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Nat Torres
7 abonnés
154 critiques
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4,0
Publiée le 13 janvier 2020
« The office » est une sitcom sortie en 2005 aux USA. Elle met en scène des employés de bureau accompagnés de leur responsable qui leurs en fait voir de toutes les couleurs. Ce n’est pas le genre de série vers lequel je me tourne habituellement, mais à force d’avoir de bons retours, je me suis enfin lancé début 2020 (mieux vaut tard que jamais). Quelle belle surprise ! Rares sont les séries à me faire autant rire ! Le dosage de l’humour entre les scènes comiques et les situations gênantes est un délice. Steve Carell incarne à la perfection ce manager complètement déjanté. Les thèmes abordés sont encore d’actualité en 2020 (journée pour la diversité, discriminations, bien-être des salariés etc..). J’ai hâte d’en découvrir davantage après cette courte première saison de 6 épisodes.
Série ennuyeuse. Je n'ai vu que la saison 1 et ça m'a suffi, je n'ai pas ri une seule fois car l'humour (souvent graveleux) est complètement prévisible (ainsi que l'enchaînement des actions). Les personnages sont caricaturaux à souhait, aucune profondeur. C'est sûrement un parti pris mais personnellement, je n'accroche pas avec ce concept.
Cette première saison de The Office (remake américain de la série anglaise éponyme) ne compte que 6 épisodes, mais malgré cela le rythme est déjà donné. Si les premiers épisodes ne m'ont pas vraiment convaincu, c'est le visionnage de l'épisode sur la compétition de basket entre les différents employés de l'entreprise qui m'a donné envie de continuer cette série! Rarement un épisode de série comique m'aura autant fait rire. C'est simple, quelques heures après l'avoir vu, j'ai remis le DVD en route pour le revoir. C'est également avec cette saison que nous faisons la connaissance des différents personnages. Ils sont tous aussi dingues les uns que les autres et les acteurs ont été très bien choisis! Bien qu'elle soit très courte, cette saison donne envie de voir la suite et est un excellent apéritif pour ce qui va suivre. Elle permet de mettre tout ce beau petit monde en place pour la suite!
J'ai cherché la saison 1 et 2 et je cherche aussi les rires seul bon point l'absence des faux rire. Mes proches mon remercier quand j'ai dit que je ne regarderais pas les saisons suivante et ne comprends toujours pas comme je suis arrivé jusque-là. Merci pour ces heures de perdue
Copier-coller à 70% de la série originale anglaise, qui a du mal à exister par soi-même. L'humour anglais était déjà assez spécial dans The Office (UK), mais passé à la sauce américaine, le résultat est imbuvable. Le petit ami de Pam qui est machiste et agressif est insupportable, en n'étant jamais un antagoniste, mais seulement un rôle fatigant. Le patron Steve Carell en fait des tonnes en semblant singer Ricky Gervais, il manque vraiment sa patte propre, son style d'humour, son appropriation du rôle... Le générique de début est passable, mais celui de fin est inexistant (écritures blanches sur fond noir, dans le silence le plus total... Une ambiance d'enterrement...). Les premiers épisodes sont, à la virgule près, des copiés-collés de la série originale (jusqu'à l'agrafeuse dans la jelly jaune... Ils ne se sont même pas embêtés à changer ne serait-ce que la couleur de la gelée....). On a l'impression de voir double, avec cette saison 1 qui ne change rien à son modèle, tout en ayant le plus grand mal à se l'approprier. Exactement pareil, on nous prouve que l'on n'a pas honte de nous donner deux fois le même épisode, tant pis pour les spectateurs. On attendra la saison 2 pour que ce carcan étouffant se brise, pour dévoiler la série drôle que The Office aurait dû être dès le début. Faux départ.
3/5 Pas mal. La saison 1 est une présentation du concept. Certaines situations sont drôles et d'autres totalement stupides (et parfois les deux). La suite est meilleure mais cette première saison donne le ton.
