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FaRem
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Critique de la série
3,5
Publiée le 7 juillet 2018
J'avais adoré le film de Stefano Sollima dont j'ai découvert cette série avec plaisir. Comme pour le film, il y a trois milieux qui sont représentés à savoir la mafia, la politique et le Vatican. On suit l'histoire de Aureliano Adami, Spadino Anacleti et Gabriele Marchilli qui sont trois personnages différents qui ne viennent pas du même milieu et qui par la force des choses vont être obligés de "travailler" ensemble. On retrouve des acteurs présents dans le film idem pour certains personnages qui sont toujours là seulement la série n'est pas une adaptation du film dans le sens où les histoires sont différentes même si le milieu est identique et les thèmes similaires. La série n'est pas aussi violente, intense et oppressante que pouvait l'être le film, mais cette première saison est réussie. Les différentes histoires sont bonnes avec pas mal de suspens et de rebondissements tandis que les personnages sont attachants ce qui est étonnant pour certains qui se révèlent au fur et à mesure des épisodes. Bref, un bon début, j'attends la suite.
Excellente série sur les relations entre monde politique, église catholique et groupes mafieux dans la ville éternelle. Les acteurs sont eux aussi très bons et la réalisation vraiment au top. Je recommande.
j ai adoré cette série! Comme pour le film, il y a trois milieux qui sont représentés à savoir la mafia, la politique et le Vatican. C est très bien joué le casting est parfait J ai hâte de voir la saison 2
Une série plate et sans aucun intérêt, qu'il est impossible de prendre au sérieux un seul instant et qui, pour attirer le spectateur, se contente d'entretenir quelques vieux poncifs sur la mafia italienne et sur les complots du Vatican.
Une série italienne très correcte qui manque un peu de rythme et est un peu limitée dans sa réalisation et son interprétation mais crée des personnages plutôt attachant.
Toujours aussi intéressante, Suburra continue de marquer des points avec cette saison 2. Ses personnages principaux charismatiques et torturés y sont pour beaucoup et n’ont pas à rougir face à leurs cousins napolitains qui reviendront le 29 mars sur les écrans.
excellent, mieux que gommora et de loin , gommora est aussi une bonne série mais celle ci est plus réaliste et plus original et les jeux d'acteurs sont meilleur. en espérant une saison 3 , tout y est : suspens, action , histoire prenante et jeux d'acteurs excellent . je serai vraiment déçu qu'il n'y ai pas une saison 3
« Suburra » nous amène dans le monde politique, mais pas seulement. Nous sommes à Rome, où la mafia, qui est au centre du récit, tisse ses liens jusque chez les politiciens, bien sûr, mais aussi jusqu’au Vatican. Je craignais que la série ne soit trop brutale. Elle n’est pas destinée aux enfants de chœur, bien entendu, mais il n’y a pas de complaisance dans la violence, même si les meurtres y sont nombreux. Le scénario met plutôt l’accent sur les rivalités et les complicités qui opposent ou unissent la dizaine de personnages principaux de cette œuvre chorale. Passionnant !
Très bonne saison 1 et une saison 2 qui se délite peu à peu. Le scénario perd de sa cohérence et ne cherche que le rebondissements pour l'épisode suivant au prix de quelques invraisemblances spoiler: comme la trahison de spadi envers son clan., .Du coup la série ne trouve pas vraiment son rythme ni une vraie ampleur, et la multiplication des intrigues, si elle donne de l'intérêt au début, fait qu'on ne s'attache pas vraiment aux personnages. On aurait aimé un vrai personnage central, pour qui on tremble un peu. Dommage car les acteurs sont bons, et il y avait matière pour passer de la bonne série à l'excellence.
Pire série que j'ai vue sur Netflix. Lent, jeu d'acteur médiocre. Bande son particulièrement dissonnante et pénible à supporter. A plusieurs reprises j'ai dû couper le son et mettre les sous-titres; la "musique" étant trop horrible à supporter .
Une copie moyenne de Gomorra façon Netflix. Une femme qui dirige une famille, pas trop de meurtres, un joyeux luron, ou plutôt un gay gai avec des petits airs de voyou (mais qui n’arrive pas pour autant à la hauteur de omar dans the wire), tous les éléments sont réunis pour créer une série commerciale sans brusquer la ménagère de 50 ans qui attend impatiemment les pubs de lessives et des nouvelles pastilles pour lave vaisselle. C'est limite mais le jeu d'acteur et le budget rattrapent le tout.