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Arlette et les mécanos
69 abonnés
560 critiques
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2,0
Publiée le 1 juin 2018
Subjuguée par la première saison, je ne pensais pas être à ce point déçue par la deuxième. Saison où il ne se passe pas grand chose, les épisodes s'enchaînent sans que plus rien ne me captive au contraire c'est lent à mourir, cette saison s'appuie sur le mystère et l'aspect envoutant qui se dégageait de la première saison mais a perdu en suspense, en puissance et l'ennuie gagne rapidement. Si ce n'était l'envie de savoir comment elle va s'en sortir tant l'attachement à ce personnage nous reste chevillé au corps grâce aux 12 premiers épisodes de la série, j'aurais abandonné au bout du 5éme épisode de la saison 2.
Autant la saison était prenante et fascinante, la saison 2 est totalement soporifique hormis le 1er épisode. On nous fait croire que Defred réussi à s'enfuir, que l'on va découvrir Gilead et bien non retour à la case départ. La saison 2 = saison 1 en version lente. C'est vraiment dommage.
Une deuxième saison au rythme inégal mais très fouillée qui parvient à aborder l'évolution de June sous de multiples facettes mais aussi de s'attarder plus sur les autres protagonistes féminins.
Là où la saison 1 instaurait un cadre mystique à ce totalitarisme avant-gardiste, la saison 2 offre par ses flashbacks et ses nouveaux horizons toute la crédibilité escomptée sur son instauration et son manque d'échappatoire. Par ailleurs le ton reste intact à la première saison. En revanche là où certaines critiques considèrent qu'ils ne s'y passent rien, chaque thème abordé (répertorié sur chaque épisode) arpente pourtant des personnages complexes, dont la limite entre l'empathie et la haine sème au spectateur que je suis le doute sur leurs véritables intentions. Cette prouesse émotionnelle s'opère principalement par la subtilité des dialogues, leurs actes de foi, mais également par le sublime casting que cette série propose. À l'inverse de la série Game of thrones ayant trop dépendu de son auteur pour entrevoir en fin de compte une conclusion hâtive, la Servante Écarlate à l'inverse s'affranchit drastiquement de son roman initial tout en proposant avec malice, violence et patience un périlleux chemin vers la résistance et son inévitable révolution. La barre est haute, très haute !
je me suis dit qu'après la propagande pro-LGBT, néo-féministe et mondialiste de la première saison, nous serions enfin passer à autre chose dans la deuxième saison, ben non ! c'est encore pire dans la deuxième saison avec la mère hippie (libérale, libertaire) du personnage principale qui est une pro "balancetonporc" et qui forcement incarne la sagesse qui a tous prévu (comme nostradamus après une montée de LSD) et compris avant tous le monde puisque pour elle le mariage avec un homme c'est une grosse erreur, nous avons le droit en plus à la petite larme pour nos chères médias et le passage obliger sur l'islam pauvre victime éternel par des méchants chrétiens, passage aussi obligé aussi sur le sujet pro-PMA (c'est tendance !) Episode après épisode on se rend compte que cette série est en complète déconnection avec notre réalité, il aurait été possible de faire une vrai analyse de notre époque et de la dictature des minorités qui progresse chaque jour dans notre société, dans les médias, dans la politique et donc aussi dans le cinéma et les séries, mais non, le choix est justement d'accompagner toutes les revendications communautaires qui ne favorisent en rien la paix sociale. D'ailleurs en parlant de sociale, rien n'est abordé sur ce sujet dans cette série que cela soit aux états unis, au Canada ou au Mexique, c'est focalisé uniquement sur le sociétale comme le font tous nos politiques libéraux. Rendez vous donc pour la troisième saison pour voir jusqu'ou cette série va, mais je sens déjà venir la réthorique victimaire avec le racisme, d'ailleurs on remarque déjà que tous les cadres de la dictature sont blancs, un hasard ?
j'avais plutôt bien aimé la S1. le début de la S2 part plutôt bien, mais une fois sa tentative d'évasion loupé ça commence a ramollir sévèrement et puis a partir de l'épisode du "bébé malade" la rien ne va plus, au niveau du scénario, au niveau de la logique des personnages.. rien ne va plus!! et c'est de pire en pire ! c'est mou c'est lent c'est ininteressant, et aussi a un moment il y a l'épisode qui se termine par l'attentat ou on se dit que ça va enfin décoller mais que nenni! on ne reparle quasiment plus de cette révolte il ne se passe rien autour de ça, c'est la qu'on s'appercoit du manque de moyen, du manque d'ambition de la série, on reste confiné dans la maison des whaterford, avec flash backs en bonus et c'est tout. l'actrice principale a commencé à m'insupporter gravement avec ses grimaces alternant entre "je suis déterminé " et "je suis désespéré " . bref on sent vraiment le filon qu'on veut exploiter a tout prix, et alors la fin..qui m'a bien fait rire..la S3 sera sans moi.
