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Carine R.
8 abonnés
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Critique de la série
3,0
Publiée le 24 septembre 2017
J'ai lu le livre et j'en suis à l'épisode 4. La série a pris beaucoup de liberté. On connaît le nom de famille du Commandant, et surtout le vrai prenom de l'héroïne (😲😲😲). Ils ont gardé la tram, quelques scènes du livre et c'est tout. Et le régime dans la série est plus permissif que celui du livre (oui, oui, c'est possible). Dommage car ils ont perdu un peu l'ambiance du livre. Sinon, la série en elle-même est bien. Les acteurs sont top, l'ambiance est pesante.
Cette série est un véritable bijou, les acteurs sont excellents, l'histoire est captivante, l'image et le son sont très soignés, pour moi c'est la meilleure série 2017, j'attend avec impatience la deuxième saison.
Ok j'avoue j'ai regardé que le premier épisode et pas en entier. C'est un synopsis intéressant mais au final c'est juste un vague trip mormon, sans épaisseur, sans nuance,non? Accrocher à l'actrice n'est pas gagné. Et puis c'est claustrophobique, on voudrait la voir, la sentir cette société post moderne dont les enjeux ont changé. Mais au lieu de ça, tout est focalisé sur la condition des femmes qui vivent le cauchemar des féministes. Tout est un peu bizarre...
Après une première saison aux développements efficaces et qui avait su installer une ambiance, voici que la saison 2 monte d'un cran, en multipliant les axes du récit avec beaucoup de savoir-faire. Intrigues, acteurs, mise en scène, tout est au diapason pour accentuer le côté étouffant de cet univers dystopique et distiller le malaise épisode après épisode, dans une veine religieuse très appuyée, avec une dynamique singulière mais prenante. Seule la gestion des flashbacks, parfois aléatoire, peut laisser à désirer, mais c'est indéniablement une série captivante, aux effets parfois inattendus.
A vouloir étirer l'histoire, on prend le risque d'abîmer le produit. C'est un peu le constat de cette saison 3 qui prend un long temps (presque la moitié de la saison) avant de réamorcer ses intrigues de manière efficace. Le récit commence à donner le sentiment de tourner un peu trop sur lui-même, avec un fort sentiment de redite dans plusieurs scènes, et des développements par moments difficiles à suivre. Reste Elisabeth Moss égale à elle-même, un casting toujours solide et une atmosphère qui demeure malgré tout, grâce à la mise en scène qui regorge de symbolisme. Attention toutefois à la sortie de route...
Après des recommandations unanimes, je découvre cette série qui a comme atout un casting de grande qualité (l'actrice principale est ni belle ni moche et joue parfaitement l'insouciance dans l'époque d'avant et la tension permanente dans le monde d'aujourd'hui). Reste que je n'arrive pas à m'emballer faute de cliffhanger réguliers comme d'autres séries dont je suis fan.
Une saison 4, un chouille en deçà des 3 premières. Esthetiquement c'est moins fouillé, moins travaillé meme si il y a quelques scènes magnifiques. Le plus de cette saison c'est l'étude psychologique des personnages et de la question de qui est le bourreau ? Un scénario qui évite la répétition et qui du coup s'ouvre sur une nouvelle ère. J'attends la 5 avec impatience évidemment.
Si cette saison est toujours aussi sombre et oppressante que la première, elle est moins cantonnée au quartier du commandant Waterford, pour des découvertes bienvenues. Bien sûr la proposition de ce monde élargi va de pair avec des choix scénaristiques, malheureusement pas toujours très bien exploités… Les excursions dans ces coins encore inconnus font l’objet de nombreux retournements de situation peu compréhensibles. Résultat, la fin de saison à beau être intense, le twist final nous a laissés perplexes… Dommage pour une série avec tant de qualités.
Curiosité réelle que cette série à l'univers dystopique très étonnant, jouant sur les résurgences d'un archaïsme moyenâgeux au milieu de notre modernité. L'esthétique globale de la série est très soignée, accentuant la sensation de malaise, que ce soit dans la photographie ou la manière de filmer les visages notamment, avec une atmosphère feutrée contribuant pleinement à l'étrangeté de l'univers. Raffinement dans la cruauté, avec un casting homogène et très bien dirigé. La série semble toutefois souffrir d'épisodes de remplissage pour tenir la distance, et le mystère plane encore lourdement sur les origines de ce régime totalitaire aux arcanes obscures. On sent un énorme potentiel qu'il sera sans doute intéressant de voir quelle direction il va prendre à l'avenir.
