Avis 13 Reasons Why - Page 17

13 Reasons Why ne sera peut être pas mentionnée dans les plus grandes séries de tous les temps, mais elle le sera dans les séries les plus importantes, il faut voir cette série, si vous êtes en train d'en regarder une, mettez sur pause, et regardez ces 13 épisodes, car cette série est terriblement réaliste, s'en est flippant, et 13 Reasons Why apprend à comprendre plus, à aider plus, et à Faire plus attention, je suis encore mineur et j'ai eu ma petite expérience sur le harcèlement, et La on nous met dans le quotidien d'un jeune adolescent, qui reçoit des cassettes de son amie Hannah, et qui s'est suicidée récemment, et ces cassettes expliques pourquoi elle est passée à l'acte, et les épisodes sont composés de flashback et de moment présents, elle est horrible cette série, il y a des moments joyeux, ce n'est pas l'apocalypse, mais c'est noir, le dernier épisode est décourageant, et la scène du Suicide de Hannah est très très difficile à regarder, je ne rigole pas, c'est déchirant, les acteurs sont excellents, ceux qui doivent dégager de la sympathie dégagent de la sympathie et ceux qui doivent dégager de la haine dégagent de la haine, Dylan Minette est en pleine expansion dans son talent d'acteur, car je l'avais trouvé mono-expressif dans Chair de Poule, et dans Don't Breathe il était excellent, et la on sent toute sa tristesse et sa colère, Katherine Langford c'est la révélation de la série et j'espère beaucoup la voir dans d'autres rôles, elle dégagent une sympathie et un amour instantané et on a envie qu'elle s'en sorte, on sent sa détresse émotionnelle et son désespoir c'est horrible, l'histoire est très bien écrite, et regardez La si vous n'avez rien à voir, regardez cette serie, c'est très important. 18,5/20

La saison 3 est sans intérêt. Le montage épileptique donne la nausée, les flash back et les séquences du présent sont assemblés n'importe comment, c'est désagréable à visionner. La série perd de son intérêt vu que l'arc de Hannah Baker est terminé et qu'on s'en fout un peu de qui a tué Bruce Walker. On sent qu'ils ont essayé de rendre le personnage sympathique pour éviter aux viewers de déserter la série, mais c'est raté. Son repentir sonne faux comme tout le reste de cette saison.

Je suis à l'épisode 3 et pour le moment c'est vraiment pas mal. Les acteurs sont très bons et l'histoire est prenante. J'attends la suite avec impatience en espérant ne pas être déçue. A suivre...

Sublime série pleine d'émotions j'ai été captivé du début à la fin. Le sujet est original mais très réalistes hélas à ce que les adolescents peuvent être confrontés dans les lycées.
Les jeunes acteurs sont hyper convainquants.
Je recommande vivement cette série qui est un petit bijou.

Cette série est juste ouf ! J'ai préféré la saison 2 à la saison 1. Traiter ces divers sujets graves (viol, drogue, suicide, intimidation, ...) de cette manière est vraiment top et ça change vraiment de ce que l'on a l'habitude de voir.
Si vous n'accrochez pas aux premiers épisodes comme ça l'a fait pour moi, tenez bon vous ne le regretterez pas !
Cependant, attention aux âmes sensibles pour certaines scènes.. Ex : spoiler: La scène avec Tyler dans les toilettes S02E13 est d'une extrême violence !
C'est la pire à mes yeux. N'ayez pas honte de détourner le regard pour vous préserver !!

Aïïe ça pique les yeux et le cerveau !! J'ai tenu en m'accrochant aux bonnes critiques 2 épisodes et demi. Ennuyeux à mort, rythme, acteurs, c'est "les années collège" en pire. J'ABANDONNE. je mets une étoile par respect envers les serievores qui l'aiment.

Une première partie un peu lente et trop mystérieuse. Mais plus on s'engouffre dans la saison, plus on est pris par le drame qui secoue les protagonistes jusqu'au dénouement qui représente un réel choc. Une fin choquante car on ne nous met aucun filtre mais efficace selon moi.

