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Votre avis sur Star Trek: Discovery ?
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Ce nouveau reboot de la franchise (un tous les 6 à 8 ans à vu de nez) semblait plus intéressant que la moyenne : un casting novateur autour de l'excellente Sonequa Martin-Green, un pitch de base qui prends à contre-sens les chemins battus des précédentes séries et une volonté forte de renouveler l'intérêt de la saga.
Alors, après 15 épisodes, eh bien... c'est moyen, peut mieux faire.
Le scénario, le choix d'acteurs arrivent à faire illusion un temps, on se rend compte que les difficultés sont toujours résolues à la vitesse éclair, ce qui rapproche plus la série d'un Rintintin (1954) que d'une ouvre adulte et mature qui se peux permettre d'ouvrir de vrai débat, de poser des questions philosophiques ou de sociétés, ou simplement de prendre son temps pour développer une véritable psychologie à chaque personnage.
À chaque fois que la série commence à intéresser, il faut tout de suite changer de sujet, mettre quelques images de synthèses (très réussies au demeurant) ou lancer une alerte passerelle.
On retrouve avec un certain plaisir le piquant Jason Isaacs, un des acteurs les plus sous-utilisés de sa génération, la charmante rousse de Longmire Mary Wiseman et quelques autres acteurs plus ou moins sympathiques (je n'ai aucune affinité pour Michelle Yeoh).
On a même le sympathique Rainn Wilson qui vient foutre le boxon sur deux épisodes.
Le rythme des épisodes est mou, on sent bien que les arcs narratifs ont un schéma-type qui se décalque d'un épisode à l'autre.
Comme pour toutes les séries Star Trek, on sent toujours ce vide aussi bien en terme de concept, de décors, de costumes, qui donne le sentiment que l'univers n'existait pas avant le premier épisode et ne se poursuit pas après le final.
Et le fait que la saga n'essaye jamais d'être quelque chose de plus qu'un sous-Star Wars.
Alors, après 15 épisodes, eh bien... c'est moyen, peut mieux faire.
Le scénario, le choix d'acteurs arrivent à faire illusion un temps, on se rend compte que les difficultés sont toujours résolues à la vitesse éclair, ce qui rapproche plus la série d'un Rintintin (1954) que d'une ouvre adulte et mature qui se peux permettre d'ouvrir de vrai débat, de poser des questions philosophiques ou de sociétés, ou simplement de prendre son temps pour développer une véritable psychologie à chaque personnage.
À chaque fois que la série commence à intéresser, il faut tout de suite changer de sujet, mettre quelques images de synthèses (très réussies au demeurant) ou lancer une alerte passerelle.
On retrouve avec un certain plaisir le piquant Jason Isaacs, un des acteurs les plus sous-utilisés de sa génération, la charmante rousse de Longmire Mary Wiseman et quelques autres acteurs plus ou moins sympathiques (je n'ai aucune affinité pour Michelle Yeoh).
On a même le sympathique Rainn Wilson qui vient foutre le boxon sur deux épisodes.
Le rythme des épisodes est mou, on sent bien que les arcs narratifs ont un schéma-type qui se décalque d'un épisode à l'autre.
Comme pour toutes les séries Star Trek, on sent toujours ce vide aussi bien en terme de concept, de décors, de costumes, qui donne le sentiment que l'univers n'existait pas avant le premier épisode et ne se poursuit pas après le final.
Et le fait que la saga n'essaye jamais d'être quelque chose de plus qu'un sous-Star Wars.
Reboot réussi,les grands principes "trekkiens" sont respectés (humanisme principalement), et nul besoin d'être un fan historique de la série pour tout comprendre.
Star Trek version "Michael Bay", soit une imposture !
Passé les effets spéciaux (mais bon, aujourd'hui, même un navet a de bon FX, la preuve) , c'est consternant. Après 8 épisodes, il n'y a pas de doute quant à la direction prise : ce n'est pas du Star Trek, mais une recette à la mode, comme les DJ qui en 5 minutes remixent les morceaux connus. La recette c'est donc une "superhéroisation" de l'univers, avec Burnam à la place de Spiderman, et les Klingons de carnaval pour les affreux patibulaires. Burnam fait tout toute seule, comprend mieux que tout le monde, et s'insurge contre une hiérarchie dogmatique, Starfleet, réduite à une sorte de FBI parano (en bref tout le contraire de Star Trek).
