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Note moyenne
4,1
259 notes
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Votre avis sur Succession ?
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Une série touchée par la grâce.
Je pensais n'en avoir rien à faire mais finalement j'ai été captivé tellement le casting est bon, les dialogues et la caractérisation de l'ensemble parfaitement maîtrisés.
Une série qui quelque part surf avec intelligence sur les mêmes ressort que GOTH. De la politique, des coups bas, de la famille et un peu de tragédie.Et bien évidemment des jeux de pouvoir.
Je pensais n'en avoir rien à faire mais finalement j'ai été captivé tellement le casting est bon, les dialogues et la caractérisation de l'ensemble parfaitement maîtrisés.
Une série qui quelque part surf avec intelligence sur les mêmes ressort que GOTH. De la politique, des coups bas, de la famille et un peu de tragédie.Et bien évidemment des jeux de pouvoir.
Bonne série pleine de fuck off et fuck you souvent pour exprimer des tensions interfamiliales. Le scénario est bon. Les épisodes in peu trop longs à mon goût.
Ça me rappelle la série Dallas des années 80 Dallas revisité 40 ans plus tard.
Ça me rappelle la série Dallas des années 80 Dallas revisité 40 ans plus tard.
Forcément inspiré de Murdoch, de son empire multimédia de sa famille... c est néanmoins romancé avec talent. Une bonne distribution, mais surtout un scénario qui fleure parfois avec du Shakespeare, ça se laisse regarder, ça devient addictif. Vivement la suite ...
La première saison de "Succession" est sans aucun doute une pièce maîtresse télévisuelle qui transcende les frontières du drame familial pour nous offrir un tableau exquis de pouvoir, de manipulation et d'émotions à l'état brut. Cette série captivante, créée par Jesse Armstrong, ne ménage aucun effort pour nous plonger dans l'univers impitoyable de la famille Roy et de son empire médiatique mondial. Avec une narration complexe et des personnages richement développés, cette saison mérite amplement sa note parfaite de 5/5.
L'intrigue tisse habilement les fils d'intrigues interpersonnelles et de jeux de pouvoir au sein de la famille Roy, à la tête de l'entreprise Waystar Royco. Dès le premier épisode, le ton est donné : les relations familiales sont teintées de rivalités, de secrets et de luttes pour la succession du patriarche, Logan Roy. Les scénaristes jonglent habilement avec les dynamiques de pouvoir changeantes, créant une tension constante qui laisse les téléspectateurs accrochés à chaque rebondissement.
Les performances des acteurs sont tout simplement stupéfiantes. Brian Cox incarne magistralement Logan Roy, un homme d'affaires impitoyable et complexe, tandis que les membres de sa famille, joués par Jeremy Strong, Kieran Culkin, Sarah Snook, et Matthew Macfadyen, apportent chacun une nuance unique à leurs rôles respectifs. Leurs interactions à la fois poignantes et mordantes ajoutent une profondeur émotionnelle à l'ensemble de la série.
La direction artistique et la cinématographie contribuent également à l'atmosphère immersive de la série. Les décors somptueux contrastent avec les jeux de coulisses impitoyables, créant une métaphore visuelle saisissante de la beauté en surface et des sombres réalités en coulisses. Les dialogues ciselés et les monologues percutants sont la cerise sur le gâteau, exposant les motivations, les faiblesses et les aspirations des personnages de manière captivante.
"Succession" ne se contente pas de dresser un portrait de famille dysfonctionnelle, elle explore également les enjeux économiques, politiques et éthiques liés aux empires médiatiques et aux conflits de pouvoir. Cette profondeur thématique ajoute une dimension intellectuelle à côté de l'attrait émotionnel et du suspense constant.
En somme, la première saison de "Succession" est un chef-d'œuvre de machinations familiales et de drame psychologique. Avec son intrigue riche, ses performances exceptionnelles et son exploration des rouages complexes du pouvoir, cette série s'élève au-dessus de la norme télévisuelle. Une note parfaite de 5/5 est amplement méritée pour cette immersion captivante dans les arcanes d'une famille en quête de domination.
