Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Washington Post
par Hank Stuever
Dead of Summer débute comme un hommage aux films d'horreur des années 80, avec une pincée de "Beverly Hills" par-ci, et un peu de "Heathers" par-là. Et cela pourrait vraiment être très divertissant. Mais un tel ton est compliqué à faire perdurer de manière réussie, et assez rapidement le pilote commence à ressembler à l'un de ces livres de la section "jeunes adultes" d'une bibliothèque que personne ne consulte jamais.
La critique complète est disponible sur le site Washington Post
Colorado Springs Gazette
par Terry Terrones
Bien que cette nouvelle série fasse des choix discutables avec ses personnages et son contexte (l'action avait-elle vraiment besoin de se dérouler en 1989 ?), le premier épisode de Dead of Summer est plutôt fidèle à ce que l'on peut attendre d'une série estivale, à savoir une distraction divertissante.
La critique complète est disponible sur le site Colorado Springs Gazette
St. Louis Post-Dispatch
par Gail Pennington
Adam Horowitz, Edward Kitsis, et Ian B. Goldberg ("Once Upon a Time") ont créé Dead of Summer, et ils semblent s'être beaucoup plus concentrés sur l'atmosphère lugubre et sur les moyens de créer les sursauts, plutôt que sur les personnages. Tout du moins ceux qui sont en vie.
La critique complète est disponible sur le site St. Louis Post-Dispatch
The A.V. Club
par Alex McCown
Dead of Summer est complètement fouillis, mais c'est un fouillis qui offre tout de même un certain degré de divertissement maladroit de par l'absurdité globale qui en ressort.
La critique complète est disponible sur le site The A.V. Club
Variety
par Sonia Saraiya
Nous ne sommes pas face à une série particulièrement originale. Tous les twist sont clichés, et chacun des personnages n'est rien d'autre qu'un archétype. Mais avec tant de lieux communs qui s'accumulent, Dead of Summer se révèle être une heure de télévision de mauvais goût qui a au moins le mérite de ne jamais tomber dans l'ennui.
La critique complète est disponible sur le site Variety
New York Times
par Mike Hale
La série semble avoir du mal à décider ce qu'elle veut être. Elle s'aventure sur le terrain attendu de l'horreur du type "des ados sexys isolés dans une forêt inquiétante", mais y ajoute des élements à la "Scream", et ses personnages conscients de leur environnement, ainsi qu'une dose de nostalgie à la "Wet Hot American Summer". (...) Ce mélange des genres est peut-être intentionnel, mais le résultat peine à amuser ou à effrayer.
La critique complète est disponible sur le site New York Times
The Hollywood Reporter
par Daniel Fienberg
Dead of Summer (...) n'est pas vraiment divertissante, intelligente, ou inventive. Et elle n'est pas non plus assez effrayante, mystérieuse, ou dérangeante. (...) C'est juste une série banale et involontairement mauvaise. Un mélange approximatif de genres, de procédés narratifs, et de personnages stéréotypés qui semble vouloir être original mais échoue platement.
La critique complète est disponible sur le site The Hollywood Reporter
Los Angeles Times
par Mary McNamara
Le résultat est une histoire décousue, absurde, et modérément effrayante qui, au bout de 3 épisodes, s'agite encore plus désespérément dans tous les sens qu'un adolescent tombé d'un canoë dans un lac rempli de cadavres.
La critique complète est disponible sur le site Los Angeles Times
TV Guide
par Matt Roush
Les effets de surprise à base de surnaturel sont moins effrayants que le piètre jeu des acteurs.
Washington Post
Dead of Summer débute comme un hommage aux films d'horreur des années 80, avec une pincée de "Beverly Hills" par-ci, et un peu de "Heathers" par-là. Et cela pourrait vraiment être très divertissant. Mais un tel ton est compliqué à faire perdurer de manière réussie, et assez rapidement le pilote commence à ressembler à l'un de ces livres de la section "jeunes adultes" d'une bibliothèque que personne ne consulte jamais.
Colorado Springs Gazette
Bien que cette nouvelle série fasse des choix discutables avec ses personnages et son contexte (l'action avait-elle vraiment besoin de se dérouler en 1989 ?), le premier épisode de Dead of Summer est plutôt fidèle à ce que l'on peut attendre d'une série estivale, à savoir une distraction divertissante.
St. Louis Post-Dispatch
Adam Horowitz, Edward Kitsis, et Ian B. Goldberg ("Once Upon a Time") ont créé Dead of Summer, et ils semblent s'être beaucoup plus concentrés sur l'atmosphère lugubre et sur les moyens de créer les sursauts, plutôt que sur les personnages. Tout du moins ceux qui sont en vie.
The A.V. Club
Dead of Summer est complètement fouillis, mais c'est un fouillis qui offre tout de même un certain degré de divertissement maladroit de par l'absurdité globale qui en ressort.
Variety
Nous ne sommes pas face à une série particulièrement originale. Tous les twist sont clichés, et chacun des personnages n'est rien d'autre qu'un archétype. Mais avec tant de lieux communs qui s'accumulent, Dead of Summer se révèle être une heure de télévision de mauvais goût qui a au moins le mérite de ne jamais tomber dans l'ennui.
New York Times
La série semble avoir du mal à décider ce qu'elle veut être. Elle s'aventure sur le terrain attendu de l'horreur du type "des ados sexys isolés dans une forêt inquiétante", mais y ajoute des élements à la "Scream", et ses personnages conscients de leur environnement, ainsi qu'une dose de nostalgie à la "Wet Hot American Summer". (...) Ce mélange des genres est peut-être intentionnel, mais le résultat peine à amuser ou à effrayer.
The Hollywood Reporter
Dead of Summer (...) n'est pas vraiment divertissante, intelligente, ou inventive. Et elle n'est pas non plus assez effrayante, mystérieuse, ou dérangeante. (...) C'est juste une série banale et involontairement mauvaise. Un mélange approximatif de genres, de procédés narratifs, et de personnages stéréotypés qui semble vouloir être original mais échoue platement.
Los Angeles Times
Le résultat est une histoire décousue, absurde, et modérément effrayante qui, au bout de 3 épisodes, s'agite encore plus désespérément dans tous les sens qu'un adolescent tombé d'un canoë dans un lac rempli de cadavres.
TV Guide
Les effets de surprise à base de surnaturel sont moins effrayants que le piètre jeu des acteurs.