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4,0
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Votre avis sur Legion ?
5
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2
16 critiques
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Premièrement je ne sais pas si c'était judicieux d'écrire dans le synopsis qu'
spoiler:
il est le fils du professeur Xavier
, c'est ce qui m'a attiré et en même temps j'ai la sensation d'avoir été spoilé étant donné que rien n'y fait allusion dans la saison 1.
Sinon sur le fond, l'histoire a son intérêt et des scènes sont vraiment sympa, mais sur la forme on essaie de se faire à toutes ces scènes mentales de projection astrale, puis on se lasse. Les épisodes 7 et 8 en font trop et font clairement chuter l'intérêt.
J'ai même accéléré certaines scènes avant d'abandonner la série.
Je me tâte réellement pour regarder la suite, j'espère juste que ces délires psychologiques vont s'estomper sinon j'abandonnerai.
, c'est ce qui m'a attiré et en même temps j'ai la sensation d'avoir été spoilé étant donné que rien n'y fait allusion dans la saison 1.
Sinon sur le fond, l'histoire a son intérêt et des scènes sont vraiment sympa, mais sur la forme on essaie de se faire à toutes ces scènes mentales de projection astrale, puis on se lasse. Les épisodes 7 et 8 en font trop et font clairement chuter l'intérêt.
J'ai même accéléré certaines scènes avant d'abandonner la série.
Je me tâte réellement pour regarder la suite, j'espère juste que ces délires psychologiques vont s'estomper sinon j'abandonnerai.
L'Info Tout Court
Alliant tous les genres cinématographiques, du thriller au policier en passant par la comédie ou le musical, tout est sujet à expérimentation pour prolonger cette aventure onirique, ce voyage surréaliste. Cauchemardesque ou psychédélique, l’univers de Legion nous aura tantôt bercés, effrayés, intrigués, sans jamais cesser de nous captiver.
L'Info Tout Court
Il faut avouer que Legion fait toujours preuve d’une incroyable inventivité, tant scénaristique que visuelle pour nous offrir une série à nulle autre pareille. Sauf qu’en plongeant dans les abysses hallucinogènes de Legion, on s’enfonce progressivement dans une transe hermétique, sinon impénétrable, au moins désagréable. Car sous couvert de nous projeter la folie de son héros schizophrène, la série se complet dans des paraboles loufoques.
Après une première saison très convaincante qui annonçait des choses ambitieuses pour la suite. Malheureusement, je n’ai pas été séduit par cette seconde saison que j’ai trouvé relativement moyenne. Le scénario est assez expérimental malgré une bonne impression et la mise en scène offre de beaux tableaux mais rien de plus.
J’estime que l’histoire est victime de son premier épisode ; la saison prend place après une longue ellipse dans le scénario ; alors, un flou plane autour d’une grosse partie de l’univers et des intrigues. Par conséquent, cela apporte de nombreux handicaps : la narration est moins prenante et le spectateur se sent nettement moins impliqué. Succinctement, le récit est intéressant mais il y a un détachement vis-à-vis de l’ensemble de la série qui s’est produit que l’implication est forcément moindre. Cela n’empêche que la saison est cohérente dans son ensemble mais le manque d’intensité est décevant.
La réalisation possède un énorme point positif : la photographie. Elle est travaillée, pertinente et intelligente : effectivement, les séquences présentes des plans picturaux munis de décors intéressants et des lumières créant une véritable ambiance cohérente avec les différents tons de la saison. Cependant, le jeu d’acteur est encore un peu douteux mais le vrai problème est le pôle des effets spéciaux. Ils sont horribles ; les fonds verts et les effets en CGI sont beaucoup trop moches pour ne pas relever cela.
Il est difficile de recommander cette deuxième saison ; cependant, le dernier épisode avait l’air d’annoncer une bonne dernière saison. Alors pourquoi pas y aller jusqu’au bout.