Le capitaine Gabriel "Costa Concordia" Lorca est d'emblée présenté comme un lâche truand, il abandonne son équipage pour le laisser se faire exploser (que dire...)
Les épisodes sont bricolés à la va-comme-je-te-pousse, avec un coup un remix de guerre, un coup un remix de boucle temporelle, un coup un remix de "Dune" (oh le tardigrade/vers -épice qui permet de voyager dans l'espace !), et la fin présume d'un épisode miroir. mais que de surprises ! et en 8 épisodes, on a vu aucune espèce E.T, aucune planète, aucune architecture, aucune culture, rien. Circulez, la génération "transformers" est en marche, y a rien à voir !
Passé les effets spéciaux (mais bon, aujourd'hui, même un navet a de bon FX, la preuve) , c'est consternant. Après 8 épisodes, il n'y a pas de doute quant à la direction prise : ce n'est pas du Star Trek, mais une recette à la mode, comme les DJ qui en 5 minutes remixent les morceaux connus. La recette c'est donc une "superhéroisation" de l'univers, avec Burnam à la place de Spiderman, et les Klingons de carnaval pour les affreux patibulaires. Burnam fait tout toute seule, comprend mieux que tout le monde, et s'insurge contre une hiérarchie dogmatique, Starfleet, réduite à une sorte de FBI parano (en bref tout le contraire de Star Trek).
Le capitaine Gabriel "Costa Concordia" Lorca est d'emblée présenté comme un lâche truand, il abandonne son équipage pour le laisser se faire exploser (que dire...)
Les épisodes sont bricolés à la va-comme-je-te-pousse, avec un coup un remix de guerre, un coup un remix de boucle temporelle, un coup un remix de "Dune" (oh le tardigrade/vers -épice qui permet de voyager dans l'espace !), et la fin présume d'un épisode miroir. mais que de surprises ! et en 8 épisodes, on a vu aucune espèce E.T, aucune planète, aucune architecture, aucune culture, rien. Circulez, la génération "transformers" est en marche, y a rien à voir !
Autant j'ai adoré la saison 1, autant la 2 me laisse sur ma faim. De bonnes idées qui passent a la trappe pour la S2...
Cette saison ne devrait pas s'appeler Discovery mais Mickel Burnam tant tout est centré sur elle. Elle sait tout, fait tout, va dans toutes les missions, sait mieux que les autres, Burnan Power !!!! Elle est le centre de l'univers, les autres font de la figuration... D'ailleurs, preuve, parmis tous les personnages de la passerelle, certains ( la majorité meme) on connait meme pas leurs noms ni meme un debut d'histoire ( spoiler: la femme robot, on decouvre, un chouia son histoire) quand elle meurt, elle quasiment servi a rie
n) . On se contente de sujet dans l'ere du temps ( amourette entre gay ( ingenieur/docteur) et entre interespece ( burnam/klingon). ), mais rien d'autres...
Quand a l'essence meme de startrek, la decouverte ( le vaisseau s'appelle Discovery quand meme), rien dans la saison 2 ne racontre de nouveaux mondes, de nouveaux peuples... C'est le vide absolu !!!
Alors on meuble en mettant un jeune Spock pour combler les faiblesses du scenario.D'ailleurs, il n'est pas raccord avec le Spock originale ( aucune ressemblance, meme dans sa facon de parler, meme pas un mouvement de paupieres !!!) A contrario de Sarek .
Bref une saison 2 bien decevante, tout est combat, bataille, Burnan Power, sans en etre vraiment.. ( pas de batailles durant toute la saison) .
On va commencer la saison 3, qui a interet a remonter la pente...
ps: encore une serie qui surfe sur le startrek originale, une enieme prequel quoi ( pares les 3 films d'Abrams, Startrek entreprise, Discovery, il serait peut etre temps de faire une serie APRES.. ( Picard a commencer, mais on attend toujours une eventuelle saison 2...) et surtout une serie d" exploration des nouveaux monde" comme le fut "Voyager"...
