement développés qu'à un essai autour de "Quelle époque !", avec des observations sidérantes sur la difficulté de parvenir à une harmonie entre les races, les cultures, les genres, et ainsi de suite.
La critique complète est disponible sur le site The Oregonian
indieWIRE
par Ben Travers
Here and Now est remplie de performances puissantes, et notamment celles de Peter Macdissi et Holly Hunter, mais elles ne parviennent pas à supplanter un sentiment d'artificialité perturbant. Des personnages écrits autour de sujets de discussion à la dynamique familiale en elle-même, c'est toute la série qui paraît écrite - sur-écrite.
La critique complète est disponible sur le site indieWIRE
TV Guide
par Matt Roush
Ridiculement suffisant.
The A.V. Club
par Gwen Inhat
Après quatre épisodes, nous n'avons pas vraiment avancé pour déterminer si Ramon souffre d'une maladie mentale ou s'il annonce le futur ; mais le pire, c'est que nous ne sommes pas assez investis pour nous y intéresser, alors que nous sommes presqu'à la moitié de la première saison.
La critique complète est disponible sur le site The A.V. Club
TVLine
par Dave Nemetz
Here And Now ressemble au brouillon d'une série télé qui n'a jamais su trouver sa cohérence. Après quatre heures de visionnage, je ne sais toujours pas ce qu'elle est... à part qu'elle ne mérite pas que l'on s'y attarde.
La critique complète est disponible sur le site TVLine
USA Today
par Kelly Lawler
Here and Now est un bazar pointilleux et alambiqué qui gâche ses acteurs et son créateur, Alan Ball, qui avait aussi donné naissance à Six Feet Under et True Blood sur la chaîne. Mais sa nouvelle série est loin de faire preuve de la même intelligence que ces shows, même si elle adopte le sens de la folie de True Blood.
La critique complète est disponible sur le site USA Today
Variety
par Maureen Ryan
Suivre des débats pédants avec des personnages peu développés est aussi ennuyeux que prévisible (...) elle entre dans cette catégorie de séries -dont certaines sont excellentes, mais pas elle- où il ne passe quasiment jamais rien.
La critique complète est disponible sur le site Variety
Wall Street Journal
par John Anderson
La série fuit les qualités qui auraient pu rendre son espèce de portrait trop ambitieux rédempteur - l'humour de la caricature, la morsure éclairante de la satire, ou n'importe quelle empathie dignée d'être mentionnée. Mariage arrangé entre This is Us et Stranger Things, le programme de M. Ball fonctionne comme un simple drame, bien qu'exploitant ce mélange déjà caustique en Amérique, entre les éveillés, ceux qui sont ouvertement racistes et la foule entre les deux. Ce n'est même pas une parodie délibérée. C'est un cartoon commis par mégarde.
La critique complète est disponible sur le site Wall Street Journal
Le Monde
par Pierre Sérisier
Ball a réuni tellement de clichés en un épisode, il semble aimer si peu ses personnages qu’on suffoque dans cet aquarium familial. Le pire est qu’on est globalement d’accord avec le constat désolé que dresse le créateur mais on ne peut oublier la vacuité de la démarche. Une fois qu’on a dit que les choses allaient mal, qu’est-ce qu’on fait ? Aucune perspective ne s’ouvre, on se cogne contre la vitre de la représentation. Et on n’a envie que d’une chose : être ailleurs et demain.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
RogerEbert.com
par Brian Tallerico
Un drame domestique avec des dialogues incroyables, qui sonnent creux comme je l'ai rarement vu à la télévision depuis un bout de temps. C'est une série pratiquement dénuée de subtilité et même d'intrigue - ce qui est presqu'un exploit en soi. La vraie tragédie ici, c'est que des choses sont appréciables - j'ai aimé la majorité de la relation grandissante entre Ramon et Henry, car elle paraît authentique, ce qui n'est pas le cas de beaucoup de Here and Now.
La critique complète est disponible sur le site RogerEbert.com
Brain Damaged
Si pour le moment les épisodes sont inégaux, après un pilote bourré de longueurs, Here and Now possède un potentiel indéniable pour faire une très bonne série, entre drame psychologique familial, et critique d’une société américaine moderne sclérosée.