J’ai enfin pris le temps de commencer The Office et quelle régalade ! Certains épisodes sont plus réussis que d'autres, mais les acteurs et la mise en scène viennent toujours ajouter un brin d’hilarité au milieu de ce bureau qui paraît très sérieux au premier abord. C'est juste excellent et la qualité des dialogues incroyable!!! Mention toute particulière à l’épisode sur la mutuelle.
La saison 1 de The Office est une création de Ricky Gervais et Stephen Merchant diffusée en 2005. Les six premiers épisodes de cette sitcom pose les bases de la série : un Steve Carell parfait en Michael Scott, patron de Dunder Mifflin, un humour grinçant qui fait mouche (jouant sur les clichés et le malaise qui en découle, avec un ton très cynique), des personnages bien caractérisés (Pam, Dwight, Jim etc.), un aspect documentaire bien transmis par la réalisation typique du genre. Certains épisodes sont particulièrement drôles (notamment La Journée de la Diversité et L'Alliance, deux épisodes qui résument vraiment bien le ton du show). Il est un peu frustrant de voir certains personnages pour l'instant sous-développé et de voir évoluer ce grand ensemble de personnages uniquement dans deux décors (le bureau et l'entrepôt situé en dessous) mais ça n'empêche pas ces six premiers épisodes d'être très efficaces. Une première saison vraiment convaincante qui pose les bases des personnages de la série avec brio.
The Office est une comédie ayant pour thème (comme son nom l’indique) la vie en entreprise. Pour adapter un tel thème aussi peu divertissant en apparence, la série se présente comme un documentaire, et s’éloigne ainsi de la forme habituelle de la comédie. Pas de rire enregistré donc, mais un montage caméra à l’épaule entrecoupé d’entretiens face caméra pour les confessions des personnages. La série suit donc le quotidien des employés de Dunder Mifflin, entreprise de bureautique ; plus spécifiquement le bureau basé à Scranton, en Pennsylvanie. Le chef de cette agence est Michael Scott (Steve Carell) ; c’est un homme fantasque et exubérant, qui enchaîne avec une facilité déconcertante les maladresses et phrases inappropriées en tous genres. Il est secondé par Dwight Schrute (Rainn Wilson), bras-droit très ambitieux au comportement de psychopathe. On peut compter sur Jim Halpert (John Krasinski), le sympathique commercial, pour détendre l’atmosphère ; il est secondé par Pam Beesly (Jenna Fischer), la réceptionniste. Ces deux-là s’aiment mais n’osent pas se l’avouer, d’autant que Pam est fiancée au rustre Roy (David Denman), qui travaille à l’entrepôt. La série débute alors qu’un intérimaire, Ryan Howard (B. J. Novak) vient d’arriver ; mais Jan Levinson-Gould (Melora Hardin), la supérieure de Michael Scott, lui annonce que la branche de Scranton pourrait être fermée… Cette première saison est brève (six épisodes) et met surtout en avant Michael. Michael a une qualité qui est aussi son grand défaut : c’est son enthousiasme. Il ne s’arrête jamais, même quand il crée des situations franchement gênantes et met son entourage professionnel dans un embarras qu’il est le seul à ne pas voir. Tout cela pourrait le rendre détestable mais voilà : il se soucie sincèrement du bien-être de ses employés et déteste prendre des décisions qui pourraient leur être préjudiciables. Il fait donc partie de ces personnages que l’on n’arrive pas à détester et qu’on finit par apprécier pour ce qu’ils sont. De toutes façons, ses employés ne sont pas dupes, et n’hésitent pas à réagir. Du reste, seuls Pam et Jim, sans oublier Dwight, sont intéressants. Les autres sont trop peu développés. Le format est original, mais cela entraîne un rythme inégal ; il faut parfois s’accrocher. Du potentiel.
Très bonne première saison avec divers thème et différent sketch. Aucune impression de répétitivité ? je pourrais juste regretter le 1er épisode un peu vide qui nous présente le contexte. Ça donne envie de continuer