L'intrigue tisse habilement les fils d'intrigues interpersonnelles et de jeux de pouvoir au sein de la famille Roy, à la tête de l'entreprise Waystar Royco. Dès le premier épisode, le ton est donné : les relations familiales sont teintées de rivalités, de secrets et de luttes pour la succession du patriarche, Logan Roy. Les scénaristes jonglent habilement avec les dynamiques de pouvoir changeantes, créant une tension constante qui laisse les téléspectateurs accrochés à chaque rebondissement.
Les performances des acteurs sont tout simplement stupéfiantes. Brian Cox incarne magistralement Logan Roy, un homme d'affaires impitoyable et complexe, tandis que les membres de sa famille, joués par Jeremy Strong, Kieran Culkin, Sarah Snook, et Matthew Macfadyen, apportent chacun une nuance unique à leurs rôles respectifs. Leurs interactions à la fois poignantes et mordantes ajoutent une profondeur émotionnelle à l'ensemble de la série.
La direction artistique et la cinématographie contribuent également à l'atmosphère immersive de la série. Les décors somptueux contrastent avec les jeux de coulisses impitoyables, créant une métaphore visuelle saisissante de la beauté en surface et des sombres réalités en coulisses. Les dialogues ciselés et les monologues percutants sont la cerise sur le gâteau, exposant les motivations, les faiblesses et les aspirations des personnages de manière captivante.
"Succession" ne se contente pas de dresser un portrait de famille dysfonctionnelle, elle explore également les enjeux économiques, politiques et éthiques liés aux empires médiatiques et aux conflits de pouvoir. Cette profondeur thématique ajoute une dimension intellectuelle à côté de l'attrait émotionnel et du suspense constant.
En somme, la première saison de "Succession" est un chef-d'œuvre de machinations familiales et de drame psychologique. Avec son intrigue riche, ses performances exceptionnelles et son exploration des rouages complexes du pouvoir, cette série s'élève au-dessus de la norme télévisuelle. Une note parfaite de 5/5 est amplement méritée pour cette immersion captivante dans les arcanes d'une famille en quête de domination.
Je viens de commencer et j'adore tout de suite ! Je ne lis pas tout vos commentaires tout de suite mais j'ai hâte de terminer pour voir ce que tout le monde en pense ici !
à la prochaine
Julie
à la prochaine
Julie
Alors franchement, chapeau! J’avais déjà tentée il y a quelque mois le premier épisode de la première saison sans grand attache puis j’ai décidé m’y remettre (sous les conseils des mes grands frères et les prix que reçoit incontestablement cette série) et franchement on passe par toutes les émotions, colère, excitation, tristesse, dégoût.. les acteurs sont remarquables ! Tous ! Un scénario qui tient la route et la réalisation avec la bande son est très addictive ! Pépite mention pour le dernier épisode de la saison 1 qui est sans doute le meilleur de la saison, j’en avais les larmes aux yeux tout est bien ficelé ! Hâte d’enchaîner !
orlandolove
Addictive, politique, cynique, terriblement drôle parfois : cette première saison de Succession est assez jubilatoire.
The End. Terminé pour moi, j'abandonne à la fin de l'épisode 104. Dommage, le thème ( la famille qui s'entretue) était bon. Mais ça ne suffit pas. Une bonne série pour moi est une série qui me passionne, qui me fait appuyer sur "next" pendant des heures. Devant Succession, c'est le contraire. Entre deux pertes de conscience, je suis pressée d'appuyer sur "end".
Pas forcément impressionné par cette série, je pense néanmoins qu'elle reste un bon divertissement.
On a de quoi se défouler avec cette histoire en se disant qu'on a de la chance de ne pas appartenir à une telle famille.
On a pas de problème avec l'argent, car on peut tout s'acheter, mais qu'est ce que l'argent nous crée des problèmes au final? Des problèmes avec tout le monde! Et qui dit argent dit pouvoir et là est tout l'enjeu de cette série.
J'apprécie le fait que l'action ne soit pas divisée entre de multiples endroits et personnages (un peu comme dans GOT) mais tout de même cela manque souvent de rythme. Car on a beaucoup de huis clos ou presque, un pour Thanksgiving, un dans l'hacienda dans le désert, un pour la bachelor party et le final, au mariage. Le premier épisode était bien avec un bon Cliffhanger suivi du deuxième qui était très bon aussi, avec un deuxième Cliffhanger. Ensuite on s'ennuie pendant plusieurs épisodes et le rythme reprend un peu vers la fin. Le dernier épisode est plutôt bien aussi avec pas mal de rebondissement et cela appelle surtout à une seconde saison car on reste sur notre faim.