San Francisco Chronicle
C'est vraiment le thème de la série : de vraies vies et émotions tentent de passer au travers des pressions sociales et des détritus de la vie contemporaine. Ce sont ces luttes qui nous attirent dans ce monde compliqué pour nous attacher aux créations précieuses et pleines de défauts de Ball.
Time
Here and Now est plus franche et plus radicale que This Is Us, et donc plus adaptée à notre époque. Le goût de cette série pour le baroque, pour l'étrangeté, rappelle, parfois, le meilleur et le pire de Six Feet Under.
Télérama
Avec Here and now, le créateur de Six Feet Under imagine un nouveau drame familial dans l’Amérique de Trump. Un touchant retour à ses premières amours, teinté de mysticisme, qui témoigne des angoisses du scénariste.
Entertainment weekly
Le créateur de la série, Alan Ball (Six Feet Under, True Blood) possède un bilan impeccable lorsqu'il s'agit d'écrire des shows fantastiques sur des familles non-conventionnelles, donc je ne parierais pas contre lui, et les performances [des acteurs] sont aussi excellentes qu'espéré au vu du niveau de talent impliqué mais, dans ses premiers épisodes au moins, Here and Now souffre d'un sérieux face auquel il est difficile de ne pas rire - mais pour de mauvaises raisons.
Ouest France
Cette nouvelle production d’HBO s’ancre dans le quotidien d’une famille d’intellectuels de Portland dont trois des quatre enfants sont adoptés. Le premier épisode, diffusé lundi sur OCS, donne envie de les retrouver au plus vite.
Vanity Fair
Un brin de mélancolie et un soupçon de magie... L'ovni du mois de février.
Yahoo TV
Cette fichue chose est irritante, intelligente, bien jouée, exaspérante, bien-pensante, curieuse, involontairement drôle, prétentieuse, et Holly Hunter est dedans… Donc pourquoi Here and Now se regarde-t-elle aussi bien ? Car les performances sont formidables et Ball, malgré son misérabilisme, sait comment écrire des scènes capables de déployer des émotions. Hunter et [Tim] Robbins sont superbes dans le rôle des parents.
Newsday
Here And Now est définitivement intéressante, mais comme tout ce qui est construit sur une pile d'éléments façon bric à brac, elle est souvent maladroite et incertaine. Au bout du compte, on a l'impression que Ball essaye de temporiser en cherchant un moyen d'intégrer tous ces élements à un ensemble qui se veut cohérent. Mais après 4 épisodes, cette recherche est toujours aussi vaine.
Boston Globe
Il y a sans doute une bonne série, quelque part au milieu de ce fouillis sur l'Amérique, et il sera intéressant de voir si [Alan] Ball parviendra à la trouver avant que les téléspectateurs ne se lassent du fait d'avancer à la dérive.
DailyMars
À dessein, la série cherche à projeter d’emblée ses protagonistes dans un marasme insondable. On devine que le but est de démontrer à terme que les valeurs collectives et multiculturelles vont prévaloir et peuvent rejaillir sur le bonheur individuel. Mais est-ce que le public sera prêt à suivre/supporter les Bishop pour le découvrir ? Rien n’est moins sûr.
Les Inrockuptibles
Alan Ball, le génial créateur de Six Feet under, est de retour avec Here and Now. Malgré des pistes intéressantes, le début de la saison 1 peine à convaincre.
New York Post
Si HBO était à la recherche d'un This Is Us avec de la nudité, alors Here And Now en est le résultat inconsistant et vain.
New York Times
Malheureusement - et c'était déjà le cas dans American Beauty malgré ses nombreux Oscars - [Alan Ball] n'a rien de nouveau ou de particulièrement intéressant à dire. Des hétéros blancs ont la haine d'eux-même et sont nuls. Les pères sont déprimés mais rachetables, les mères sont globalement des causes perdues. Nous irions tous mieux si nous laissions nos portables de côté et que nous allions dehors. Durant quatre de ses dix épisodes, Here and Now travaille le sol bien labouré du malaise de la quarantaine en banlieue, et s'aventure sur les terres [d'auteurs] tels qu'Updike, Cheever et leurs nombreux imitateurs.
