Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
4 critiques presse
Brain Damaged
par Asma El Mardi
Glow est une série qui retranscrit à merveille une époque, entre sexe débridé, drogue, faste hollywoodien, essor industriel et les débuts de l’électronique, mais aussi ses ceintures à grosses boucles, vêtements large et flashy, coiffures permanentées et maquillage à outrance. Tout y est pour retrouver des sensations oubliées.
La critique complète est disponible sur le site Brain Damaged
DailyMars
par Yann Kerjan
Alison Brie s’offre ici enfin un rôle central qui lui permet d’étaler une palette complète alternant comédie et drame sans effort. L’approche formelle est néanmoins plus aléatoire. Si les tenues et autres constructions de coiffures font leur petit effet, la mise en scène s’épanche vers quelques raccourcis afin de singer les années 80 à moindre effort.
La critique complète est disponible sur le site DailyMars
Sud Ouest
par Cécile Jandau
L’ambiance 'pop acidulée' a tout pour plaire, et on sent dès le premier épisode qu’un soin tout particulier est apporté à la galerie de personnages féminins. Tout comme à la déconstruction des représentations sexistes qui sont légion à Hollywood comme ailleurs.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé Loisirs
par Michel Bessières
Malgré la filiation revendiquée avec Orange Is the New Black, il manque à la série la vigueur et le rythme de son modèle, où chaque personnage crève l’écran dès sa première apparition en incarnant des frayeurs, des angoisses ou des pulsions largement partagées.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Brain Damaged
Glow est une série qui retranscrit à merveille une époque, entre sexe débridé, drogue, faste hollywoodien, essor industriel et les débuts de l’électronique, mais aussi ses ceintures à grosses boucles, vêtements large et flashy, coiffures permanentées et maquillage à outrance. Tout y est pour retrouver des sensations oubliées.
DailyMars
Alison Brie s’offre ici enfin un rôle central qui lui permet d’étaler une palette complète alternant comédie et drame sans effort. L’approche formelle est néanmoins plus aléatoire. Si les tenues et autres constructions de coiffures font leur petit effet, la mise en scène s’épanche vers quelques raccourcis afin de singer les années 80 à moindre effort.
Sud Ouest
L’ambiance 'pop acidulée' a tout pour plaire, et on sent dès le premier épisode qu’un soin tout particulier est apporté à la galerie de personnages féminins. Tout comme à la déconstruction des représentations sexistes qui sont légion à Hollywood comme ailleurs.
Télé Loisirs
Malgré la filiation revendiquée avec Orange Is the New Black, il manque à la série la vigueur et le rythme de son modèle, où chaque personnage crève l’écran dès sa première apparition en incarnant des frayeurs, des angoisses ou des pulsions largement partagées.