J’estime que l’histoire est victime de son premier épisode ; la saison prend place après une longue ellipse dans le scénario ; alors, un flou plane autour d’une grosse partie de l’univers et des intrigues. Par conséquent, cela apporte de nombreux handicaps : la narration est moins prenante et le spectateur se sent nettement moins impliqué. Succinctement, le récit est intéressant mais il y a un détachement vis-à-vis de l’ensemble de la série qui s’est produit que l’implication est forcément moindre. Cela n’empêche que la saison est cohérente dans son ensemble mais le manque d’intensité est décevant.
La réalisation possède un énorme point positif : la photographie. Elle est travaillée, pertinente et intelligente : effectivement, les séquences présentes des plans picturaux munis de décors intéressants et des lumières créant une véritable ambiance cohérente avec les différents tons de la saison. Cependant, le jeu d’acteur est encore un peu douteux mais le vrai problème est le pôle des effets spéciaux. Ils sont horribles ; les fonds verts et les effets en CGI sont beaucoup trop moches pour ne pas relever cela.
Il est difficile de recommander cette deuxième saison ; cependant, le dernier épisode avait l’air d’annoncer une bonne dernière saison. Alors pourquoi pas y aller jusqu’au bout.
J'ai mis énormément de temps avant de terminer cette première saison. Quelle erreur ! Elle est vraiment très bien et donne envie de vite découvrir la suite. Le scénario est très chouette malgré quelques défauts et la mise en scène est curieuse et originale.
Brièvement, la première moitié de la saison met un peu trop en avant une romance bâclée et le développement des personnages de manière maladroite. La seconde moitié utilise ses intrigues afin de créer un ensemble très intéressant avec une narration originale et parfois singulière. Effectivement, le final de la série monte en tension nous offrant un résultat plus que pertinent. Les personnages sont nombreux et tous nécessaires face à une complexité dans le récit qui est narrée avec justesse et intelligence.
Quant à la mise en scène, j'estime qu'elle apporte une véritable plus-value à l'histoire. La photographie est nettement travaillée avec des plans picturaux marquants ; sans compter certains épisodes qui osent jouer avec les codes de l'épouvante et du thriller ; les jeux de couleurs sont très importants et intéressants. Malgré parfois un jeu d'acteurs discutable, la réalisation nous plonge dans un univers visuel et sonore singulier.
Je recommande cette première saison. Il n'est pas évident de se plonger dans l'histoire mais le final vaut le coup et j'ai simplement hâte de visionner la seconde saison.
Brièvement, la première moitié de la saison met un peu trop en avant une romance bâclée et le développement des personnages de manière maladroite. La seconde moitié utilise ses intrigues afin de créer un ensemble très intéressant avec une narration originale et parfois singulière. Effectivement, le final de la série monte en tension nous offrant un résultat plus que pertinent. Les personnages sont nombreux et tous nécessaires face à une complexité dans le récit qui est narrée avec justesse et intelligence.
Quant à la mise en scène, j'estime qu'elle apporte une véritable plus-value à l'histoire. La photographie est nettement travaillée avec des plans picturaux marquants ; sans compter certains épisodes qui osent jouer avec les codes de l'épouvante et du thriller ; les jeux de couleurs sont très importants et intéressants. Malgré parfois un jeu d'acteurs discutable, la réalisation nous plonge dans un univers visuel et sonore singulier.
Je recommande cette première saison. Il n'est pas évident de se plonger dans l'histoire mais le final vaut le coup et j'ai simplement hâte de visionner la seconde saison.
La série est très inventive et innnovante : dans chaque épisode, je me suis senti déséquilibré, comme si je sentais le malaise des personnages. Les effets sont époustouflants, bien réalisés et marquent les esprits. A tel point, que pas de séquences auraient pu figurer dans "Breaking Bad". Elle se démarque très bien de la franchise cinématographique "X-Men" et se focalise très bien sur un nouvel horizon. Les acteurs sont tous bons : on peut parvenir à s'identifier à l'un d'entre eux (mais Aubrey Plaza est celle qui s'en sort le mieux, comme si elle était née pour jouer les barjots). Je ressens même de la peine pour David.
