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4,4
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Votre avis sur The Handmaid’s Tale : la servante écarlate ?
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1
40 critiques
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Adaptation absolument parfaite ! La mise en scène est incroyable avec des plans magnifique ! Les couleurs, l'ambiance, les ralentis tout est tellement bien maîtrisé ...
Les acteurs sont très bons avec une mention spéciale à Elisabeth Moss qui est de tous les plans et est juste époustouflante !!!
Bref je suis tombé amoureux de cette série. Le sujet, très politique bien sûr, a beaucoup aidé à me plonger dans ce futur apocalyptique pour l'Homme et pourtant tellement actuel... C'est une œuvre majeure qui mériterait d'être diffusée en prime sur une grande chaîne pour lui donner toute la visibilité qu'elle mérite ... Mais en a-t-elle besoin ? La série absolument pas, mais nous l'avons tristement vu ces derniers mois, l'être humain oui ! La ménagère de -50 ans oui ! Les gens qui n'ont pas le temps de lire le roman d'Atwood oui ! Ceux qui se laissent emporter par des pensées extrêmes OUI !
Il faut absolument la voir !
Les acteurs sont très bons avec une mention spéciale à Elisabeth Moss qui est de tous les plans et est juste époustouflante !!!
Bref je suis tombé amoureux de cette série. Le sujet, très politique bien sûr, a beaucoup aidé à me plonger dans ce futur apocalyptique pour l'Homme et pourtant tellement actuel... C'est une œuvre majeure qui mériterait d'être diffusée en prime sur une grande chaîne pour lui donner toute la visibilité qu'elle mérite ... Mais en a-t-elle besoin ? La série absolument pas, mais nous l'avons tristement vu ces derniers mois, l'être humain oui ! La ménagère de -50 ans oui ! Les gens qui n'ont pas le temps de lire le roman d'Atwood oui ! Ceux qui se laissent emporter par des pensées extrêmes OUI !
Il faut absolument la voir !
Il y a des séries qui valent largement certains longs métrages. Celle-ci en fait partie. Une couleur un style et un jeu d'acteurs exceptionnels. Enjoy :-))
Brillantissime !!! L’invraisemblable histoire de cette série rendue authentique par l’interprétation D’Elisabeth Moss son personnage principal ,nous plonge dans l’ horreur de la nouvelle nation de Giléad. Parfois troublante et dérangeante pour certaines scènes , ce n’en n’ai pas moins addictif.June ,l’héroïne vit un véritable calvaire rien ne lui ai épargnée et nous pauvre spectateur témoin silencieux n’avons qu’une envie.... voir June libre et se venger!
C'est ma première critique sur allociné. Je ne prends jamais le temps d'en écrire d'habitude. Pourtant, aujourd'hui cela m'a semblé nécessaire. Pourquoi cette série est-elle aussi bien notée, pourquoi? Je me sens trahi.
J'ai regardé la saison 1 et je l'ai vécu comme un long et pénible périble que je me suis infligé espérant découvrir au tournant d'un épisode la raison de cet engouement.
Résultat: il ne se passe rien. On passe des heures à faire des gros plans sur le visage de l'actrice lors de ses souffrances et épreuves. C'est chiant mais tellement chiant.
J'ai regardé la saison 1 et je l'ai vécu comme un long et pénible périble que je me suis infligé espérant découvrir au tournant d'un épisode la raison de cet engouement.
Résultat: il ne se passe rien. On passe des heures à faire des gros plans sur le visage de l'actrice lors de ses souffrances et épreuves. C'est chiant mais tellement chiant.
une réelle surprise !
une distopie vraiment angoissante servie par une réalisation sur fil tendu permanent et un graphisme impeccable qui rajoute au malaise de cette fable moderne !
une distopie vraiment angoissante servie par une réalisation sur fil tendu permanent et un graphisme impeccable qui rajoute au malaise de cette fable moderne !
Troisième saison tout aussi splendide à regarder en blu-ray. La photographie, le grain de l’image méritent à nouveau le détour, soulignés par les couleurs des uniformes des Servantes, des Marthas, des Tantes et des Epouses.
Bien que par la force des choses, dès la saison 2, la série se soit éloignée du roman éponyme de Margaret Atwood, ce troisième volet a été un vrai régal à regarder. Tensions, intrigues, rapport de force entre castes, entre femmes, on est saisis par le cheminement de June : c’est le moment de la lutte contre Gilead, sans que soit encore la révolution. Narration habilement servie par des flashbacks expliquant le cheminement des principaux protagonistes (où l’on découvre notamment les raisons du caractère frustré et dictatorial de Tante Lydia à l’épisode 8).
Au fil des épisodes, June devient la figure de la rébellion, mais sans être l’héroïne à laquelle on pourrait s’attendre : machiavélique, sacrifiant certains de ses soutiens pour arriver à ses fins, la femme soumise que nous connaissions est devenue une anti-héroïne avec des choix égoïstes, pour laquelle on a de moins en moins d’empathie. Serena, pour sa part, hésite entre le soutien au système de Gilead et son rôle de mère : ses relations avec June n’en sont que plus ambivalentes, voire malsaines.
