AlloCiné
Mon compte
Critiques spectateurs
Critiques presse
Voir les critiques spectateurs de
Toutes les saisons
Note moyenne
3,0
1813 notes
En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
Votre avis sur Vernon Subutex ?
5
26 critiques
4
29 critiques
3
14 critiques
2
15 critiques
1
14 critiques
0
12 critiques
Trier par :
Filtrer par :
Toutes les notes
J’ai pas lu les bouquins,
j’ai adoré l’univers de la série dans lequel je me suis laissée facilement transporter avec beaucoup de plaisir.
J’ai eu l’impression de vivre dans une BD et j’ai trouvé ça jouissif .
Pour 95% j’ai trouvé les acteurs parfaits dans leurs rôles ... et un grand bravo à Romain Duris.
j’ai adoré l’univers de la série dans lequel je me suis laissée facilement transporter avec beaucoup de plaisir.
J’ai eu l’impression de vivre dans une BD et j’ai trouvé ça jouissif .
Pour 95% j’ai trouvé les acteurs parfaits dans leurs rôles ... et un grand bravo à Romain Duris.
Une série originale avec des acteurs et actrices investis.
Très bon casting très bon choix de Romain DURIS pour ce rôle de dandy décadent et paumé
de bons dialogues
c'est bien joué
une bande son vitaminé qui est un personnage à part entière
Très bon casting très bon choix de Romain DURIS pour ce rôle de dandy décadent et paumé
de bons dialogues
c'est bien joué
une bande son vitaminé qui est un personnage à part entière
Je mets quatre étoiles, car j'ai vu les neuf épisodes sans discontinuer, ce qui veut dire que je ne me suis pas ennuyé une seule seconde, puis j'adore le jeu de Romain Duris. Excellents également les seconds rôles, notamment Flora Fishbach, qui apporte son naturel et sa fraîcheur. Seul bémol, c'est une comédie dramatique, mais c'est plus comédie que dramatique. Il manque un fond de noirceur. À voir tout de même.
Je ne crois pas dans les critiques assassines de cette série... Oui c'est lent, oui c'est sans suspense, mais bon sang, quel bonheur, je suis un cinéphile relativement cultivé, peu de films ont eu, depuis des années, cette capacité à être aussi envoutants dans le sens de l'univers proposé... la photo est superbe, la bande son sublime, Duris, comment dire.... Ce type n'est pas un comédien, c'est un multi schizophrène, il ne joue personne, il est ce disquaire has been... Ce comédien est largement sous exploité, c'est une merveille, et autour, ils sont tous à la hauteur... J'ai abordé cette série en vieil hétéro marié, j'en suis sorti amoureux de Florence Thomassin alors que mon épouse est devenue folle de Céline Sallette... On se laisse porter, on en prend plein les yeux, plein les oreilles, et quand c'est fini, on se retrouve orphelins de cette bande de potes qui vont désormais manquer à nos vies. Il y a de l'alchimie des petits mouchoirs dans ces comédiens là, plus incarnés encore. Merci merci et merci. Florence Thomassin, si je te croise, je t'épouse !
Les personnages sont traités en caricatures, et ça, ça passe pas! A part pour Romain Duris, qui est plus subtile.
Yves G.
Vernon Subutex (Romain Duris) porte un nom de laxatif. D'ailleurs il est dans la merde.
Ma critique commence mal ? Il est encore temps, cher lecteur, d'en abandonner la lecture.
Reprenons.
Vernon Subutex, disais-je, porte un prénom de privé hollywoodien et traverse une passe difficile. Les huissiers viennent de l'expulser de l'appartement qu'il occupait, juste au dessus de la boutique de disques où il a travaillé jusqu'à sa fermeture. Il retrouve le soir même une star de la scène underground qui meurt dans la nuit après avoir enregistré son testament sur trois mini-cassettes.
Virginie Despentes est à la mode. Ses prises de position violemment hostiles à Roman Polanski ont fait d'elle une égérie du mouvement #MeToo. Son essai "King Kong Théorie" est un classique féministe qu'on retrouve en tête des ventes plus de quinze ans après sa publication. "Vernon Subutex" débité en trois tomes chez Grasset entre 2015 et 2017 a été un énorme succès de librairie. La punkette est devenue mainstream. Pour le meilleur et pour le pire.
