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Un visiteur
2,5
Publiée le 3 juillet 2019
Je n’en suis qu’au 6eme épisode bien sûr, mais que c’est long! Ça tourne en rond comme un épisode des feux de l’amour...on n’avance pas on potasse. Cette saison 3 ne sert pour le moment qu’à nous occuper l’esprit en attendant que les scénaristes trouvent une idée pour la saison 4... -_-
Mais que c'est lent et lourdingue cette hagiographie de June Osborne, sauveuse et justicière. Sainte June, priez pour que les scénaristes se reprennent !! 13 épisodes interminables et soporifiques pour une ligne de scénario... Déception énorme.
Extrêmement déçu par cette saison, qui faisait suite à 2 saisons pourtant prometteuses.. Dans cette saison les épisodes sans grand intérêt s'enchainent (1 ou 2 épisodes seulement ont trouvé grâce à mes yeux) . Le réalisateur a mis les formes plus que le fond avec un soucis d’esthétisme obsessionnel... June est devenu l'argument presque exclusif de cette série, d'où des gros plans qui n'en finissent pas, une héroïne qui surjoue, ne parle plus mais préfère les grimaces !!! bref, j’étais à 2 doigts d'abandonner avant la fin car j'ai sentis assez vite que dans cette saison, on avait rien à raconter, mais juste de quoi meubler...
Le problème pour la saison 3 de The Handmaid's Tale, est qu'elle arrive au même moment que la suite du roman de Margaret Atwood. Donc pour ceux qui se sont plongés dans la lecture de la suite du roman de la romancière canadienne, ils risquent d'être un peu surpris et vraiment déçu par le scénario médiocre de cette saison 3. On imagine mal le parcours de certains personnages de la série tels ils y sont encore présentés dans cette saison. Certes il est concevable que l'action de la série basée sur le personnage de June puisse tenir jusqu'à l'adolescence de ces 2 filles Nicole et Hannah (Agnes), mais cela implique aussi que June est censée disparaître avant leur adolescence, et qu'elle n'aura pas d'autres enfants, ni de rôle majeur dans le déroulement de l'histoire. Donc le problème vient surtout pour la conception des futures saisons de la série (si il y en a). On imagine mal la série tenir encore une dizaine d'années jusqu'au dénouement avec "Les Testaments" de Margaret Atwood. On a du mal aussi à visualiser le revirement de certains personnages (tante Lydia). On se demande aussi ce qu'on vont bien pouvoir devenir les personnages de Serena (Yvonne Strahovski) et du commandant Waterford (Joseph Fiennes) qui ont disparus dans "Les Testaments". Par contre il y a une place avec les personnages de Samira Wiley et d'Alexis Bledel dans des rôles de résistantes qui aident Nicole et Hannah. Avec ces contraintes il est tout de même possible de réaliser des saisons futures. Le problème est que cette saison 3 n'est pas bonne du tout avec un scénario faiblard et aberrant, et certaines scènes sujettes à caution. La série est concentrée excessivement sur le personnage d'Elisabeth Moss. C'est un peu vain de relater les exploits de résistante de June qui ne sont même pas évoqués dans "Les Testaments". Pour le reste, les gros plans déformants sur le visage de Elisabeth Moss, qui apparaissent souvent à la fin des épisodes, sont ridicules et abusifs (car trop caricaturaux). Elisabeth Moss semble plus grimacer qu'autre chose. Une scène inacceptable est celle où le personnage d'Elisabeth Moss est prêt à s’accommoder d'une forme conventionnelle de sexualité (malgré un rapport sexuel non consenti), mais June se transforme en redoutable tueuse car elle en refuse une autre. Il faut faire attention à ce que l'on montre et au message envoyé à certaines communautés quand même. Pour que la scène ait été recevable il aurait fallu que June ne l'accepte pas et se batte dès le départ. Ce qui était normal et logique. Quelque chose ne va pas aussi avec tous les personnages secondaires exécutés à cause de June, qui elle s'en sort comme si finalement elle était protégée par le système. C'est une faiblesse du scénario car c'est trop facile. On fait disparaître un personnage car c'est un rôle secondaire. Pourquoi ce système totalitaire n'éliminerait-il pas l'élément perturbateur à la base de tous leurs problèmes ? On voit bien que c'est absurde. Ça ne tient pas la route. Cela apparaît incroyable que le personnage de Elisabeth Moss n'ait pas été tué depuis longtemps. On n'y croit pas. Dans Les Testaments, le personnage a disparu car il a été éliminé probablement assez tôt. Alors comment compatir un grand roman avec le star system ? Finalement tout dépend de l'ego de Elisabeth Moss. Si la comédienne est prête à se sacrifier pour donner une suite cohérente à la série ? J'en doute. Mais à des scénarios médiocres, la série devrait plutôt suivre la ligne du roman. Il en va de sa crédibilité.
