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Edtrail75
17 abonnés
134 critiques
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5,0
Publiée le 25 janvier 2023
Une saison injustement passée inaperçue par les audiences et boudée par les critiques : pas une moindre nomination aux Golden Globes, et je me demande bien pourquoi quant à sa grande qualité (peut-être l’une des meilleures saisons, alors que les précédentes étaient déjà exceptionnelles).
The « Handmaid’s Tale » demeure un chef d’œuvre, et cette dystopie continue à faire écho à l’évolution de nos sociétés contemporaines : la propagande de Gilead, faisant mouche dans les sociétés démocratiques, n’est pas sans rappeler l’attirance de nos jours de certains pour les régimes autoritaires. Ainsi que de la question des réfugiés, et de leur acceptation par le pays d’accueil. Comme depuis le début de la série, le rapport à la maternité est toujours en ligne de fond : Serena pourra en faire les frais…
Particulièrement haletante, avec de nombreux rebondissements, ce cinquième volet se concentre surtout sur le combat entre June et Serena, cette dernière étant portée à merveille par le jeu et la beauté froide d’Yvonne Strahowki. De manière assez surprenante, Elisabeth Moss (June) tombe un peu trop dans la caricature du rôle de la femme vengeresse avec des mimiques parfois agaçantes : c’est le seul petit bémol à cette saison de très haut niveau. Les derniers épisodes, avec un suspens digne des plus grandes séries d’espionnage, nous font connaître un grand renversement de situation, particulièrement inattendu.
Un scénario ciselé, de magnifiques prises de vue, absolument tout est fait pour passer de grands moments télévisuels : une saison 5 à ne manquer sous aucun prétexte, qui donne de solides matériaux pour faire une prochaine (et ultime) saison explosive.
La cinquième saison de "The Handmaid’s Tale" - la série dystopique d’Hulu - est définitivement la meilleure de la série. Avec le commandant Waterford sur le mur et l’influence de Gilead qui envahit petit à petit le Canada, c’est une guerre sans merci que livrent June et Serena en ce début de saison. Particulièrement intense, prenante et haletante, ces dix nouveaux épisodes chocs sont une véritable réussite ! De rebondissements en rebondissements, cette saison n’est jamais au bout de ses surprises, qu’elle arrive encore à surprendre même jusqu’à la dernière minute. Elisabeth Moss (June) et Yvonne Strahovski (Serena) portent toujours brillamment la série grâce à leurs incroyables performances, de même pour Ann Dowd (Tante Lydia) et Mckenna Grace (Esther), bien qu’on regrette leurs rares présences lors de ces dernières intrigues. Excellente sur toute la ligne, la série de Bruce Miller nous a offert sa meilleure saison et nous promet un ultime chapitre de haut niveau. - 18/20 Critique sur The Handmaid’s Tale (saison 5) Vue du 15.09 au 10.11.2022 sur OCS
Après une saison 4 assez décevante j’allais un peu à reculons sur cette nouvelle saison. A tort, voilà sans doute la meilleure après la 1. Un suspens implacable, des personnages qui évoluent, dans un sens ou dans un autre, un dénouement très fort qui laisse présager d’une sixième (et dernière apparement) saison dantesque. Tout le reste est, comme à chaque fois, parfaitement maitrisé. De la mise en scène à la technique en passant par l’interprétation toujours impeccable d’Elisabeth Moss et de l’ensemble du casting. Pour l'instant, on est dans ce train vers Vancouver avec June et Serena et on a hâte de voir ce qu’il va se passer.
La saison 5 de "The Handmaid's Tale : La Servante écarlate" est une véritable pépite qui n'a malheureusement pas reçu la reconnaissance qu'elle méritait. Les audiences l'ont ignorée et les critiques l'ont boudée, ce qui est difficile à comprendre étant donné la grande qualité de cette saison, qui pourrait même être l'une des meilleures de la série, déjà exceptionnelle.
La série continue de se maintenir comme un chef-d'œuvre et son récit dystopique trouve un écho puissant dans notre société contemporaine. La propagande de Gilead, qui séduit les sociétés démocratiques, rappelle l'attrait actuel de certains pour les régimes autoritaires. De plus, la question des réfugiés et de leur accueil par les pays d'accueil est également abordée. Comme depuis le début de la série, le thème de la maternité reste au cœur de l'intrigue, et Serena risque d'en payer le prix fort.
Cette saison 5 est particulièrement haletante, avec de nombreux rebondissements captivants. Elle se concentre principalement sur le combat entre June et Serena, et Yvonne Strahovski incarne à merveille ce personnage froid et complexe. Cependant, il est important de souligner qu'Elisabeth Moss, dans le rôle de June, tombe parfois dans la caricature de la femme vengeresse, avec des mimiques agaçantes. C'est le seul petit bémol de cette saison qui se situe par ailleurs à un niveau très élevé.
Les derniers épisodes sont remplis d'un suspense digne des plus grandes séries d'espionnage et nous réservent un retournement de situation majeur, totalement inattendu.
Le scénario est soigneusement élaboré et les prises de vue sont magnifiques, offrant une expérience télévisuelle exceptionnelle. La saison 5 de "The Handmaid's Tale : La Servante écarlate" est un incontournable et elle fournit une base solide pour la prochaine saison, qui sera probablement la dernière, et promet d'être explosive.
En conclusion, ne manquez sous aucun prétexte cette saison 5 qui se distingue par sa qualité remarquable et qui continue de captiver les spectateurs avec son récit puissant et ses moments télévisuels mémorables.
J'avais déjà du mal avec la fin des saisons 1 à 4 mais là, plus rien ne va. Le jeu d'acteur de Moss devient insupportable, surtout ce visage entre de longues scènes autistes, de rage et diable, dont on lui a certainement dit qu'il était formidable, je ne peux plus la voir en couleur. Visiblement en manque de grande inspiration le scénario aussi part en vrille avec cette incursion où le petit Luke se la joue guerrier - complètement aberrante dans le No-man's-land puis Lawrence qui s'accroche à June comme s'il en avait vraiment besoin, le projet fantasque du New Bethleem. Franchement, les scénaristes, ça ne tient pas la route, pas crédible, tout comme l'inversion de rôles entre Serena et June; grotesque. Il faut savoir arrêter à un moment donné plutôt que de casser la bonne impression des débuts. Mais bon, le grand fric.
très bonne série les acteurs sont très bien . on attend chaque épisodes. Le bémol il faut attendre la semaine d après. pourquoi? ne pas diffuser la saison entière. quelle date pour la saison 6