Cette saison ne devrait pas s'appeler Discovery mais Mickel Burnam tant tout est centré sur elle. Elle sait tout, fait tout, va dans toutes les missions, sait mieux que les autres, Burnan Power !!!! Elle est le centre de l'univers, les autres font de la figuration... D'ailleurs, preuve, parmis tous les personnages de la passerelle, certains ( la majorité meme) on connait meme pas leurs noms ni meme un debut d'histoire ( spoiler: la femme robot, on decouvre, un chouia son histoire) quand elle meurt, elle quasiment servi a rie
n) . On se contente de sujet dans l'ere du temps ( amourette entre gay ( ingenieur/docteur) et entre interespece ( burnam/klingon). ), mais rien d'autres...
Quand a l'essence meme de startrek, la decouverte ( le vaisseau s'appelle Discovery quand meme), rien dans la saison 2 ne racontre de nouveaux mondes, de nouveaux peuples... C'est le vide absolu !!!
Alors on meuble en mettant un jeune Spock pour combler les faiblesses du scenario.D'ailleurs, il n'est pas raccord avec le Spock originale ( aucune ressemblance, meme dans sa facon de parler, meme pas un mouvement de paupieres !!!) A contrario de Sarek .
Bref une saison 2 bien decevante, tout est combat, bataille, Burnan Power, sans en etre vraiment.. ( pas de batailles durant toute la saison) .
On va commencer la saison 3, qui a interet a remonter la pente...
ps: encore une serie qui surfe sur le startrek originale, une enieme prequel quoi ( pares les 3 films d'Abrams, Startrek entreprise, Discovery, il serait peut etre temps de faire une serie APRES.. ( Picard a commencer, mais on attend toujours une eventuelle saison 2...) et surtout une serie d" exploration des nouveaux monde" comme le fut "Voyager"...
2 épisodes vus et une première impression qui pourrait être révisée ... très décevant ; autant sur les 3 premières saisons il y avait un rythme saisissant, autant le démarrage de cette 4e saison est lent brouillon et semble mettre du temps à trouver son tempo, ou est le problème ? Pour l instant difficile à dire, juste une impression de dissonance, reste plus qu à espérer que c est juste une question de mise en place comme souvent d une nouvelle intrigue fréquemment lente à se poser sur des séries. Les effets spéciaux sauvent encore un peu à ce stade cette production.
Épisode 3 : épisode qui se laisse regarder de manière indépendante - comme dans les séries "vintage" de star treck - bonne idée d explorer cette piste et l univers de cette manière. Malheureusement ce n est pas très onirique ni très spectaculaire, on reste sur un scénario très convenu de sauvegarde de l espèce menacée. Rien d extraordinaire donc, pas de progression non plus sur la trame de fond ... un saut ... sur place dans cet espace... la note stagne 2,5/5
Épisode 3 : épisode qui se laisse regarder de manière indépendante - comme dans les séries "vintage" de star treck - bonne idée d explorer cette piste et l univers de cette manière. Malheureusement ce n est pas très onirique ni très spectaculaire, on reste sur un scénario très convenu de sauvegarde de l espèce menacée. Rien d extraordinaire donc, pas de progression non plus sur la trame de fond ... un saut ... sur place dans cet espace... la note stagne 2,5/5
Une série qui tranche complètement avec les films et séries de la même famille mais j'adore. C'est au goût du temps : inovant et palpitant
J'ai écouté le premier Star Trek Discovery hier. Les images et le côté artistique de la séries sont vraiment fabuleux. Les maquillages des extra-terrestres m'ont laissées un peu froide cependant: Nous sommes habitués à bien mieux. Il y a plusieurs répliques de personnage qui sont intéressantes et font réfléchir. L'intrigue n'est cependant pas captivante, juste correcte. Très bon choix d'avoir placé le capitaine et le second pour des rôles féminins, le tout augmente la réflexion de laisser la totalité du pouvoir sur un vaisseau à la gente féminine.... où pourtant, on le sens bien, d'autres personnages ont une voix qui est également écoutée et le capitaine semble prendre des décisions "gagnant-gagnant". Ce qui est en général le cas des bons dirigeants. La gente féminine semble être traité comme le nouveau courant des traitement féminins avec "Game of Throne" ou "Wonder Women", plus réelle, sans exagération, avec chacune sa personnalité non caricaturale ou masculinisée et dont on suppose qui laisse tout de même toute la place à la gente masculine d'avoir une place importante. L'émission semble mettre l'emphase justement sur cette complexité de relation, ce qui rend la série intéressante et me donne envie de voir le prochain épisode. Donc, pour le côté artistiques fabuleux, la psychologie relationnelle des personnages qui est bien amenée, un 4 étoiles sur 5.
