Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
San Francisco Chronicle
par David Wiegand
La série offre un parfait équilibre entre comédie et émotion, et les prestations des acteurs sont d'une haute qualité, à tous les niveaux. Quant à Micah Fowler, il est juste impressionnant. Il ne prononce pas une seule parole, mais les expressions de son visage en disent bien plus que de simples mots le pourraient (…). Speechless est une série exceptionnelle (…). Un show dont vous parlerez et que vous regarderez chaque semaine.
La critique complète est disponible sur le site San Francisco Chronicle
Boston Globe
par Matthew Gilbert
[Minnie] Driver porte la série, dans le rôle d'une "super-mère poule", qui refuse que le bien-être de son fils soit déterminé par leur niveau de vie. Elle s'impose comme une vraie force de la nature, mais aussi une force comique, comme elle l'a déjà prouvé dans Will & Grace et About a Boy.
La critique complète est disponible sur le site Boston Globe
USA Today
par Robert Bianco
Speechless s'impose sans peine comme la meilleure nouvelle sitcom de network. (…) Micah Fowler, un acteur réellement atteint d'infirmité motrice cérébrale offre une prestation attendrissante, impressionnante, et par moments poignante. Face à lui, la pile électrique Minnie Driver profite pleinement de ce qui est son meilleur rôle sur le petit écran à ce jour. (…) Elle brille, elle nous emporte, et nous effraye un peu, quand sa partition l'impose.
La critique complète est disponible sur le site USA Today
Hitfix
par Alan Sepinwall
Sur la base de son pilote, Speechless a l'air d'être une nouvelle série gagnante pour ABC (...). Tout n'est pas parfait dès le départ (...) mais la famille est attachante, l'écriture parvient à rendre drôle le quotidien de parents d'un enfant handicapé sans jamais se moquer de J.J. et de son infirmité, et cet univers devrait offrir beaucoup de matière à Silveri et à son équipe de scénaristes pour faire de la série un succès.
La critique complète est disponible sur le site Hitfix
New York Times
par James Poniewozik
Le fait que J.J. soit atteint d'infirmité motrice cérébrale, qui l'empêche de parler, et restreint ses gestes parfois obscènes, est ce qui différencie Speechless du reste. Mais ce qui la rend bonne, plutôt que simplement méritante, c'est que J.J. est un garçon imparfait au sein d'une famille imparfaite dans une sitcom plutôt marrante (…) Mais surtout, à la fin de son premier épisode, Speechless pose un indicateur important du potentiel d'une nouvelle sitcom : elle prouve qu'elle est capable de faire entendre sa "voix".
La critique complète est disponible sur le site New York Times
The Hollywood Reporter
par Tim Goodman
Le premier épisode, prometteur, trouve le juste équilibre entrer humour et émotion, et c'est une raison suffisante pour donner une chance à la série.
La critique complète est disponible sur le site The Hollywood Reporter
Variety
par Maureen Ryan
Speechless est une comédie ironique et habile. (…) Si elle parvient à conserver la qualité de son excellent premier épisode, la série pourrait bien devenir la meilleure nouvelle comédie de network de l'année.
La critique complète est disponible sur le site Variety
Washington Post
par Hank Stuever
Driver apporte l'énergie attendue et pose le ton général de la série dans la peau d'une mère de famille qui refuse qu'on lui dise "non" lorsqu'il s'agit des droits de son fils J.J. Quant à John Ross Bowie, qui campe son mari, Jimmy, il offre un contrepoids bienvenu dans le rôle de ce père décontracté.
La critique complète est disponible sur le site Washington Post
Collider
par Allison Keene
Speechless est pleine de promesses, et Driver, dans le même registre fou, autoritaire, et néanmoins charmant que dans la comédie de NBC About a Boy, est la force directrice de la série. Mais c'est Yarbrough, sans faire de bruit, qui est le plus gros atout du show.