Les années quatre-vingt ne sont plus qu'un lointain souvenir. Bienvenu dans le vingt-et-unième siècle. "Vernon Subutex" est une sorte de "Recherche du temps perdu", carburant à la nostalgie de notre jeunesse disparue et de la musique qui en faisait le sel. Ramones, Daniel Darc, Kim Wilde, Janis Joplin, la musique a la place belle, qui accompagne Romain Duris dans de longs travellings, un brin répétitifs, filmés dans le nord-est de Paris.
Vernon Subutex est sur la pente de la clochardisation. En 1991, au temps du RMI, Gérard Jugnot campait un personnage similaire, symbole du descenseur social, dans "Une époque formidable". J'avais adoré ce film qui a sans doute très mal vieilli.
Le déclassement de notre héros est moins touchant. On le suit, à travers Paris, à la recherche d'un toit auprès d'amis perdus de vue qui ne l'accueillent pas toujours à bras ouverts : un ex-réalisateur de porno castré par son épouse (Philippe Rebot), une bourgeoise hystérique (Florence Thomassin), une star du porno exilée à Barcelone (Juana Acosta). Pendant ce temps, un producteur influent (Laurent Lucas) tente de remettre la main sur les précieuses mini-cassettes avec le concours d'une hackeuse aux méthodes hétérodoxes (Céline Sallette).
La série comme le livre est plaisante. Les mini-cassettes et les mystérieuse révélations qu'elle contiennent entretiennent le suspense. La galerie de personnages est distrayante, dont certains volent la vedette à Romain Duris : Celine Sallette dans le rôle d'une lesbienne tatouée, anarchiste et justicière, à laquelle l'auteure a visiblement voulu de toutes ses forces s'identifier, Flora Fischbach qu'on avait entendue sur scène et dont c'est la première apparition devant une caméra et Florence Thomassin absolument bluffante.
Mais au bout de neuf épisodes de trente-cinq minutes chacun, on finit par trouver la sauce un peu claire. La trilogie souffrait du même défaut, qui s'étendait sur plus de mille pages et dont le troisième tome, inutile, a d'ailleurs été ignoré dans l'adaptation TV.
Et on touche là peut-être la principale contradiction de Virginie Despentes. Autant la jeune écrivaine inconnue ébouriffait quand elle déboulait sur la scène littéraire, la vingtaine punk, chez un éditeur inconnu, avec "Baise-moi", autant elle n'est plus crédible en répétant vingt ans plus tard les mêmes rengaines faussement libertaires et en en cédant les droits à Canal Plus.
Ma critique commence mal ? Il est encore temps, cher lecteur, d'en abandonner la lecture.
Reprenons.
Vernon Subutex, disais-je, porte un prénom de privé hollywoodien et traverse une passe difficile. Les huissiers viennent de l'expulser de l'appartement qu'il occupait, juste au dessus de la boutique de disques où il a travaillé jusqu'à sa fermeture. Il retrouve le soir même une star de la scène underground qui meurt dans la nuit après avoir enregistré son testament sur trois mini-cassettes.
Virginie Despentes est à la mode. Ses prises de position violemment hostiles à Roman Polanski ont fait d'elle une égérie du mouvement #MeToo. Son essai "King Kong Théorie" est un classique féministe qu'on retrouve en tête des ventes plus de quinze ans après sa publication. "Vernon Subutex" débité en trois tomes chez Grasset entre 2015 et 2017 a été un énorme succès de librairie. La punkette est devenue mainstream. Pour le meilleur et pour le pire.
Les années quatre-vingt ne sont plus qu'un lointain souvenir. Bienvenu dans le vingt-et-unième siècle. "Vernon Subutex" est une sorte de "Recherche du temps perdu", carburant à la nostalgie de notre jeunesse disparue et de la musique qui en faisait le sel. Ramones, Daniel Darc, Kim Wilde, Janis Joplin, la musique a la place belle, qui accompagne Romain Duris dans de longs travellings, un brin répétitifs, filmés dans le nord-est de Paris.