The Handmaid’s Tale est une série paradoxale : elle réussi à nous captiver malgré une forme d’ennui pendant le visionnage. En dépit d'une première partie de saison plutôt satisfaisante pour La Servante écarlate, les épisodes 6 à 10 s’enlisent dans une profonde et frustrante lenteur. Il faut réellement attendre les trois derniers épisodes pour que la série gagne en intensité et nous offre son final le plus explosif.
Le problème pour la saison 3 de The Handmaid's Tale, est qu'elle arrive au même moment que la suite du roman de Margaret Atwood. Donc pour ceux qui se sont plongés dans la lecture de la suite du roman de la romancière canadienne, ils risquent d'être un peu surpris et vraiment déçu par le scénario médiocre de cette saison 3. On imagine mal le parcours de certains personnages de la série tels ils y sont encore présentés dans cette saison. Certes il est concevable que l'action de la série basée sur le personnage de June puisse tenir jusqu'à l'adolescence de ces 2 filles Nicole et Hannah (Agnes), mais cela implique aussi que June est censée disparaître avant leur adolescence, et qu'elle n'aura pas d'autres enfants, ni de rôles majeurs dans le déroulement de l'histoire. Et là c'est mal parti. Donc le problème vient surtout pour la conception des futures saisons de la série (si il y en a). On imagine mal la série tenir encore une dizaine d'années jusqu'au dénouement avec "Les Testaments" de Margaret Atwood. On a du mal aussi à visualiser le revirement de certains personnages (tante Lydia par exemple). On se demande aussi ce qu'on vont bien pouvoir devenir les personnages de Serena (Yvonne Strahovski) et du commandant Waterford (Joseph Fiennes) qui ont disparus dans "Les Testaments". Par contre il y a une place avec les personnages de Samira Wiley et d'Alexis Bledel dans des rôles de résistantes qui aident Nicole et Hannah. Avec ces contraintes il est tout de même possible de réaliser des saisons futures. Le problème est que cette saison 3 n'est pas bonne avec un scénario faiblard et aberrant, et certaines scènes sujettes à caution. La série est concentrée excessivement sur le personnage d'Elisabeth Moss. C'est un peu vain de relater les exploits de résistante de June qui ne sont même pas évoqués dans "Les Testaments". Pour le reste, les gros plans déformants sur le visage de Elisabeth Moss, qui apparaissent souvent à la fin des épisodes, sont ridicules et abusifs (car trop caricaturaux). Elisabeth Moss semble plus grimacer qu'autre chose. Cela ne sert pas à rien. Il y a un énorme problème par rapport à la sexualité des personnages. On a l'impression que la pudibonderie américaine prend le dessus, et rend certaines scènes encore une fois excessives et même choquantes. En quoi la pratique d'une certaine forme de sexualité mérite-t-elle la mort ? Car on nous montre bien au début d'une scène que si le personnage d'Elisabeth Moss est prêt à s’accommoder d'une forme conventionnelle de sexualité, June se transforme en redoutable tueuse car elle en refuse une autre. Il faut faire attention à ce que l'on montre et au message envoyé à certaines communautés quand même. Pour que la scène soit recevable il aurait fallu que June ne l'accepte pas et se batte dès le début de la scène. Quelque chose ne va pas aussi avec tous les personnages secondaires exécutés à cause de June, qui elle s'en sort comme si finalement elle était protégée par le système. C'est une faiblesse du scénario car c'est trop facile. On fait disparaître un personnage car c'est un rôle secondaire. Pourquoi ce système totalitaire n'éliminerait pas l'élément perturbateur à la base de tous leurs problèmes ? On voit bien que c'est absurde. Ça ne tient pas la route. Cela apparaît incroyable que le personnage de Elisabeth Moss n'ait pas été tué depuis longtemps. On n'y croit pas. Alors finalement tout dépend de l'ego de Elisabeth Moss. Si la comédienne est prête à se sacrifier pour donner une suite cohérente à la série ? J'en doute.
Sans aucun intérêt scénaristique, avec une histoire qui tourne en rond, des situations de non-sens et des personnages qui deviennent trop caricaturaux... ce qui décrédibilise le scénario de départ. Tout est mis dans l'esthétique avec le sentiment que les scénaristes font durer sans savoir où ils vont. Dommage !!