La critique complète est disponible sur le site Collider
Pittsburg Post-Gazette
par Rob Owen
Speechless n'est pas dénuée de moments drôles. Mais ils sont entrecoupés par Tellement. De. Brouhaha. (...) Si la production parvient à tempérer les accès de colère de Maya, la série aura alors plus de chances d'attirer les téléspectateurs.
La critique complète est disponible sur le site Pittsburg Post-Gazette
San Francisco Chronicle
La série offre un parfait équilibre entre comédie et émotion, et les prestations des acteurs sont d'une haute qualité, à tous les niveaux. Quant à Micah Fowler, il est juste impressionnant. Il ne prononce pas une seule parole, mais les expressions de son visage en disent bien plus que de simples mots le pourraient (…). Speechless est une série exceptionnelle (…). Un show dont vous parlerez et que vous regarderez chaque semaine.
Boston Globe
[Minnie] Driver porte la série, dans le rôle d'une "super-mère poule", qui refuse que le bien-être de son fils soit déterminé par leur niveau de vie. Elle s'impose comme une vraie force de la nature, mais aussi une force comique, comme elle l'a déjà prouvé dans Will & Grace et About a Boy.
USA Today
Speechless s'impose sans peine comme la meilleure nouvelle sitcom de network. (…) Micah Fowler, un acteur réellement atteint d'infirmité motrice cérébrale offre une prestation attendrissante, impressionnante, et par moments poignante. Face à lui, la pile électrique Minnie Driver profite pleinement de ce qui est son meilleur rôle sur le petit écran à ce jour. (…) Elle brille, elle nous emporte, et nous effraye un peu, quand sa partition l'impose.
Hitfix
Sur la base de son pilote, Speechless a l'air d'être une nouvelle série gagnante pour ABC (...). Tout n'est pas parfait dès le départ (...) mais la famille est attachante, l'écriture parvient à rendre drôle le quotidien de parents d'un enfant handicapé sans jamais se moquer de J.J. et de son infirmité, et cet univers devrait offrir beaucoup de matière à Silveri et à son équipe de scénaristes pour faire de la série un succès.
New York Times
Le fait que J.J. soit atteint d'infirmité motrice cérébrale, qui l'empêche de parler, et restreint ses gestes parfois obscènes, est ce qui différencie Speechless du reste. Mais ce qui la rend bonne, plutôt que simplement méritante, c'est que J.J. est un garçon imparfait au sein d'une famille imparfaite dans une sitcom plutôt marrante (…) Mais surtout, à la fin de son premier épisode, Speechless pose un indicateur important du potentiel d'une nouvelle sitcom : elle prouve qu'elle est capable de faire entendre sa "voix".
The Hollywood Reporter
Le premier épisode, prometteur, trouve le juste équilibre entrer humour et émotion, et c'est une raison suffisante pour donner une chance à la série.
Variety
Speechless est une comédie ironique et habile. (…) Si elle parvient à conserver la qualité de son excellent premier épisode, la série pourrait bien devenir la meilleure nouvelle comédie de network de l'année.
Washington Post
Driver apporte l'énergie attendue et pose le ton général de la série dans la peau d'une mère de famille qui refuse qu'on lui dise "non" lorsqu'il s'agit des droits de son fils J.J. Quant à John Ross Bowie, qui campe son mari, Jimmy, il offre un contrepoids bienvenu dans le rôle de ce père décontracté.
Collider
Speechless est pleine de promesses, et Driver, dans le même registre fou, autoritaire, et néanmoins charmant que dans la comédie de NBC About a Boy, est la force directrice de la série. Mais c'est Yarbrough, sans faire de bruit, qui est le plus gros atout du show.
Pittsburg Post-Gazette
Speechless n'est pas dénuée de moments drôles. Mais ils sont entrecoupés par Tellement. De. Brouhaha. (...) Si la production parvient à tempérer les accès de colère de Maya, la série aura alors plus de chances d'attirer les téléspectateurs.