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    Ozark
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    juju76-21
    juju76-21

    1 critique Suivre son activité

    Critique de la saison 4
    5,0
    Publiée le 29 juillet 2023
    Juste incroyable comme les 3 autres saisons. Un Jason Bateman toujours aussi charismatique. Nous avons ici la suite d’une histoire intéressante, de l'absurde dans un cadre très sérieux. J'ai adoré !
    Yann I
    Yann I

    20 abonnés 121 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 16 juin 2020
    Série de grande qualité ; atmosphère, décors, réalisation, qualité d'écriture, jeux des acteurs...
    sans oublier l'humour et le comique de situation sans faute de goût.
    On adhère totalement depuis le premier épisode jusqu'à la fin sans temps mort tant tout est maitrisé....
    Une quatrième saison s'impose en espérant qu'elle soit du même niveau.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 27 juillet 2017
    Série qui accroche tout de suite, le décors, le suspense et les acteurs sont de qualités. J'attends la saison 2.
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 323 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 1
    2,0
    Publiée le 26 janvier 2019
    Comment ? « Ozark » ou l’histoire d’un homme ordinaire et médiocre qui se retrouve pris dans les rouages du trafic de drogues ? Attendez, mais ça me dit quelque-chose ça… Et cet homme essaye de cacher ce business à sa famille qui se retrouve impliquée malgré elle ? Et c’est l’occasion de faire une peinture acide d’un petit patelin paumé des Etats-Unis ? Ah bah oui ! Effectivement. Plus de doute possible : « Ozark » est bien une série qui entend s’ancrer dans le sillage de « Breaking Bad » ! Alors autant le dire tout de suite : quand on essaye de suivre aussi manifestement une série d’un tel calibre, alors on prend forcément le risque de souffrir de la comparaison. Et – on ne va pas se mentir – il est évident que cet « Ozark » en souffre vraiment beaucoup. Alors certes, Martin Byrde ne joue pas vraiment du même registre que Walter White. Néanmoins il est posé dans la même situation initiale (il n’est pas un grand trafiquant). De même, comme Walter White, sa série le lance dans la même genre de dynamique (c’est-à-dire que le fait de ne pas être un grand trafiquant ne l’empêchera pas d’être plongé dans le grand bain). Or, le problème, c’est qu’à schémas identiques, l’application côté « Ozark » est quand même moins percutante. Déjà la série prend Martin Byrde a un moment où il a déjà cédé, ce qui fait qu’on n’est pas là quand on le voit basculer la première fois du mauvais côté. Certes, la série nous présente cet événement plus tard, mais en termes d’immersion dans la situation du personnage principal, je trouve que ça marche moins bien. Idem, la grande menace – Del – est ici très vite posée. Trop vite pour qu’elle prenne de l’ampleur. Du coup c’est bête mais ces deux éléments d’intrigue font que le premier épisode patine un peu et allèche sans plus. Disons que ce pilote a au moins le mérite de savoir se présenter comme un simple épisode de mise en condition – une simple introduction – et que le vrai cœur du sujet sera pour la suite... Et je dois avouer que, me concernant, ça aurait pu le faire. D’ailleurs, pendant les deux premiers tiers de cette saison, j’étais à un bon niveau « 3 étoiles ». Sans être conquis, j’étais au moins curieux d’aller voir l’épisode suivant. L’air de rien, la mécanique narrative est quand même maitrisée et les auteurs ont su amener suffisamment de personnalité dans les lieux comme dans les protagonistes pour que cette dynamique « rise and fall » sache entretenir l’attention. Et même si chaque épisode nouveau rappelle régulièrement à quel point cette série suit totalement le sillon de « Breaking Bad » (même personnages secondaires qu’on cherche à rendre iconiques malgré leur apparence très ancrée dans l’ordinaire et le commun ; même type de situation qu’on pose comme des pièges inextricables ; même crudité dans la résolution des situations…), malgré tout, l’un dans l’autre, je savais trouver mon compte dans ce « Breaking Bad » light mais honnête… Sauf que… Sauf que, au bout d’un moment, les événements mal maitrisés commencent à s’enchainer maladroitement et là, clairement, l’implication que l’accordait jusqu’alors à l’intrigue à fini à flancher. Et pour moi, le problème tient en deux points : d’abord quelques incohérences ou manques de rigueur, mais aussi et surtout, la multiplication de choix ou de hasards qui arrangent l’intrigue. Et autant je n’ai pas trop envie de m’attarder sur les premiers problèmes parce que, même s’ils sont gênants, ils restent secondaires ( spoiler: genre : pourquoi Jonah met en place un plan assez compliqué pour s’acheter un flingue alors qu’il y en a plein sa cave ? Et puis avec quel argent il le paye ce gosse ?
    ), autant je ne peux clairement pas passer à côté des seconds, parce que c’est clairement eux qui m’ont fait sortir de cette saison. Et désolé messieurs les scénaristes, mais vous n’avez manifestement pas compris ce qui faisait la force de « Breaking Bad ». L’une des forces du scénario de « Breaking Bad », c’est qu’on assistait aux efforts considérables de Walter White pour échafauder des plans ingénieux, mais qu’à chaque fois, un aléas malheureux ou l’intervention d’un tiers venait risquer de tout gâcher. Et cette tension fonctionnait d’autant mieux que le plan avait l’air à chaque fois brillant, sans faille, mais que malgré tout le scénario s’efforçait de l’éprouver au maximum. Ainsi, parce qu’on savait que le monde cruel de « Breaking Bad » ne pardonnait rien, on pouvait vraiment craindre pour ses protagonistes et admirer les fois où ils parvenaient à se sortir d’une sale situation. En somme, dans « Breaking Bad », quand tu te loupes, le monde ne te loupe pas. Ce qui veut dire que chaque raté entrainera forcément des sacrifices de la part des protagonistes. Dans « Ozark » c’est tout l’inverse qui se passe. Quand Martin a un super plan et qu’il est soudainement acculé comme peut l’être Walter White, eh bah là, le hasard et les choix des autres personnages deviennent systématiquement salvateurs. Et c’est fou comment cette saison multiplie ainsi les facilités ! spoiler: Martin a soudainement besoin d’énormément d’argent ? Eh bah – bim ! – soudain un personnage qui a pile la somme accepte de lui confier la somme nécessaire. Et quand ce personnage se rebiffe et veut récupérer ses billes histoire d’apporter un peu de piquant, eh bah c’est un banal accident de la circulation qui règle l’affaire ! Eh oui ! Comme c’est arrangeant ! Et c’est comme ça pour tellement de choses ! Le pasteur va voir les Snell pour faire savoir qu’il a compris leur combine et qu’il refuse d’y participer ? Il devrait être exécuté dans l’instant en toute logique ! Eh bah non ! Les Snell prennent le risque de laisser se balader dans la nature un gars qui ne cesse de montrer qu’il cherche à rester immaculé ! C’est insensé de faire ça ! Pourquoi ne pas le tuer ?! Ah bah oui : c’est parce qu’il devait brûler son église parce que ça arrangeait le scénario ! Et pourquoi ne dénonce-t-il jamais les Snell et les Byrde ? Parce que ça arrange le scénario ! Et pourquoi l’état d’âme revient pile au moment du dernier épisode ? Pourquoi on bute sa femme plutôt qu’on le bute lui ? Tout ça – encore une fois – parce que ça arrange le scénario !
    La série ne cesse de jouer avec la logique et le hasard juste pour que ça l’arrange dès qu’elle n’arrive pas à se sortir d’une situation inextricable. Or, pour moi, ça, c’est juste le meilleur moyen pour me sortir de l’intrigue. Autant dire qu’à partir du moment où « Ozark » a commencé à jouer avec sa baguette de magie arrangeante, moi je me suis mis à décrocher. On peut mettre le pauvre Martin sous pression, je m’en fous parce que je sais que le hasard viendra toujours le sauver ! spoiler: Par exemple, dans le dernier épisode, lorsque Martin est arrêté dans la voiture de Del avec dans son coffre, certainement un cadavre, pour moi il était évident dès le départ que jamais le flic ne fouillerait le coffre ! Pourquoi ? Parce que c’était logique ? Non ! Bien sûr que non ! Aucune logique ne devait empêcher le flic de fouiller ce foutu coffre ! Non – encore une fois – ça n’allait pas se produire parce que ça arrangeait le scénario et c’est tout ! Or, devinez quoi ? C’est bien ce qu’il s’est passé !
    Pour le coup, là, plus que du « Breaking Bad » light, « Ozark » est vite devenu du sous « Breaking Bad ». Pire : c’est devenu un mauvais « Breaking Bad ». Et c’est bête, mais les trois derniers épisodes m’ont tellement laissé indifférent que j’ai du mal à m’imaginer en train de regarder la saison 2. En bref, ce ne sera pas encore pour cette fois-ci que Netflix fera une bonne pioche en termes de série… Dommage. Bon après, ce n’est que mon point de vue. Donc si vous n’êtes pas d’accord et que vous voulez qu’on en discute, n’hésitez pas et venez me retrouver sur lhommegrenouille.over-blog.com. Parce que le débat, moi j’aime ça… ;-)
    Stéphane R
    Stéphane R