Il faut malheureusement comme dans les films, accepter les maquillages et/ou les masques ridicules des extraterrestres. La série vaut surtout pour ses personnages et la qualité de ses acteurs, avec en tête Sonequa Martin Green, ex de The Walking Dead. Et saluer la mise en avant des amours de tous genres,
spoiler:
ceux que détestent les anti Mariage pour tous spoiler:
ceux que détestent les anti Mariage pour tous spoiler:
Excellente série qui reprend les fondamentaux de la saga mais avec un angle différend, comme Deep Space 9 d'une certaine façon. Ici on ne suit pas les aventures d'un noble capitaine de vaisseau digne représentant de StarFleet et de la Fédération, mais d'une rebelle voire d'une brebis galeuse qui regagne ses galons à la force du poignet. Les effets spéciaux sont au top et l'histoire fourmille de bonnes surprises: mais c'est une histoire "à suivre" et non des épisodes séparés: ça change un peu et ça permet d'avoir un scénario plus complexe mais ça oblige à tout suivre! J'aime beaucoup!
je suis fan de cette série où tous les lundi j'attends le nouvel épisode très bien construite captivante
Une très bonne surprise ! Une réalisation soignée, deux premier épisode qui envoie du lourd ! L'aspect plus moderne de la série fait du bien, une intrigue banal mais captivante qui laisse entrevoir une première saison riche en émotion !
Une série exceptionnelle, des effets spéciaux superbes, une très bonne histoire, Gene Roddenberry peut être fier de sa succession !
Personnellement j'adore cette série.
Je suis fan de l'univers, séries et films, et ce volet offre des tonnes de possibilités aux scénaristes.
Les aventures du "commander" Burnham, son évolution dans la série, les valeurs qui sont dispensées, me régalent à chaque épisode.
Vivement la suite !
Je suis fan de l'univers, séries et films, et ce volet offre des tonnes de possibilités aux scénaristes.
Les aventures du "commander" Burnham, son évolution dans la série, les valeurs qui sont dispensées, me régalent à chaque épisode.
Vivement la suite !
L'Info Tout Court
Avec des baisses de rythme ou d’intérêt à de nombreuses reprises, Star Trek Discovery réussit néanmoins à sortir son épingle du jeu dans un double épisode final d’anthologie. L’aventure spatiale transforme l’essai in extremis, malgré un casting et une qualité visuelle incroyables ou quelques erreurs de parcours...
Cette série est cohérente, sa trame est bien construite et elle est facilement appréciable si on pas vu les autres séries de la franchise star trek. Pour ma part, elle n'a en réalité aucun lien avec l'esprit star trek. Sans compter cette Michael Burnham tellement émotive. A se demander si elle est réellement passée par la star fleet academy. Par ailleurs, star trek c'est avant tout les péripéties d'un équipage et non les élucubrations d'une seule personne égoïste, tenant le reste du vaisseau sous la botte de ses quêtes. Plus on avance dans les saisons, cela ne s'arrange pas. Les directives n'existent-elles donc plus ? Heureusement que Saru est bien présent pour assurer le service minimum et le boulot ! Et également Georgiou qui fait des siennes. Même si les protagonistes sont essentiellement des scientifiques et non des militaires, c'est vraiment inquiétant.
Au moins, les Kirk, Sisko, Janeway, Picard assuraient le service même si certains d'entre eux ont eu à transgresser, de temps en temps, et de manière subtile, les directives.
Au moins, les Kirk, Sisko, Janeway, Picard assuraient le service même si certains d'entre eux ont eu à transgresser, de temps en temps, et de manière subtile, les directives.