Il ne se passe absolument rien! Les seules péripéties qui arrivent ne sont que des anecdotes qui ne font pas avancer l’histoire ! Lent, nul, incohérent
The Handmaid's Tale Saison 2 reproduit les principaux défauts de son aînée. Une histoire centrée sur un personnage principal agaçant au possible, lunatique et incohérente. Tout ce qu'on veut voir dans cette série et d'intéressant à développer se retrouve autour du personnage d'Emily qui éclaire la médiocrité du show. Une histoire bourrée d'incohérences pour servir le scénario. Au final le personnage de June est présentée comme une combattante, mais détrompez-vous il n'en est rien et elle est bien tout le contraire de cela. Heureusement pour elle la série dispose d'une bonne photographie et de quelques fulgurances grâce au personnage d'Emily et du personnage de Commandant introduit lors des deux derniers épisodes.
Je vous en prie, à tout ceux qui lisent ce commentaire, passez votre temps à tout ce que vous voulez d'autre que de regarder cette seconde saison Il n'y a rien dedans... Si comme moi vous avez aimé la saison 1, attendez la saison 3, vous n'aurez rien raté au milieu
C'est lent, répétitif, et incohérent dans la psychologie des personnages. Et les scènes gnan gnan sur la maternité sont trop nombreuses et prennent le pas sur un récit qui s'étiole.
J'ai adoré la saison 1, on ne sort pas indemne de ce voyage et que ce qui se déroule devant nos yeux n’est pas du divertissement. Une tyrannie patriarcale et religieuse impitoyable... On découvre aussi les terrifiantes « colonies », où sont envoyées les femmes qui refusent de marcher droit.On sort de cette saison avec la certitude que la révolte de Defred sera un véritable chemin de croix, brutal, pénible et pourtant passionnant... La musique... tout est excellent ! a voir absolument !
Mais que c'est t'il passé entre la saison 1 et 2 Les créateurs sont t'ils parti en vacances et on laissé le scénario à une stagiare dépressive et enfermé chez elle a regarder l'intégrale de Dolan tout en twittant sur Metoo. Serie d'anticipation dénoncant ce que l'amérique p(o)uritaine pourrait devenir dans la saison 1, on passe dans la deux à un melodrame soporifique, lourdingue et bourré d'incohérence J'aurais aimais que la série prennent de 'ampleur et nous fasse découvrir Gilead en dehors des quartiers riches des commandant, mais non c'est un huis clos claustro auquel on a droit spoiler: Les fameuses colonies ne ressemblent a rien (reproduction du goulag et des camps d'extermination)
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Plus grave , les valeurs religieuses ne sont plus critiquées puisque même sans contrainte et sans aucune ironie servante et martha se donnent du God bless you et autres bondieuseries. J'ai regardé les 5 derniers épisodes en accélérer au cas où la saison 3 retrouve le génie de la première.
Je ne suis pas d accord avec vous la saison 2 est pleine de rebondissements de retournements de situation de drames elle n est en rien soporifique pour tous les personnages quels qu ils soient ! Personnellement j ai vraiment adoré !
Après une première saison aux développements efficaces et qui avait su installer une ambiance, voici que la saison 2 monte d'un cran, en multipliant les axes du récit avec beaucoup de savoir-faire. Intrigues, acteurs, mise en scène, tout est au diapason pour accentuer le côté étouffant de cet univers dystopique et distiller le malaise épisode après épisode, dans une veine religieuse très appuyée, avec une dynamique singulière mais prenante. Seule la gestion des flashbacks, parfois aléatoire, peut laisser à désirer, mais c'est indéniablement une série captivante, aux effets parfois inattendus.
Si cette saison est toujours aussi sombre et oppressante que la première, elle est moins cantonnée au quartier du commandant Waterford, pour des découvertes bienvenues. Bien sûr la proposition de ce monde élargi va de pair avec des choix scénaristiques, malheureusement pas toujours très bien exploités… Les excursions dans ces coins encore inconnus font l’objet de nombreux retournements de situation peu compréhensibles. Résultat, la fin de saison à beau être intense, le twist final nous a laissés perplexes… Dommage pour une série avec tant de qualités.