Tout simplement la meilleure série qui m'a été donné de voir. Nouvelle saison toujours aussi palpitante. Des personnages extrêmement bien travaillés, une mise en scène élégante, une photo magnifique et une lumière à tomber. Chaque plan est un portrait. La bande son est top et joue sur les contrastes, l'intrigue est inspirée et le message politique dans tout cela est fichtrement d'actualité. Bref je continue de dire que cette série est un véritable chef d'œuvre !!!
Comme en saison 2, cette troisième salve d’épisodes de « The Handmaid's Tale : La Servante écarlate » se révèle toujours aussi lente. L’intrigue qui tourne autour du pot subit une certaine longueur dans ses épisodes qu’on y trouve plus un grand intérêt. Bien qu’Elizabeth Moss excelle dans son jeu, son personnage ne semble plus rien avoir à montrer, qu’elle en devient même détestable à certains moments. Si la série nous séduit toujours autant par sa dystopie angoissante et ses personnages terrifiants, cette troisième saison décolle bien trop tardivement, ce n’est qu’au onzième épisode que l’intrigue gagne en intensité et en rebondissements. Alors, le final qui laisse nos servantes au plus mal, mais sur note d’espoir devrait promettre une quatrième saison bien plus palpitante. - 13,5/20 Critique sur The Handmaid's Tale : La Servante écarlate (saison 3) Vue du 19 au 23.08.2019
Après 2 saisons de très haut-vol, la 3ème saison est une catastrophe. Ont-ils oublié d'embaucher des scénaristes ? En tous cas il ne se passe rien d’intéressant avant l'épisode 11, si ce n'est de rendre June très antipathique. Seul intérêt : La performance toujours extraordinaire d'Elisabeth Moss qui arrive à mettre un profonde intensité à son personnage même sans scénario. Reste à attendre une saison 4 qui dénoue enfin cette histoire, mais par pitié embauchez des scénaristes cette fois ...
A vouloir étirer l'histoire, on prend le risque d'abîmer le produit. C'est un peu le constat de cette saison 3 qui prend un long temps (presque la moitié de la saison) avant de réamorcer ses intrigues de manière efficace. Le récit commence à donner le sentiment de tourner un peu trop sur lui-même, avec un fort sentiment de redite dans plusieurs scènes, et des développements par moments difficiles à suivre. Reste Elisabeth Moss égale à elle-même, un casting toujours solide et une atmosphère qui demeure malgré tout, grâce à la mise en scène qui regorge de symbolisme. Attention toutefois à la sortie de route...
Ça stagne, mais sans être ennuyeux. On se demande quel va être le dénouement. Je n'imagine pas une saison 4, on sent qu'on arrive à la fin mais que il faut faire durer. Alors les situations et les réactions sont souvent improbables. Enfin épisode 11 ça commence à redevenir intéressant...
Troisième saison tout aussi splendide à regarder en blu-ray. La photographie, le grain de l’image méritent à nouveau le détour, soulignés par les couleurs des uniformes des Servantes, des Marthas, des Tantes et des Epouses. Bien que par la force des choses, dès la saison 2, la série se soit éloignée du roman éponyme de Margaret Atwood, ce troisième volet a été un vrai régal à regarder. Tensions, intrigues, rapport de force entre castes, entre femmes, on est saisis par le cheminement de June : c’est le moment de la lutte contre Gilead, sans que soit encore la révolution. Narration habilement servie par des flashbacks expliquant le cheminement des principaux protagonistes (où l’on découvre notamment les raisons du caractère frustré et dictatorial de Tante Lydia à l’épisode 8). Au fil des épisodes, June devient la figure de la rébellion, mais sans être l’héroïne à laquelle on pourrait s’attendre : machiavélique, sacrifiant certains de ses soutiens pour arriver à ses fins, la femme soumise que nous connaissions est devenue une anti-héroïne avec des choix égoïstes, pour laquelle on a de moins en moins d’empathie. Serena, pour sa part, hésite entre le soutien au système de Gilead et son rôle de mère : ses relations avec June n’en sont que plus ambivalentes, voire malsaines. Certains pourront être frustrés par la lenteur du milieu de la saison (épisodes 6 à 10), mais ce n’est que pour mieux reprendre le souffle sur les trois derniers épisodes qui sont pour le moins explosifs. Excellent cliffhanger: vivement la saison 4 !