Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Entertainment weekly
par Jeff Jensen
Ce premier épisode finement écrit et construit avec concision nous attrape avec ses nombreux rebondissements, et Anderson et Sasse sont extrêmement attrayants.
Pittsburg Post-Gazette
par Rob Owen
No Tomorrow est originale, décalée, et amusante. Et non pas juste une autre resucée d'histoire de super-héros ou une énième adaptation de film.
La critique complète est disponible sur le site Pittsburg Post-Gazette
The A.V. Club
par Esther Zuckerman
Dès le départ, No Tomorrow n'est pas aussi forte que Jane the Virgin ou Crazy Ex-Girlfriend, mais son casting gagnant, et la touche de noirceur qui découle de son pitch, laissent penser qu'elle pourrait bien prouver au fil du temps ce dont elle est capable face à ses deux formidables camarades de grille.
La critique complète est disponible sur le site The A.V. Club
New York Times
par Mike Hale
No Tomorrow donne l'impression d'être plus ordinaire que Crazy Ex-Girlfriend et Jane the Virgin, mais elle reste plus attachante que la plupart des autres nouvelles comédies de networks. Et la série est grandement aidée par les prestations d'Amy Pietz dans le rôle de la patronne imbuvable, de Jonathan Langdon dans le rôle du mari de travail d'Evie, et surtout de Jesse Rath dans la peau de son petit ami en souffrance, un journaliste à la voix si douce que l'on a parfois besoin de sous-titres.
La critique complète est disponible sur le site New York Times
Philadelphia Inquirer
par Ellen Gray
Le premier épisode n'est pas aussi intelligent que ceux de Jane the Virgin ou Crazy Ex-Girlfriend, mais la série reste charmante et amusante.
La critique complète est disponible sur le site Philadelphia Inquirer
USA Today
par Robert Bianco
Le premier épisode de cette charmante série de la CW, qui n'est autre que la dernière adaptation en date d'un succès étranger, parvient facilement à surmonter l'obstacle qui fiche en l'air certaines comédies romantiques : la capacité du téléspectateur à accepter que les deux protagonistes soient faits l'un pour l'autre.
La critique complète est disponible sur le site USA Today
Variety
par Maureen Ryan
On ne voit pas le temps filer et on passe un bon moment devant le premier épisode de la série, mais si chaque épisode consiste en Evie qui apprend à vivre sa vie pleinement et en Xavier qui devient un peu trop extrême dans ses tentatives pour la pousser à saisir l'instant présent, No Tomorrow pourrait rapidement dériver vers le royaume des séries formulatiques. Mais le pilote contient tout de même des instants de grâce prometteurs pour la suite.
La critique complète est disponible sur le site Variety
Uncle Barky
par Ed Bark
Anderson est plutôt bonne dans le rôle principal, et Sasse fait tout aussi bien de son côté. Mais No Tomorrow ne parvient vraiment pas à s'élever au-dessus de Crazy Ex-Girlfriend ou de Jane the Virgin.
La critique complète est disponible sur le site Uncle Barky
Newsday
par Diane Werts
Si seulement j'avais à nouveau 12 ans. La pré-ado en moi aurait adoré la bouffonnerie et le côté délabré et mignon de la série.
La critique complète est disponible sur le site Newsday
The Salt Lake Tribune
par Scott D. Pierce
Même si on sent trop qu'elle tente désespérément d'arriver à être décalée, No Tomorrow pourrait finir par fonctionner. Cela dépendra de la faculté de Xavier/Sasse et Evie/Anderson à développer de l'alchimie l'un avec l'autre. Ce n'est pas vraiment le cas dans le pilote, mais cela peut venir avec le temps.
La critique complète est disponible sur le site The Salt Lake Tribune
Washington Post
par Hank Stuever
Une dramédie romantique atrocement mièvre (…). Au risque de passer pour le plus grand des vieux schnock, le premier épisode de No Tomorrow ressemble bien trop à du bla-bla pour la génération Y.
La critique complète est disponible sur le site Washington Post
Entertainment weekly
Ce premier épisode finement écrit et construit avec concision nous attrape avec ses nombreux rebondissements, et Anderson et Sasse sont extrêmement attrayants.
Pittsburg Post-Gazette
No Tomorrow est originale, décalée, et amusante. Et non pas juste une autre resucée d'histoire de super-héros ou une énième adaptation de film.
The A.V. Club
Dès le départ, No Tomorrow n'est pas aussi forte que Jane the Virgin ou Crazy Ex-Girlfriend, mais son casting gagnant, et la touche de noirceur qui découle de son pitch, laissent penser qu'elle pourrait bien prouver au fil du temps ce dont elle est capable face à ses deux formidables camarades de grille.
New York Times
No Tomorrow donne l'impression d'être plus ordinaire que Crazy Ex-Girlfriend et Jane the Virgin, mais elle reste plus attachante que la plupart des autres nouvelles comédies de networks. Et la série est grandement aidée par les prestations d'Amy Pietz dans le rôle de la patronne imbuvable, de Jonathan Langdon dans le rôle du mari de travail d'Evie, et surtout de Jesse Rath dans la peau de son petit ami en souffrance, un journaliste à la voix si douce que l'on a parfois besoin de sous-titres.
Philadelphia Inquirer
Le premier épisode n'est pas aussi intelligent que ceux de Jane the Virgin ou Crazy Ex-Girlfriend, mais la série reste charmante et amusante.
USA Today
Le premier épisode de cette charmante série de la CW, qui n'est autre que la dernière adaptation en date d'un succès étranger, parvient facilement à surmonter l'obstacle qui fiche en l'air certaines comédies romantiques : la capacité du téléspectateur à accepter que les deux protagonistes soient faits l'un pour l'autre.
Variety
On ne voit pas le temps filer et on passe un bon moment devant le premier épisode de la série, mais si chaque épisode consiste en Evie qui apprend à vivre sa vie pleinement et en Xavier qui devient un peu trop extrême dans ses tentatives pour la pousser à saisir l'instant présent, No Tomorrow pourrait rapidement dériver vers le royaume des séries formulatiques. Mais le pilote contient tout de même des instants de grâce prometteurs pour la suite.
Uncle Barky
Anderson est plutôt bonne dans le rôle principal, et Sasse fait tout aussi bien de son côté. Mais No Tomorrow ne parvient vraiment pas à s'élever au-dessus de Crazy Ex-Girlfriend ou de Jane the Virgin.
Newsday
Si seulement j'avais à nouveau 12 ans. La pré-ado en moi aurait adoré la bouffonnerie et le côté délabré et mignon de la série.
The Salt Lake Tribune
Même si on sent trop qu'elle tente désespérément d'arriver à être décalée, No Tomorrow pourrait finir par fonctionner. Cela dépendra de la faculté de Xavier/Sasse et Evie/Anderson à développer de l'alchimie l'un avec l'autre. Ce n'est pas vraiment le cas dans le pilote, mais cela peut venir avec le temps.
Washington Post
Une dramédie romantique atrocement mièvre (…). Au risque de passer pour le plus grand des vieux schnock, le premier épisode de No Tomorrow ressemble bien trop à du bla-bla pour la génération Y.