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pat T.
16 abonnés
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Critique de la série
4,5
Publiée le 4 mai 2019
au top cette série du British de chez British un casting 5 étoiles une écriture au poil un cocktail simple et efficace , j ai hâte de voir la version française
" Fleabag" diffusé sur Amazon Prime Vidéo élu meilleure série comique 2020 est une petite petite britannique. En effet nous y suivons l'histoire de l'excentrique et déséquilibrée Fleabag brillamment interprétée par l'exceptionnelle Phoebe Waller-Bridge très bien entouré de Olivia Colman et Sian Clifford dans une série excentrique, folle et parfois touchante qui aborde des thèmes importants ( la mort, le deuil, le suicide, l'addiction, la dépression….) avec un humour noir et britannique qui sort du lot, dommage que la série s'est arrêté après 2 saisons seulement.
Retour en force de cette série britannique créée et interprétée par la showrunner de Killing Eve. La saison 1 installait déjà cet humour très noir, ce sens du rythme et ce goût du malaise, tout en étant plombée par une tendance au mélodrame qui se mariait mal avec le reste et m'avait un peu gâché le plaisir en fin de saison. Ce travers pointe le bout de son nez le temps d'un épisode de cette deuxième saison, mais pour le reste, c'est un vrai sans faute. Tout en s'inscrivant dans la veine Louie/Better Things/Master of None/Curb Your Enthusiasm, Fleabag a une personnalité bien à elle et une efficacité qui n'a jamais été aussi forte que dans cette saison 2. Le premier épisode donne le ton: resserrement des enjeux et du nombre de personnages, utilisation virtuose du regard caméra, absence de temps morts... Bref, une vraie réussite, plus encore que la saison précédente, notamment grâce à la nouvelle recrue Andrew Scott, génial et touchant en prêtre soumis à la tentation. Peut-être aussi grâce à une plus grande maturité de l'héroïne et du scénario, qui visent une émotion et un humour plus bruts, sans esbroufe ni provocation inutiles.
Du pur génie. C'est extrêmement drôle, avec des moments de gène intense, que j'ai rarement vu ailleurs. Une belle histoire, avec des passages d'une noirceur absolue et d'autres très touchants. Incroyablement bien joué, notamment par la créatrice qui joue le rôle principal. Quelques têtes connues si vous regardez un peu de séries anglaises (Moriarty du Sherlock de la BBC par exemple).
J'ai tenu 2 épisodes et j'ai viré car la série est nulle et pas intéressant dans la vie personnelle de l'héroïne et l'humour pas au rendez-vous et surtout des épisodes de 26 minutes c'est beaucoup trop court. Scénario histoire mise en scène rien n'est bon voilà.
Whaou, Mais c'est horrible ce truc. Survolté, indigeste. L'actrice vous prend à partie toutes les trois secondes, j'ai vraiment eu l'impression d'être agressé en permanence! Là ou Jean-Luc Godard était innovant avec le génial A Bout de Souffle, PWB est insupportable. Les situations sont grotesques, horriblement mises en scène. Bref, j'ai pas compris, là...
lamentable. grossier, un personnage principal inintéressant et mauvais; l'actrice est bien, mais le personnage est quelqu'un de mauvais - une looser, désagréable, qui utilise les gens, ment, triche, ne sait pas ce qu'elle veut. J'ai trouvé cette série extrêmement désagréable.
Londonienne, la trentaine, Fleabag (Phoebe Waller-Bridge) est une célibattante qui dirige seule un café depuis la mort de son associée. Fleabag entretient des relations tumultueuses avec sa sœur aînée et avec son père qui s'est remis en couple avec la marraine de Fleabag après le décès de sa mère.
En 2016 débarquait sur les écrans une mini-série de six épisodes de trente minutes écrite et interprétée par une actrice de stand-up comedy au bagout ébouriffant. le succès fut immédiat et mérité. Il suffit de regarder la première scène pour se laisser séduire. S'adressant face caméra au spectateur en lui livrant ses impressions, l'héroïne y accueille au milieu de la nuit un amant pour une première rencontre torride qui se conclura par…. une sodomie (sic). C'est terriblement drôle, provocateur sans être vulgaire, monté à un tempo d'enfer (si j'ose dire). Bref, on est immédiatement emballé.