Certains pourront être frustrés par la lenteur du milieu de la saison (épisodes 6 à 10), mais ce n’est que pour mieux reprendre le souffle sur les trois derniers épisodes qui sont pour le moins explosifs. Excellent cliffhanger: vivement la saison 4 !
Bien que par la force des choses, dès la saison 2, la série se soit éloignée du roman éponyme de Margaret Atwood, ce troisième volet a été un vrai régal à regarder. Tensions, intrigues, rapport de force entre castes, entre femmes, on est saisis par le cheminement de June : c’est le moment de la lutte contre Gilead, sans que soit encore la révolution. Narration habilement servie par des flashbacks expliquant le cheminement des principaux protagonistes (où l’on découvre notamment les raisons du caractère frustré et dictatorial de Tante Lydia à l’épisode 8).
Au fil des épisodes, June devient la figure de la rébellion, mais sans être l’héroïne à laquelle on pourrait s’attendre : machiavélique, sacrifiant certains de ses soutiens pour arriver à ses fins, la femme soumise que nous connaissions est devenue une anti-héroïne avec des choix égoïstes, pour laquelle on a de moins en moins d’empathie. Serena, pour sa part, hésite entre le soutien au système de Gilead et son rôle de mère : ses relations avec June n’en sont que plus ambivalentes, voire malsaines.
Certains pourront être frustrés par la lenteur du milieu de la saison (épisodes 6 à 10), mais ce n’est que pour mieux reprendre le souffle sur les trois derniers épisodes qui sont pour le moins explosifs. Excellent cliffhanger: vivement la saison 4 !
De la bombe cette série! Super bien joué, de bon décor, un scénario bien maîtrisé. Chaque épisode donne envie de voir la suite. À voire absolument!
Henrico
De très loin supérieur au film de Volker Schlöndorff, cette série déploie un nombre impressionnant d’acteurs de talent, avec un scénario excellent, qui, à la base, était le fruit de l’imaginaire d’une auteure exceptionnelle, Margaret Atwood. Quoique très brillant, le roman se voit dépassé par la série. En effet, si les scénaristes de la série ont emprunté au roman son contexte, ses personnages, et sa trame principale, ils ont formidablement étoffé l’intrigue avec d’autres sous intrigues, en inventant une vie antérieure pour chaque personnage, ainsi qu’un quotidien beaucoup plus détaillé que dans le roman. En outre, la série semble porter un nouvel éclairage prophétique sur la tentation totalitaire machiste et misogyne qu’ont certains mouvements radicaux religieux actuels. Le phénomène galopant du Salafisme et de l’islamisme radical politique, gangrénant toutes les sociétés, en est une illustration des plus éclatantes.
Une saison qui a commencé sur un rythme étrange et une intrigue qui se perdait sans qu'on comprenne tellement où ça pourrait aller avant d'accélérer sérieusement à la fin et offrir une fin de saison qui laisse songeur, entre mélancolie, conclusion heureuse.
Cette saison est vraiment est bouleversante, remplie d'action, dure et vraiment super à la fois. C'est sûrement l'une des séries qui marque le plus psychologiquement aussi, c'est dur !
Que reste-t-il à dire sur cette série ? Superbe adaptation d'un roman déjà passionnant, l'oeuvre se montre très (trop ?) fidèle à son oeuvre originelle et nous plonge dans la peau d'une femme révoltée qui se retrouve peu à peu malgré des torrents déchaînés à son égard. C'est passionnant, le récit prend de la densité au fil des épisodes, on pourrait simplement regretter l'absence de parti pris dans la réalisation qui en chaîne des plans oubliables et ne met pas assez en valeur ce qu'elle raconte. N'est pas Vince Gilligan qui veut. Au-delà de cet aspect tatillon, ne boudons pas notre plaisir, The Handmaid's Tale est l'une des séries les plus intéressantes de 2017, aux côtés de Twin Peaks, Taboo, Better Call Saul et autres Fargo et pépites.
Très bonne série, très bien jouée par la truce principale. Quelques lenteurs dans la saison2 mais qui font le charme de cette série.
La meilleure saison depuis la 1ère. L'histoire avance et le suspense est à son comble. Les décisions sont enfin prises (par les personnages et par les scénaristes) et les intrigues arrêtent enfin de tourner en rond. Une nouvelle fois, de superbes performances de la part des actrices et acteurs.
Critique vidéo : https://youtu.be/rrrwtHLTg8Q
Critique vidéo : https://youtu.be/rrrwtHLTg8Q
Une saison 2 captivante bien que ternie par des longueurs inutiles. On a pas besoin de savoir que la saison 2 n’a pas été écrite par l’auteur, on le devine. Le grand problème avec les séries tirées d’un roman, c’est qu’elles dévoilent a quel point les scénaristes manquent d’imagination dans les dialogues comme dans l’histoire on a eu l’expérience avec GOT.
Saison en demi teinte.. du bon et du beaucoup moins bon. Par exemple l'épisode 2, où on dirait qu'il y a des épisodes pour faire des episodes.