5 étoiles rien que pour la diabolique Tante Lydia. spoiler: Elle est trop horrible avec son style Nazi. Pire, elle a le même sourire jaune et le regard glacial que Marine Lepen, elle fait vraiment flipper . Sous son oeil, béni soit le fruit
Plus lente et moins rythmée que la première saison, cette nouvelle fournée d’épisodes de « The Handmaid's Tale : La Servante écarlate » est légèrement décevante. Bien qu’on suit avec passion l’évolution de tous nos personnages et plus particulièrement l’héroïne June alias Defred, on est quelque peu ennuyé par cette intrigue qui n’a finalement que très peu de chose à montrer. La série qui prend moins de risque par rapport à la précédente saison, peine à avoir un enjeu plus recherché. Cependant, les retournements de situation et l’angoissante ambiance dystopique qui y règne, rendent ces treize nouveaux épisodes assez captivants pour malgré tout apprécier du début à la fin, et plus particulièrement grâce au twist final plutôt haletant. - 14,5/20 Critique sur The Handmaid's Tale : La Servante écarlate (saison 2) Vue du 12 au 19.08.2019
Série qui, sur la forme, est toujours aussi splendide à regarder. L’image, la symétrie des prises de vue, la photographie font que ce l’une des plus belles du moment, un véritable bijou télévisuel.
Tout cela porté par des acteurs tous aussi excellent les uns que les autres, notamment ma préférée Ann Dowd dans le rôle de Tante Lydia dont le jeu est stupéfiant. Les personnages secondaires dans cette quatrième saison s’étoffent et prennent toute leur mesure.
Cette saison se décompose en deux parties assez nettes, suivant le chemin de June : une première à Gilead, l’autre au Canada, le fil conducteur n’étant plus seulement la résistance mais la vengeance. La seconde partie de la saison s’apparente à un thriller beaucoup plus classique dans sa forme, mais avec un rythme beaucoup plus soutenu que dans la première. Certains pourront dire que des épisodes sont inégaux en intérêt car plus lents et moins haletants, mais qui sont là pour mieux servir le caractère oppressant de cette dystopie. La narration se passant hors Gilead nous permet d’éclairer sous un nouvel angle la théocratie inventée par Margaret Atwood et ce, tout en se défaisant de boucles faites de sévices et tortures que nous retrouvions (peut-être avec un brin de lassitude, ça devenait un peu « too much ») dans les précédentes saisons. Tout cela pour finir sur un dernier épisode explosif, concluant avec logique le fil de ce quatrième volet, qui amène une cinquième saison que j’attendrai avec impatience.
Angoissant, sombre, surealiste... et pourtant nous sommes si proches de cette fiction ! Tout les éléments sont réunis pour que ça fonctionne (casting impeccable, réalisation maîtrisée, écriture intelligente...). La servante écarlate est LA nouvelle grande série du moment.
Bof...bof...bof....Fan des romans et autres séries de dystopie je dois avouer que la servante écarlate, tant le roman, que le film de 1990 ou la série avec E.Moss m'ont plu. Je trouve l'histoire inaboutie, peu percutante et manquant singulièrement de profondeur. Aussi, je ne parviens pas à partager l'enthousiasme de la majorité. Et donc pour moi ce sera 2,5 étoiles. La servante écarlate n'a pas la force, la profondeur, l'étoffe, la réflexion, l'esprit visionnaire....d'Orange Mécanique de Anthony Burgess. Et alors nous sommes à des années lumière de 1984 de George Orwell. Les seuls points positifs de la série : les décores, les costumes et certains effets de réalisation (certains ralentis par exemple). En fait, j'ai été déçue très déçue. Je crois que j'attendais beaucoup (beaucoup trop sûrement )de la série car le film de 14990 était loupé et le roman manque cruellement de profondeur, de réflexion. Une chose que ni le roman ni la série ne parviennent à déclencher : de l'empathie et de la sympathie pour Defred l'(anti-)héroïne de l'histoire. Alex dans Orange mécanique est un être passablement ignoble mais le lecteur et le spectateur l'aime aussi paradoxal que cela puisse paraître. Ce sentiment devrait venir naturellement pour Defred et en fait....Rien ! Côté réflexion....pppfffff ! 1984 vous remue les neurones là....ouais....vous vous dites c'est pas cool de stigmatiser les femmes en les catégorisant, c'est pas cool l'homophobie et puis c'est tout. Dommage ! la série aurait pu rendre justice à un roman fadasse.
Saison inutile. Le dernier épisode et le premier suffisent à résumer les 11 autres. Ne pas perdre son temps. Grosse déception après une première saison palpitante.