The Hollywood Reporter
L'ambition n'est pas un problème avec Here And Now. Mais il y a de vrais problèmes quand même dans les 4 premiers épisodes présentés à la presse qui tentent, sans grand succès, de définir quelle série elle a envie d'être... Toutefois, lorsqu'elle s'intéresse au personnage de Ramon ou à la famille Shokrani, il y a un peu plus de profondeur.
The Oregonian
Dans ses quatre premiers épisodes, Here and Now souffre de son désir de couvrir trop de sujets. Arrivés au quatrième épisode, les personnages commencent à devenir moins ennuyeux, mais cela demande à des téléspectateurs d'être patients dans un monde où il y a des centaines d'autres shows à regarder. Le principal problème, du moins dans ses débuts, c'est qu'Here and Now ressemble moins à un drame avec des personnages pleinement développés qu'à un essai autour de "Quelle époque !", avec des observations sidérantes sur la difficulté de parvenir à une harmonie entre les races, les cultures, les genres, et ainsi de suite.
indieWIRE
Here and Now est remplie de performances puissantes, et notamment celles de Peter Macdissi et Holly Hunter, mais elles ne parviennent pas à supplanter un sentiment d'artificialité perturbant. Des personnages écrits autour de sujets de discussion à la dynamique familiale en elle-même, c'est toute la série qui paraît écrite - sur-écrite.
TV Guide
Ridiculement suffisant.
The A.V. Club
Après quatre épisodes, nous n'avons pas vraiment avancé pour déterminer si Ramon souffre d'une maladie mentale ou s'il annonce le futur ; mais le pire, c'est que nous ne sommes pas assez investis pour nous y intéresser, alors que nous sommes presqu'à la moitié de la première saison.
TVLine
Here And Now ressemble au brouillon d'une série télé qui n'a jamais su trouver sa cohérence. Après quatre heures de visionnage, je ne sais toujours pas ce qu'elle est... à part qu'elle ne mérite pas que l'on s'y attarde.
USA Today
Here and Now est un bazar pointilleux et alambiqué qui gâche ses acteurs et son créateur, Alan Ball, qui avait aussi donné naissance à Six Feet Under et True Blood sur la chaîne. Mais sa nouvelle série est loin de faire preuve de la même intelligence que ces shows, même si elle adopte le sens de la folie de True Blood.
Variety
Suivre des débats pédants avec des personnages peu développés est aussi ennuyeux que prévisible (...) elle entre dans cette catégorie de séries -dont certaines sont excellentes, mais pas elle- où il ne passe quasiment jamais rien.
Wall Street Journal
La série fuit les qualités qui auraient pu rendre son espèce de portrait trop ambitieux rédempteur - l'humour de la caricature, la morsure éclairante de la satire, ou n'importe quelle empathie dignée d'être mentionnée. Mariage arrangé entre This is Us et Stranger Things, le programme de M. Ball fonctionne comme un simple drame, bien qu'exploitant ce mélange déjà caustique en Amérique, entre les éveillés, ceux qui sont ouvertement racistes et la foule entre les deux. Ce n'est même pas une parodie délibérée. C'est un cartoon commis par mégarde.
Le Monde
Ball a réuni tellement de clichés en un épisode, il semble aimer si peu ses personnages qu’on suffoque dans cet aquarium familial. Le pire est qu’on est globalement d’accord avec le constat désolé que dresse le créateur mais on ne peut oublier la vacuité de la démarche. Une fois qu’on a dit que les choses allaient mal, qu’est-ce qu’on fait ? Aucune perspective ne s’ouvre, on se cogne contre la vitre de la représentation. Et on n’a envie que d’une chose : être ailleurs et demain.
RogerEbert.com
Un drame domestique avec des dialogues incroyables, qui sonnent creux comme je l'ai rarement vu à la télévision depuis un bout de temps. C'est une série pratiquement dénuée de subtilité et même d'intrigue - ce qui est presqu'un exploit en soi. La vraie tragédie ici, c'est que des choses sont appréciables - j'ai aimé la majorité de la relation grandissante entre Ramon et Henry, car elle paraît authentique, ce qui n'est pas le cas de beaucoup de Here and Now.