L'idée d'associer la mutation en maladie metale est une excellete idée, mais j'ai eu l'impressio que la série partait dans tous les sens et s'éloigait de son matériau de base. Je me suis même ennuyé par momennts, et donc vite déconnecté de la série. Néanmoins, c'est pas mal ficelée et ça reste regardable.
"Legion" n'est pas la meilleure série super-héroïque, mais elle mérite le coup d'œil rien que pour la mise en scène déjantée, ses personnages et son ambiance. Noah Hawley sait créer des univers de "malades" et j'ai hâte de voir son travail sur la prochaine série "Alien".
L'idée d'associer la mutation en maladie metale est une excellete idée, mais j'ai eu l'impressio que la série partait dans tous les sens et s'éloigait de son matériau de base. Je me suis même ennuyé par momennts, et donc vite déconnecté de la série. Néanmoins, c'est pas mal ficelée et ça reste regardable.
"Legion" n'est pas la meilleure série super-héroïque, mais elle mérite le coup d'œil rien que pour la mise en scène déjantée, ses personnages et son ambiance. Noah Hawley sait créer des univers de "malades" et j'ai hâte de voir son travail sur la prochaine série "Alien".
Je viens de finir cette série et j'ai un avis mitigé. Une série avec de belles images, une intrigue intéressante, cependant impossible de m'attacher à David Haller et Sydney, ce qui est dommage pour les personnages principaux de l'histoire... J'ai trouvé leurs scènes trop longues et pour la plupart du temps inutiles... C'est tellement triste d'avoir des personnages aussi fades et sans histoire!
Pour ma part, la série brille pour ses images et son intrigue mais malheureusement pas pour ces deux personnages avec qui on a l'impression de perdre son temps
Pour ma part, la série brille pour ses images et son intrigue mais malheureusement pas pour ces deux personnages avec qui on a l'impression de perdre son temps
[écrit à l'issue de la saison 1]
Science-fictionno - schizophreno - super-heroïde
Après un raz de marée de films de super-héros allons-nous vers une vague de séries ?
Ce serait réducteur de penser uniquement Legion dans cette lignée. Oui, il s'agit vraisemblablement de la constitution d'une équipe et des origines du plus puissant de ses membres. Non, ce n'est pas le propos principal.
Il faut plutôt le replacer dans un triangle : Le Prisonnier - Mr Robot - Heroes
Le premier pour l'inventivité de la réalisation au service de l'exploitation de la schizophrénie qui fait ma relation avec le deuxième. Quant au troisième, c'est évident même si c'est moins prégnant.
Ici on va très loin dans la psychologie du personnage, peut-être trop au dépend des autres. La partie "super héros" n'est pas si développée que ça (pour ceux que ça rebuterait) et la première saison pourra agréablement être regardée par des adeptes du fantastique allergiques aux super-héros costumés (on verra pour la suite). Cette saison restera au moins pour une description très fantasmée mais convaincante de la schizophrénie (pour le néophyte que je suis) et de l'ambiance hôpital psy.
Seule anicroche : les méchants sont clairement identifiés, quelque chose de plus complexe comme dans "heroes" m'aurait sans doute un peu plus accroché. La faune locale le rendait possible.
Reste que l'ensemble est cohérent et bien mené, alternant calme et action, révélations continues, la saison se tient bien. Dans mon souvenir ça se ramolli aux 5-6-7 puis on revient dans le tempo.
Une série atypique à suivre. Pour l'instant je prends.
Science-fictionno - schizophreno - super-heroïde
Après un raz de marée de films de super-héros allons-nous vers une vague de séries ?
Ce serait réducteur de penser uniquement Legion dans cette lignée. Oui, il s'agit vraisemblablement de la constitution d'une équipe et des origines du plus puissant de ses membres. Non, ce n'est pas le propos principal.
Il faut plutôt le replacer dans un triangle : Le Prisonnier - Mr Robot - Heroes
Le premier pour l'inventivité de la réalisation au service de l'exploitation de la schizophrénie qui fait ma relation avec le deuxième. Quant au troisième, c'est évident même si c'est moins prégnant.