Hannah Baker est une adolescente dans un lycée traditionnel aux USA. Comme dans tous ces établissements il y a de bons moments mais aussi des mauvais, des moqueries aux rumeurs lancées, elles peuvent détruire une vie, et c'est exactement ce qui s'est passé. Hannah a fini par se suicider, mais elle a laissé son empreinte dans la vie des étudiants de ce lycée, en effet elle a enregistré 13 cassettes audio (oui à l'heure des smartphones et des réseaux sociaux connectés), chacune représentant une personne qu'elle a côtoyé et qui l'a poussée à commettre l'irréparable. 13 cassettes pour 13 épisodes, simple.

Comme je le disais, cette série ne ressemble à aucune autre. Point de super-héros, point de bagarre, point d’enquête, point de surnaturel ou point d'espace temps. Cette série parle de la vie, de ma vie, de notre vie à tous. En effet qui n'a jamais été confronté à ces terribles moments de solitude ou on a l'impression que notre vie s’arrête et que plus rien n'a d'importance, parfois même pour une chose pas si grave pour une autre personne, mais qui, pour nous, est essentielle et nous bloque complètement.

Katherine Langford est Hannah Baker. Je dis "est" et non pas "joue" ou "interprète" car j'avais comme cette impression qu'il ne s'agissait pas d'acting mais bien de la vraie vie. Elle est juste magnifique cette actrice, totalement inconnue puisque c'est son premier rôle, et bien bravo mademoiselle, vous êtes plus vraie que nature. Elle a parfois un petit air de Nathalie Portman, et bien je lui souhaite la même carrière. Alors oui on la voit, et beaucoup même, alors qu'elle est morte, et bien c'est parce que la série passe du passé au présent en un clin d'oeil et Hannah y est donc fortement présente et son interprète au sommet de la pyramide. J'avais parfois tellement envie de rentrer dans la TV et de la serrer dans mes bras en lui disant qu'elle n'était pas seule.

Pour lire la suite, suivez le lien de mon blog :)

Une bonne serie qui montre la vraie vie des lycéens, pas celle que l'on voit dans les series ou tout le monde monte sur les tables en chantant, pas celle non plus dans les documentaires ou tout est montré en dix fois pire, juste la realité. Et c'est cette realité qui m'a permis d'etre ému, car cette histoire, tirée d'un livre, peut etre surement vraie

Une série qui ose parlé du harcèlement moral au lycée. Une histoire triste qui a été très bien imaginé. Une bonne surprise

Que dire de cette série? D'abord, qu'elle tien sur le brio de l'interprétation de ces personnages principaux, inconnus du grand public. Puis, par la forme de sa narration. Le mystère des flashbacks, savamment orchestré, garde la clé du mystère jusqu'à la fin. Et puis, bien sur, l'extrême dureté de la scène de suicide, dont je vais avoir du mal à me remettre. Une série utile, profonde, dérageante. Bref, à voir.

Quelle déception par rapport à la S1... lent, ennuyant, l’antithèse de la première saison, quand a la fin qui annonce la s3 je préfère même pas en parler car je ne la regarderais pas. Des fois il faut savoir s’arrêter, certaine série ne l’ont pas compris et gâche le spectacle pour faire du pognon.

Quelle surprise...sujet très dur et pourtant si bien traiter. Viens de terminer le final, je reste sans voix.

Cette série fait partie de celles qui abordent des sujets difficiles qui sont bien présents dans notre société.
Celle-ci commence bien, en installant une intrigue sur la raison du suicide d'Hannah et sans nous envoyer la totalité des protagonistes que l'on découvre donc en plusieurs épisodes.
Le jeu d'acteur des 2 personnages principaux (Clay et Hannah) sont très bons et on ressent régulièrement de l'empathie. spoiler: (surtout pour Clay, moins pour Hannah, j'y reviendrais)

Les rôles secondaires sont très inégaux avec des personnages intéressants (Alex, M. Porter, le couple Baker...) et d'autres sans intérêt afin de combler l'idée de base, les 13 raisons.
Certains rôles sont uniquement là pour placer de vieux clichés Américain ou juste pour parler d'un peu de tout (la brute, le gros sportif qui a la classe, la Pom Pom Girl gentil mais coconne, le copain Gay etc...