On a de quoi se défouler avec cette histoire en se disant qu'on a de la chance de ne pas appartenir à une telle famille.
On a pas de problème avec l'argent, car on peut tout s'acheter, mais qu'est ce que l'argent nous crée des problèmes au final? Des problèmes avec tout le monde! Et qui dit argent dit pouvoir et là est tout l'enjeu de cette série.
J'apprécie le fait que l'action ne soit pas divisée entre de multiples endroits et personnages (un peu comme dans GOT) mais tout de même cela manque souvent de rythme. Car on a beaucoup de huis clos ou presque, un pour Thanksgiving, un dans l'hacienda dans le désert, un pour la bachelor party et le final, au mariage. Le premier épisode était bien avec un bon Cliffhanger suivi du deuxième qui était très bon aussi, avec un deuxième Cliffhanger. Ensuite on s'ennuie pendant plusieurs épisodes et le rythme reprend un peu vers la fin. Le dernier épisode est plutôt bien aussi avec pas mal de rebondissement et cela appelle surtout à une seconde saison car on reste sur notre faim.
Excellente série (encore d’HBO), au comble du cynisme, de la manipulation, et de l’immoralité.
La famille Roy possède l’un des plus grands conglomérats mondiaux avec à sa tête Logan, sa progéniture souhaitant prendre le contrôle de l’entreprise : les gens d’argent pouvant tout obtenir de la cour toxique qui les entoure, plantons le décor d’une famille déjantée et défaillante moralement :
- Logan, le patriarche vieillissant, acariâtre et autoritaire
- Connor, le fils aîné dilettante vivant avec une call-girl
- Kendall, le successeur a priori naturel et en proie à ses dépendances
- Roman, le benjamin dépravé et odieux
- Shiv, la fille usant de son pouvoir dans la politique.
Filmé comme un quasi-documentaire sur le pouvoir de l’argent dans le monde des médias et de la politique, il n’en demeure pas moins que le scénario, les dialogues (on dirait parfois des scènes de théâtre), les retournements de situation sont particulièrement haletants, et ce à chaque épisode : impossible de décrocher, chaque scène qui peut passer d’un claquement de doigt du comique au tragique, est à flux tendu. Le rapprochement pourrait même être fait avec «Game of Thrones », où tous les prétextes machiavéliques sont bons pour s’installer sur le trône du CEO (la violence psychologique se substituant à la violence physique). Un léger côté « Dallas » par ses luttes familiales intestines, mais les rois de pétrole font bien pâles figures à côté : soap familial auquel il est impossible de s’attacher aux personnages (qui sont tous aussi importants les uns que les autres) tellement ils sont détestables.
Alors oui, « Succession » va devenir avec le temps une référence comme « Game of Thrones », « Mad Men » ou « Breaking Bad » : je vais m’atteler de suite à la saison 2, une saison 3 est en préparation, en espérant qu’il y en ait beaucoup d’autres ; les outils et le matériau sont là pour en faire une très grande série qui marquera son temps. Longue vie à « Succession » !
La famille Roy possède l’un des plus grands conglomérats mondiaux avec à sa tête Logan, sa progéniture souhaitant prendre le contrôle de l’entreprise : les gens d’argent pouvant tout obtenir de la cour toxique qui les entoure, plantons le décor d’une famille déjantée et défaillante moralement :
- Logan, le patriarche vieillissant, acariâtre et autoritaire
- Connor, le fils aîné dilettante vivant avec une call-girl
- Kendall, le successeur a priori naturel et en proie à ses dépendances
- Roman, le benjamin dépravé et odieux
- Shiv, la fille usant de son pouvoir dans la politique.