Vernon Subutex est sur la pente de la clochardisation. En 1991, au temps du RMI, Gérard Jugnot campait un personnage similaire, symbole du descenseur social, dans "Une époque formidable". J'avais adoré ce film qui a sans doute très mal vieilli.
Le déclassement de notre héros est moins touchant. On le suit, à travers Paris, à la recherche d'un toit auprès d'amis perdus de vue qui ne l'accueillent pas toujours à bras ouverts : un ex-réalisateur de porno castré par son épouse (Philippe Rebot), une bourgeoise hystérique (Florence Thomassin), une star du porno exilée à Barcelone (Juana Acosta). Pendant ce temps, un producteur influent (Laurent Lucas) tente de remettre la main sur les précieuses mini-cassettes avec le concours d'une hackeuse aux méthodes hétérodoxes (Céline Sallette).
La série comme le livre est plaisante. Les mini-cassettes et les mystérieuse révélations qu'elle contiennent entretiennent le suspense. La galerie de personnages est distrayante, dont certains volent la vedette à Romain Duris : Celine Sallette dans le rôle d'une lesbienne tatouée, anarchiste et justicière, à laquelle l'auteure a visiblement voulu de toutes ses forces s'identifier, Flora Fischbach qu'on avait entendue sur scène et dont c'est la première apparition devant une caméra et Florence Thomassin absolument bluffante.
Mais au bout de neuf épisodes de trente-cinq minutes chacun, on finit par trouver la sauce un peu claire. La trilogie souffrait du même défaut, qui s'étendait sur plus de mille pages et dont le troisième tome, inutile, a d'ailleurs été ignoré dans l'adaptation TV.
Et on touche là peut-être la principale contradiction de Virginie Despentes. Autant la jeune écrivaine inconnue ébouriffait quand elle déboulait sur la scène littéraire, la vingtaine punk, chez un éditeur inconnu, avec "Baise-moi", autant elle n'est plus crédible en répétant vingt ans plus tard les mêmes rengaines faussement libertaires et en en cédant les droits à Canal Plus.
J'ai aimé le casting.
Les musiques choisies.
Les changements de Romain Duris.
Et tout ce que ça montre sur des époques, une couche sociale de la société, une façon de vivre. Et des vies.
Quoiqu'on en dise ; j'ai lu le tome 1 et j'ai particulièrement apprécié la série.
Les musiques choisies.
Les changements de Romain Duris.
Et tout ce que ça montre sur des époques, une couche sociale de la société, une façon de vivre. Et des vies.
Quoiqu'on en dise ; j'ai lu le tome 1 et j'ai particulièrement apprécié la série.
Un Romain DURIS fidèle à lui même. Il est excellent j’ai adoré cette série que j’ai regarder d’une traite.
Vinz1
Circonspect quant au choix de Romain Duris à la base pour interpréter le principal protagoniste de la série (dans le livre Vernon a plutôt les cheveux grisonnants et surtout les yeux bleus !), il ne me fallut qu’un épisode pour comprendre pourquoi il avait été choisi : il endosse à la perfection le rôle de ce disquaire vivant dans la précarité du jour au lendemain et joue, comme souvent, terriblement bien ! Mais il n’est pas le seul ! Comment effectivement ne pas tomber follement amoureux de Flora Fischback et de Céline Sallette, interprétant respectivement Anaïs et La Hyène !? Elles sont tout bonnement formidables et nous font vraiment croire en leur idylle naissante ainsi qu’en leur personnage ! Pour ce qui est du scénario, si certaines ellipses sont utilisées, la série respecte assez bien le matériau de base et cette première saison reprend quasi exactement ce qu’il se passe dans les deux premiers opus de Virginie Despentes. J’ai vraiment hâte de voir la suite de cette adaptation télé car il n’y a pas à dire, mais c’est tout de même mieux avec des acteurs confirmés et bien sélectionnés (hormis peut-être celui d’Alex Bleach pas assez charismatique à mon goût). Alors quand en plus on a une bande originale de folie, on ne peut qu’être super impatient !