Le succès de la première saison fut si éclatant que Phoebe Waller-Bridge se laissa convaincre d'en écrire une seconde. Elle y introduit un nouveau personnage : un prêtre catholique terriblement séduisant. Le rythme pétaradant de la première saison se ralentit ; le propos devient plus grave tandis que se révèle la fêlure laissée dans la psyché de l'héroïne par la mort de son associée Boo.
"Fleabag" n'existe que pour et par son héroïne. Impossible de ne pas rire à ses pitreries. Impossible de rester insensible aux clins d’œil qu'elle nous décoche. Impossible de ne pas tomber sous son charme fou, mélange de maladresses ingénues et de prises de position féministes.
"Fleabag" porte en lui toutefois ses propres limites. Le scénario de ces douze épisodes est une structure bien lâche pour relier entre elles des saynètes qui n'ont guère d'autres points communs que l'identité de leur héroïne. Chaque scène de "Fleabag" est un bijou ; mais toutes les scènes de "Fleabag", mises bout à bout, ne forment pas une oeuvre.
J'aime bien cette mini-série, captivante, bien rythmée, et servie par de bons acteurs et actrices, avec la jolie et charismatique Phoebe Waller-Bridge en tête. Humour british, pour ceux qui aiment l'humour décalé c'est top. Des scènes qui peuvent mettre mal à l'aise, des gags mémorables, des épisodes sans tabou, à dévorer !
Fleabag est une série humoristique réussie dans le contexte de la vie londonienne dans les années 2 000. Le personnage principal, Fleabag, une jeune femme hyperactive et pleine de vie, interprétée par Phoebe Waller-Bridge, se fraie une chemin amoureux et relationnel inconstant mais passionné. La réalisation est impeccable et les prises de scènes réussies.
Cette série écrite et réalisée par son actrice principale est une merveille de comédie british où l'acidité et le sarcasme se mêlent au malaise pour nous faire rire autant qu'elle peut nous faire pleurer. Dans les deux cas il est question de larmes. Et d'un très haut niveau d'écriture et de jeux, Phoebe Waller-Bridge a d'ailleurs été très justement multi-récompensée, c'est l'une des rares séries (peut-être même la seule) où le fait de s'adresser à la caméra n'est pas un repoussoir pour le spectateur, au contraire on redemande ces petites confidences entres amis. Plébiscitée par le succès critique et public l'auteur a en plus eu l'audace de raccrocher les gants au sommet, pour ne pas faire la saison de trop, "dans 20 ans peut-être" a-t-elle déclaré. La classe.
Une série remarquable et que je classe dans le panthéon. Parce qu'on a affaire ici à un génie de l'écriture et du jeu. Donc oui, nous sommes dans un registre littéraire mais qui ne pouvait, du fait de la connivence avec le spectateur qu'être produit sous cette forme. Le jeu des comédiens, l'écriture dépassent de loin le genre burlesque. C'est prodigieux.
Je suis resté de marbre face à l'humour de cette série. Quelques sourires de temps à autre mais pas de quoi sauver la série. La saison 2 a réussi à être encore plus ennuyeuse que la saison 1.
Fleabag est une jeune femme en décalage avec sa famille et le monde qui l'entoure. Profondément cynique, délibérément cash et réellement amusante, elle a le don de s'attirer des sentiments partagés auprès de son entourage. Fleabag tente de surpasser le deuil et la culpabilité qu'elle éprouve auprès de proches récemment disparus de sa vie. Disponible sur Prime vidéo.
spoiler: cette saison 1 de "Fleabag" offre un récit familial pas toujours passionnant : l'histoire de cette jeune femme paraît assez banale au premier abord. Par ses mécanismes particuliers tels que la chute du 4e mur en permanence ou la personnalité hors-norme du personnage, Fleabag capte l'attention du spectateur et assène le coup de grâce en faisant comprendre par des chemins détournés la vérité sur la mort de sa meilleure amie. J'ai été surpris positivement par le fait que les pièces du puzzle se complètent très progressivement dans notre esprit sans trop nous mâcher le travail avec des explications superflues. Un bon démarrage pour une série qui pourrait peiner à se renouveler.