Filmé comme un quasi-documentaire sur le pouvoir de l’argent dans le monde des médias et de la politique, il n’en demeure pas moins que le scénario, les dialogues (on dirait parfois des scènes de théâtre), les retournements de situation sont particulièrement haletants, et ce à chaque épisode : impossible de décrocher, chaque scène qui peut passer d’un claquement de doigt du comique au tragique, est à flux tendu. Le rapprochement pourrait même être fait avec «Game of Thrones », où tous les prétextes machiavéliques sont bons pour s’installer sur le trône du CEO (la violence psychologique se substituant à la violence physique). Un léger côté « Dallas » par ses luttes familiales intestines, mais les rois de pétrole font bien pâles figures à côté : soap familial auquel il est impossible de s’attacher aux personnages (qui sont tous aussi importants les uns que les autres) tellement ils sont détestables.
Alors oui, « Succession » va devenir avec le temps une référence comme « Game of Thrones », « Mad Men » ou « Breaking Bad » : je vais m’atteler de suite à la saison 2, une saison 3 est en préparation, en espérant qu’il y en ait beaucoup d’autres ; les outils et le matériau sont là pour en faire une très grande série qui marquera son temps. Longue vie à « Succession » !
Honteux , pas du tout adapté au jeune de 12 ans , langage vulgaire , référence sexuelle telle que la masturbation ou autre passage , on voit même des sécrétion , franchement le truc démodé et pas nécessaire car ca apporte rien a la série
Super série.. c'est toujours fascinant ces histoires de familles ultra riches se tirant dans les pattes en permanence mais s'aimant toujours!!
Audrey L
On ne s'attendait pas à aimer une série qui suit des chefs d'entreprise, soit le speech de départ le moins sexy qui existe, mais on s'est bien trompé : Succession est davantage une série de complots en famille, de trahisons entre frangins et frangine contre le pater qui est odieux au possible, le tout au rythme de son générique addictif (la musique est l'une des meilleures qu'on connaisse en générique de série). Le principal atout de la série est son panel de personnages plus ou moins "délicieusement détestables" : parmi les enfants, on trouve un obsédé sexuel à l'ego surdimensionné (brillant Kieran Culkin), une conspiratrice qui trompe son mari et qui joue double-jeu en attendant de voir si Papa va (ou non) lui laisser la porte ouverte pour l'héritage (Sarah Snook, à l'aise), et un arriviste qui souhaite éjecter directement (et dans son dos) le pater pour prendre sa place sans demander rien à personne (Jeremy Strong, notre chouchou). Vous les trouvez horribles ? Vous n'avez pas vu le fameux Pater... Très (beaucoup trop) dur envers ses enfants (on se demande s'il les a jamais aimé...), atroce avec ses collaborateurs, qui avance mal ses pions dans l'entreprise qui court à la faillite, on pardonne leurs défauts de morale aux gamins quand on voit qui a été leur modèle. Seul le lointain cousin, prolo, est moins gangréné par l’appât du gain, mais débarque dans cette famille viciée et va commencer à perdre son innocence... On suit donc Kendall (l'arriviste qui n'est pas censé hériter) fomenter sa trahison, dans cette saison 1 qui n'a pas le temps de nous présenter les personnages (à vous de suivre, au début !) pour plonger directement dans le vif du sujet. Si quelques épisodes au milieu ralentissent un peu, les deux derniers épisodes nous les font vite oublier avec ses retournements de situations impressionnants qui jouent au chamboule-tout avec ce que l'on pensait acquis. On revoit complètement Kendall sous un nouveau jour. Une bonne découverte.
Il y a HBO et il y a les autres. C'est ce que je me suis dit après avoir regardé, ou plutôt dévoré, cette première saison. Les thèmes peuvent paraître assez ennuyeux: le pouvoir, l'argent, les guerres de successions, mais le génie de cette série est de nous plonger très vite dans le bain, sans nous laisser le temps d'avoir un jugement ou d'apprendre à connaitre les personnages. Personnages qui sont eux-mêmes excellemment bien interprétés, ni trop caricaturaux, ni trop fades. Dans cette lutte de pouvoir, il n'y en a pas un pour rattraper l'autre et pourtant, on peut comprendre et apprécier pour chacun d'entre eux leur motifs et stratégie. Le scénario est lui-même à fois fascinant et en même temps très vraisemblable. Il n'y aucune surenchère et il n'y a pour autant aucun temps mort. Bref tout est excellent dans cette série, sans oublier la bande-son, les décors et les dialogues pleins d'humours.
Excellente serie tres bonne saison 1 j espere qu il y aura une saison 2 .La fin de la saison 1 est surprenante