Pendant 4-5 épisode j'étais vraiment à fond et je voulais clairement en savoir plus sur les motivations d'Hannah.
Malheureusement au bout de 6 épisodes environ, la série s'essouffle fortement, avec une redondance de scènes.

C'est là que le Spoil commence :
spoiler: On peut comprendre en début de série que chaque élèves présent sur les cassettes soient responsables du suicide. C'est le fil conducteur de la série, chaque face de cassette = un responsable. Mais voilà, les 13 personnes régissent exactement pareille à la découverte de cassettes expliquant le suicide d'une camarade de classe. Les personnes n'ont pas du tout le même caractère mais occulte clairement l’existence des cassettes, elles n'en parlent pas à leurs parents, la police, les parents d'Hannah et ceci pendant plusieurs mois de l'écoulement de l'histoire... Le personnage de Clay est intéressant au départ et lorsqu'il a ses hallucinations. Sachant que ses parents parlent souvent de médicament dans sa jeunesse, la série pouvait faire beaucoup de chose à partir de ça. Mais ses hallucinations disparaissent sans raison, pas plus d'informations. Après ça, Clay fait tout le temps la même chose : - écoute d'une cassette en mode découpé parce que ça lui fait mal d'écouter la totalité - discutions avec Tony qui ne veut jamais rien dire, donc rien d’intéressant - discutions avec la personne de la face, qui souvent l'envoi juste chier ou lui dit qu'il a peur des conséquences. - blabla avec des personnages sans intérêts, donnant des scènes de 5-10 minutes sans intérêts. - envoyer chier ses parents La série nous montre donc un élève geek/premier de la classe qui est tout de même bien intégré dans son école car il connait globalement pas mal de gens. Mais il est mal dans sa peau car il n'arrive pas à atteindre sa dulcinée Hannah. Un portrait au final assez réaliste/convenable (pas de surplus de clichés) où j'ai eu peu de mal à me mettre à sa place. Mais voilà Hannah est clairement un rôle 50/50. Du bon et du mauvais. Son personnage est une jeune fille qui arrivent dans une nouvelle ville, ne connait personne, cherche de la considération de la part des gens cool etc... Jusque-là ça va mais au bout d'un moment on découvre que c'est juste un caractère trop Space pour pouvoir la plaindre. Dans les premiers épisodes on comprend son début de dépression, puis les raisons suivantes sont sans intérêts et quand elle est témoin de chose hyper grave, elle ferme elle-même sa gueule (accident de voiture, viol de sa copine, photo du mec de l'école). La série veut faire plaindre Hannah, alors qu'elle lui donne des réactions improbables où elle-même n'est pas là pour aider son entourage. La palme reste pour moi la principale raison de son suicide, le second viol, qui la concerne. Cette scène n'a aucun sens. Hannah a subi les railleries et autres coups-bas des quelques gens présent à cette petites soirée où elle arrive à pied de nuit. C'est quand même déjà une chance qu'elle n'est pas de problème avant d'arriver là-bas (on rappel le contexte; USA, mineur dans la rue seule, bref...). Elle explique que c'est ça pire journée parce que mademoiselle a perdu l'argent de ses parents, elle va donc dans la gueule du loup pour se détendre... Sur place, que des têtes à claques et c'est surtout chez le violeur de sa copine... Elle subi donc, cette scène difficile, sans appeler à l'aide et sans réel conflit. Pour le rôle de Bryce, on ne voit même pas l'insistance en soit, pas de coups sur Hannah... Pourquoi conclure sur ça? Cette scène arrive comme une conclusion finale à son suicide par rapport au montage de la série mais du coups, ça fait paraître toutes les autres raisons comme futiles. On se doute bien en début d'histoire qu'il y avait un drame pour en arriver là, mais ici, c'est tellement mal placé que ça fait juste un plat.