Ici on va très loin dans la psychologie du personnage, peut-être trop au dépend des autres. La partie "super héros" n'est pas si développée que ça (pour ceux que ça rebuterait) et la première saison pourra agréablement être regardée par des adeptes du fantastique allergiques aux super-héros costumés (on verra pour la suite). Cette saison restera au moins pour une description très fantasmée mais convaincante de la schizophrénie (pour le néophyte que je suis) et de l'ambiance hôpital psy.
Seule anicroche : les méchants sont clairement identifiés, quelque chose de plus complexe comme dans "heroes" m'aurait sans doute un peu plus accroché. La faune locale le rendait possible.
Reste que l'ensemble est cohérent et bien mené, alternant calme et action, révélations continues, la saison se tient bien. Dans mon souvenir ça se ramolli aux 5-6-7 puis on revient dans le tempo.
Une série atypique à suivre. Pour l'instant je prends.
Honnêtement j'aime l'ambiance de la série j'aime les effets J'aime l'acteur principal cependant je trouve que le casting est plutot faible et mauvais j'ai regardé la première saison entièrement j'ai l'impression que parfois c'est un peu confus et que j'ai dû louper un épisode . Je ne regarderai ni la saison 2 ni la 3 .
Si Legion parvient à maintenir cet équilibre entre tension thrilleresque et chaos hallucinatoire si parfaitement illustré dans les premières heures, alors elle va vraiment devenir une série de superhéros unique et superbe.
Très bonne série, la confusion est très présente, un régal de complexité pour une série marvel ! Ce n'est pas à la portée de tout le monde il faut aimer se perdre durant les 3 premiers épisodes ! Elle se départage des autres séries marvel, c'est vraiment cool mais c'est aussi le seul truc que je lui reproche, dans la première saison il n y a qu'une référence aux X-men , c'est vraiment dommage !
Encore plus barrée que la première ! Cette deuxième saison est intriguante et remarquablement mise en scène. Lynch n'aurait pas renié cette production !
Le scénario alambiqué au possible peut parfois nous perdre mais c'est tellement bien fait qu'on se laisse avec grand plaisir embarquer dans ce voyage. Les frontières entre le bien et le mal sont très floues et de nombreux retournements de situation sont au programme. L'ambiance sonore est parfaite.
Le scénario alambiqué au possible peut parfois nous perdre mais c'est tellement bien fait qu'on se laisse avec grand plaisir embarquer dans ce voyage. Les frontières entre le bien et le mal sont très floues et de nombreux retournements de situation sont au programme. L'ambiance sonore est parfaite.
Quelle série !
La réalisation est déroutante et ne peut laisser personne indifférent, là réside sûrement le secret de la réussite.
Le scénario est prenant, intriguant, haletant et nous bouscule du début à la fin. On est loin des X-Men traditionnels, mais on retrouve tout de même bien leur univers, même si ce n'est pas forcément le but de la série.
La réalisation est déroutante et ne peut laisser personne indifférent, là réside sûrement le secret de la réussite.
Le scénario est prenant, intriguant, haletant et nous bouscule du début à la fin. On est loin des X-Men traditionnels, mais on retrouve tout de même bien leur univers, même si ce n'est pas forcément le but de la série.
Lorsque David Lynch rencontre David Cronenberg, Darren Aronofsky et les sœurs Wachowsky, ça donne un mélange détonnant et assez bien ficelé. Mélange d'univers, voyage sur le psyché entre confusions et flashbacks vraiment bien maitrisé.
Une œuvre réellement impressionnante.
A découvrir de toute urgence !
Une œuvre réellement impressionnante.
A découvrir de toute urgence !
Ce qui frappe d'abord dans "Legion", c'est la beauté des images, l'ambition de la mise en scène, le soin apporté à la réalisation. Noah Hawley - le créateur de la série à qui l'on doit déjà "Fargo" (Netflix) - réussit magnifiquement à capter la folie de ses personnages et ose quelques plans rares en télévision.