La note que je mets ici, n'est pas tant pour la série en soit que pour ma tendresse personnelle pour cette série car elle m'a évoqué des pensées de tendre mélancolie. De plus, même i la plupart déclame haut et fort le grand talent de Romain Duris, perso : " dans cette série il déchire !". Et puis le traitement du transgenre est abordé d'une façon originale et moderne, bien que anecdotique. Et tout un tas d'autres thèmes aussi. C'est vrai c'est un peu racoleur sur les bords, mais j'ai pris vraiment du bon temps à mater cette série!
La série Vernon Subutex créée par Cathy Verney est l’adaptation pour le petit écran du bestseller éponyme de Virginie Despentes. Plus précisément, la réalisatrice et coscénariste s’empare des deux premiers volumes de ce bestseller qui en compte trois. Elle met en images - ne galvaudons pas le terme de mise en scène - la dérive du personnage-titre en neuf épisodes d’une trentaine de minutes. Critique complète sur incineveritasblog.wordpress.com
Fidèle restitution du roman, Romain Duris est un très bon choix et interprète de Vernon. Vivement la suite pour cette intrigue et drame de Societe qui dresse une série de portraits dans une vie urbaine et artistique si parisienne et si superficielle ... on comprend le trouble de ce Vernon reste dans son monde quelques années bien en amont comme dépassé par ses contemporains, il survit.
Vernon Subutex, un nom bien original d'ailleurs, est une série plutôt atypique.
On y suit les aventures, si on peut les appeler ainsi, d'un quinqua qui était un peu le roi du disque et de la fête dans les années 90.
Malheureusement tout ça c'est fini.
On va suivre sa descente aux enfers qui commence par une expulsion de son appart.
Il va retrouver ses anciens potes et cela ne va pas se passer comme prévu.
Vernon Subutex c'est l'apologie de la fête, de la passion, de l'anti-conformisme...et cela va le conduire jusqu'au fond du trou.
Mais il fait rêvé par sa nonchalance, son sens de la musique et de la fête, bref il est cool.
Mais jusqu'à un certain point.
Cette série est très bonne mais aurait surement été meilleure si elle avait été un peu plus courte.
Un clin d’œil aux acteurs aussi car R. Duris est vraiment parfait dans son rôle: il incarne superbement bien ce personnage de Subutex.
Mention aussi à la Hyene, Anais et Fardin.
On y suit les aventures, si on peut les appeler ainsi, d'un quinqua qui était un peu le roi du disque et de la fête dans les années 90.
Malheureusement tout ça c'est fini.
On va suivre sa descente aux enfers qui commence par une expulsion de son appart.
Il va retrouver ses anciens potes et cela ne va pas se passer comme prévu.
Vernon Subutex c'est l'apologie de la fête, de la passion, de l'anti-conformisme...et cela va le conduire jusqu'au fond du trou.
Mais il fait rêvé par sa nonchalance, son sens de la musique et de la fête, bref il est cool.
Mais jusqu'à un certain point.
Cette série est très bonne mais aurait surement été meilleure si elle avait été un peu plus courte.
Un clin d’œil aux acteurs aussi car R. Duris est vraiment parfait dans son rôle: il incarne superbement bien ce personnage de Subutex.
Mention aussi à la Hyene, Anais et Fardin.
Rien ne vaut la lecture des 3 tomes mais la série est de bonne qualité et plutôt bien retransmise. Elle permet une seconde lecture.
Vernon est assez bien interprété par Romain Duris, le personnage correspond bien à ce que j'imaginais.
À voir (après la lecture)!
Vernon est assez bien interprété par Romain Duris, le personnage correspond bien à ce que j'imaginais.
À voir (après la lecture)!
Une série extraordinaire!
Je ne comprends absolument pas les critiques négatives
Il y a là un vrai univers et une vrai atmosphère qui se dégage avec une bande son de dingue!!
Bravo!! Continuez
Je ne comprends absolument pas les critiques négatives
Il y a là un vrai univers et une vrai atmosphère qui se dégage avec une bande son de dingue!!
Bravo!! Continuez