Cette série a pour moi perdu toute crédibilité avec des enchaînements de réactions bancales d'Hannah.
Elle aurait gagnée à faire plus court et limité l'intrigue là où c'est utile.
spoiler: Un seul viol, celui d'Hannah par Bryce à une soirée trop arrosé aurait clairement suffit. Le sujet étant difficile, les scénaristes ont voulu le doubler mais ça n'a au final pas l'impact attendu

Ici le scénario est partie trop loin, dans tous les sens avec trop de personnage et conclu sur un final très moyen et expéditif.

Difficile de tenir devant les 1 heure de chaque épisode à partir d'un certain niveau de l'histoire.

Le lycée et les relations qu’on leur associe nous conduisent vers un point qui rompt avec la routine perverse et peu accueillante de l’établissement. La croisade de l’adolescent Américain est à différencier de l’Européen ou d’autres environnements. Brian Yorkey nous fait redécouvrir les clichés et les excès qui persistent encore dans une culture trop flexible et trop refermée sur elle-même. En utilisant le soudain suicide d’une élève, on nous révèle les vices que chaque personne renferme en lui. Qu’elles soient enrobées de bonnes ou de mauvaises intentions, nul n’est à l’abri des vagues de conséquences qui en découlent. Les treize raisons évoquées sont portées à la sensibilité des victimes. Que l’on soit adolescent ou non, les notions d’agression morale et physique ne sont pas restreintes à cette jeune communauté. La série alerte et tente de faire prendre conscience des responsabilités que l’on a envers autrui.

Le phénomène de la crise adolescente est une problématique en perpétuelle évolution. Encore difficile à cerner, l’esprit d’un lycéen ou d’une lycéenne reste exposer à des faiblesses bien connues, mais que tout le monde ne peut combattre. La distance qui existe entre les parents et leurs enfants ne laissent pas l’auteur, Jay Asher, indifférent. Ce sont les morts qui secouent les survivants et on comprend en quoi cette base a du potentiel. L’effet de groupe et l’influence ont beaucoup à voir dans une narration extrêmement lente, mais qui prend néanmoins le temps de décortiquer ses personnages et de comprendre leurs nuances. Certains diront que l’on a à faire à des figures caricaturales, aussi bien dans l’encadrement d’élève que des élèves eux-mêmes. Ce qu’il faut retenir, c’est qu’on se réfère à des idéaux qui sont communs dans les lycées, voire les collèges à présent. Il est donc important de considérer le deuil qu’on nous expose, avec un recul émotionnel sincère.

Chaque personnage impliqué dans le suicide y laisse son testament en prenant une option sur le prochain ticket vers le paradis. Mais la réalité, c’est que tout peut virer au cauchemar le temps d’un battement de cils, au moment où la solitude domine l’esprit et que le corps mutilé n’a plus la patience de se régénérer. Dans l’enceinte de l’établissement, les jeunes sont intouchables dans le sens où leur second foyer leur propose une évasion et une liberté totale. On ne trouve que des guides chez les enseignants qui minimisent les efforts pour comprendre le bien-être des élèves. Le savoir doit être transmis, mais le savoir ne vaut rien si elle ne relativise pas son discours auprès d’âmes égarées. Les plus populaires s’en sortent, au détriment des plus discrets. Ces derniers sont persécutés pour leur caractère introspectif et sont manipuler pour le simple des divertissements. Entre les ragots qui se racontent et les atteintes réellement présentes dans l’ombre, quelqu’un souffre. Par frénésie ou à effet immédiat, les actes sont irréversibles et induisent une détresse qui mérite d’être soutenue.

Au niveau des personnages, il y en a pour tous les goûts, mais la quasi-totalité se hisse au rang de détestable. Pourquoi donc ? Cela dépend du point de vue et c’est là qu’est la véritable force de cette série qui soulève des débats, vis-à-vis des préjugés et du vécu. Et bien que la mise en scène ait le don d’irriter, faute d’un couplage académique récurrent, il faut reconnaître que la démarche afin de communiquer avec la jeunesse très convaincante. Ce n’est pas toujours dans la subtilité que l’on présente des faits dramatiques ou encore des révélations qui touchent la société, jusque dans ses racines. « 13 Reasons Why » nous invite ainsi à faire abstraction de notre personnalité pour s’ouvrir aux proches, afin que les secrets et les mensonges ne viennent pas perturber notre harmonie.