Série ambitieuse, le pilote d'1h10 ne fait JAMAIS référence aux X-Men. Extrêmement créative et complexe, il faut s'accrocher pour ne pas perdre le fil de cette histoire qui nous trimballe d'un endroit à un autre, en cherchant constamment à nous semer en route !
La série n’hésite pas à changer le format de l’image, passant d’un écran plein à un écran avec des bandes noires.
C’est un peu comme "Matrix", sauf que là, on a un puzzle complet que maman a bien rangé à l’abri des enfants qui auraient pu perdre des pièces. Et ce qui est intelligent c’est aussi de nous faire vivre la série à travers les yeux du héros. Mais aussi à travers ceux de Sydney, puisqu’elle a eu l’occasion d’être dans le corps de David après l’avoir touché. Oui je te l’accorde, on pense un peu à Malicia quand on voit les pouvoirs de cette blonde au visage angélique.
Toute la série s’inscrit dans une optique : brouiller les pistes, mystifier le spectateur. On a l’absence de repère temporel, dans quelle décennie s’inscrivent ces événements ? Par exemple, il y a une architecture typique des années 70 pour le repaire des mutants, un hôpital psychiatrique qui semble nous conduire à la même conclusion, mais aussi des militaires avec des technologies plus modernes. Des visuels d’époques précises se mélangent au point de ne jamais savoir où l’on se situe exactement.
Magnifique et intriguant, "Legion" sublime par sa réalisation, puissante et captivante. Et elle s’impose comme une série à suivre de près. Si on pensait que la télévision avait trop de séries dans le genre super-héros avec des super-pouvoirs, celle-ci prouve qu’il est possible de renouveler cet univers et d’avoir une approche différente, sans avoir un héros en costume. Marvel a prouvé à maintes reprises que ses studios, que ce soit à la télévision ou au cinéma, arrivaient à proposer des choses fraîches et différentes. Il en a pour tous les goûts et "Legion" est une saveur différente, à suivre, dans l’univers Marvel.
Série ambitieuse, le pilote d'1h10 ne fait JAMAIS référence aux X-Men. Extrêmement créative et complexe, il faut s'accrocher pour ne pas perdre le fil de cette histoire qui nous trimballe d'un endroit à un autre, en cherchant constamment à nous semer en route !
La série n’hésite pas à changer le format de l’image, passant d’un écran plein à un écran avec des bandes noires.
C’est un peu comme "Matrix", sauf que là, on a un puzzle complet que maman a bien rangé à l’abri des enfants qui auraient pu perdre des pièces. Et ce qui est intelligent c’est aussi de nous faire vivre la série à travers les yeux du héros. Mais aussi à travers ceux de Sydney, puisqu’elle a eu l’occasion d’être dans le corps de David après l’avoir touché. Oui je te l’accorde, on pense un peu à Malicia quand on voit les pouvoirs de cette blonde au visage angélique.
Toute la série s’inscrit dans une optique : brouiller les pistes, mystifier le spectateur. On a l’absence de repère temporel, dans quelle décennie s’inscrivent ces événements ? Par exemple, il y a une architecture typique des années 70 pour le repaire des mutants, un hôpital psychiatrique qui semble nous conduire à la même conclusion, mais aussi des militaires avec des technologies plus modernes. Des visuels d’époques précises se mélangent au point de ne jamais savoir où l’on se situe exactement.
Magnifique et intriguant, "Legion" sublime par sa réalisation, puissante et captivante. Et elle s’impose comme une série à suivre de près. Si on pensait que la télévision avait trop de séries dans le genre super-héros avec des super-pouvoirs, celle-ci prouve qu’il est possible de renouveler cet univers et d’avoir une approche différente, sans avoir un héros en costume. Marvel a prouvé à maintes reprises que ses studios, que ce soit à la télévision ou au cinéma, arrivaient à proposer des choses fraîches et différentes. Il en a pour tous les goûts et "Legion" est une saveur différente, à suivre, dans l’univers Marvel.