Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
Télérama
par Pierre Langlais
Changeant de ton et de rythme à chaque épisode, Trust dynamite le soap façon Dallas, ose les excès, glisse régulièrement vers la comédie. Elle s’amuse de l’engrenage de bêtise et de malchance que lui offre cette histoire, et livre un objet pop visuellement bluffant. La mise en scène, remarquable, est servie par des acteurs génialement cabotins, à commencer par Donald Sutherland, réjouissant de méchanceté en John Paul Getty, premier du nom, suivi du revenant Brendan Fraser, hilarant en négociateur texan… Une série excessive mais assez irrésistible.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Brain Damaged
par Aïssatou Loum
On note une véritable vitalité dans la série. Dès le départ, on sent la patte de Simon Beaufoy dans l’écriture et celle de Danny Boyle dans la réalisation. C’est vif, sombre, punchy et drôle, à la limite de la satire. On apprécie ainsi le fait que la série n’oublie pas d’avoir du recul et un peu d’humour malgré le sujet qui met en scène un ado accro à la drogue et criblé de dettes.
La critique complète est disponible sur le site Brain Damaged
L'Express
par Igor Hansen-Love
Avec son humour noir décapant, Trust brille par son originalité. Dans le rôle du patriarche, la drôlerie de Donald Sutherland est à la hauteur de son charisme. Derrière la caméra, Danny Boyle (Slumdog Millionaire) signe les trois premiers épisodes avec brio. Du beau travail.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Figaro Magazine
par Céline Fontana
La réalisation alterne des séquences survitaminées, façon Trainspotting, et d’autres au style plus classique, s’amuse avec le split screen. Le résultat, souvent décalé, se révèle hilarant, à l’instar du personnage du chef de la sécurité du milliardaire, un cow-boy texan aux méthodes savoureuses, joué par Brendan Fraser (La Momie). Mais, au fil des épisodes, la série se révèle aussi capable de toucher et émouvoir.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro Magazine
Le Parisien
par La rédaction
Voilà un portrait sans concession de la famille Getty, où manifestement l'argent ne fait pas le bonheur. Dynamique et remarquablement mis en scène par Danny Boyle (Trainspotting, Slumdog Millionnaire), Trust parvient à nous prendre dans ses griffes malgré sa galerie de personnages antipathiques.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télé 2 semaines
par La rédaction
Cette saga familiale bénéficie d'un casting inspiré, avec en tête Donald Sutherland qui apporte sa faconde dans le rôle du magnat.
La critique complète est disponible sur le site Télé 2 semaines
Télé 7 Jours
par Frédérick Rapilly
Intrigante, cette série qui plonge dans l'univers des très, très, très riches, prend tout son temps pour se déployer, servie par des interprètes impeccables (Donald Sutherland, impérial) dans des rôles pas très sympathiques. À découvrir ou à regarder comme un drôle d'objet télévisuel pas vraiment identifié, avant de s'y plonger vraiment.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Le Monde
par Martine Delahaye
Malheureusement, ni l’aspect farcesque de cette famille ni le jeu de Sutherland ne sauraient sauver Trust, dont on a eu du mal à supporter la réalisation – qui surligne une stylisation propre aux années 1970 – tout autant que la construction, qui engendre l’ennui. A l’opposé du volet d’American Crime Story consacré à O. J. Simpson, passionnant bien que fondé sur des faits fort bien connus, Trust ne dessine aucune perspective sociale. Et l’oscillation entre l’outrance du soap et le souci du détail réaliste tue toute possibilité d’émotion.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télérama
Changeant de ton et de rythme à chaque épisode, Trust dynamite le soap façon Dallas, ose les excès, glisse régulièrement vers la comédie. Elle s’amuse de l’engrenage de bêtise et de malchance que lui offre cette histoire, et livre un objet pop visuellement bluffant. La mise en scène, remarquable, est servie par des acteurs génialement cabotins, à commencer par Donald Sutherland, réjouissant de méchanceté en John Paul Getty, premier du nom, suivi du revenant Brendan Fraser, hilarant en négociateur texan… Une série excessive mais assez irrésistible.
Brain Damaged
On note une véritable vitalité dans la série. Dès le départ, on sent la patte de Simon Beaufoy dans l’écriture et celle de Danny Boyle dans la réalisation. C’est vif, sombre, punchy et drôle, à la limite de la satire. On apprécie ainsi le fait que la série n’oublie pas d’avoir du recul et un peu d’humour malgré le sujet qui met en scène un ado accro à la drogue et criblé de dettes.
L'Express
Avec son humour noir décapant, Trust brille par son originalité. Dans le rôle du patriarche, la drôlerie de Donald Sutherland est à la hauteur de son charisme. Derrière la caméra, Danny Boyle (Slumdog Millionaire) signe les trois premiers épisodes avec brio. Du beau travail.
Le Figaro Magazine
La réalisation alterne des séquences survitaminées, façon Trainspotting, et d’autres au style plus classique, s’amuse avec le split screen. Le résultat, souvent décalé, se révèle hilarant, à l’instar du personnage du chef de la sécurité du milliardaire, un cow-boy texan aux méthodes savoureuses, joué par Brendan Fraser (La Momie). Mais, au fil des épisodes, la série se révèle aussi capable de toucher et émouvoir.
Le Parisien
Voilà un portrait sans concession de la famille Getty, où manifestement l'argent ne fait pas le bonheur. Dynamique et remarquablement mis en scène par Danny Boyle (Trainspotting, Slumdog Millionnaire), Trust parvient à nous prendre dans ses griffes malgré sa galerie de personnages antipathiques.
Télé 2 semaines
Cette saga familiale bénéficie d'un casting inspiré, avec en tête Donald Sutherland qui apporte sa faconde dans le rôle du magnat.
Télé 7 Jours
Intrigante, cette série qui plonge dans l'univers des très, très, très riches, prend tout son temps pour se déployer, servie par des interprètes impeccables (Donald Sutherland, impérial) dans des rôles pas très sympathiques. À découvrir ou à regarder comme un drôle d'objet télévisuel pas vraiment identifié, avant de s'y plonger vraiment.
Le Monde
Malheureusement, ni l’aspect farcesque de cette famille ni le jeu de Sutherland ne sauraient sauver Trust, dont on a eu du mal à supporter la réalisation – qui surligne une stylisation propre aux années 1970 – tout autant que la construction, qui engendre l’ennui. A l’opposé du volet d’American Crime Story consacré à O. J. Simpson, passionnant bien que fondé sur des faits fort bien connus, Trust ne dessine aucune perspective sociale. Et l’oscillation entre l’outrance du soap et le souci du détail réaliste tue toute possibilité d’émotion.