    30 abonnés 454 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 27 avril 2020
    Une série dans l'esprit de "Breaking Bad" mais qui m'a plus captivé que le modèle original. Cette famille amorale qui justifie toutes les dérives, entraînant les enfants dans la tourmente sans vraiment d'hésitation des parents, provoque cet étrange fascination pour des situations "border-line" que nous ne vivrons jamais. Une sorte d'exploration virtuelle de l'âme humaine en perdition. Tout n'est pas crédible mais il y a ce parfum d'authenticité dans les dialogues (ceux du couple !) et je ne me suis ennuyé aucun épisode ( spoiler: avec un bémol pour la toute fin de la saison trois qui m'a peiné et qui traînait en longueur pour un final déprimant
    ). A voir, si vous n'avez pas besoin d'une comédie légère.
    Henrico
    Henrico

    162 abonnés 1 326 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 8 avril 2020
    « Ozark », nous rappelle à plusieurs égards la série de Vince Gilligan « Breaking Bad ». Quelques petites différences cependant sont notables. Du point de vue de la forme, Ozark est un tantinet plus glauque, et si les répliques sont aussi bien ciselées, voire souvent encore plus spirituelles que dans « Breaking Bad », l’humour décalé est, par contre, moins souvent présent. Du point de vue du fond, du scénario à la base, les protagonistes démarrent de manière différente. S’il y a une vraie innocence, au départ, chez Walter White, il n’y en a pas vraiment chez Marty Byrde. D’autre part, il y a un côté loup solitaire chez Walter, qu’il n’y aura plus chez Marty. Car celui-ci se fera seconder au sein même de sa famille. Mais les différences s’arrêtent là, car chez les deux protagonistes, il y a la même générosité, le même humanisme paradoxal. Et leur destin de machiavel du crime semble, dans les deux cas, n’être que le résultat de l’engrenage infernal dans lequel les jettent des êtres sans foi ni loi de la pègre. Au vu de l’excellence des deux premières saisons, on avait l’espoir que Bill Dubuque saurait nous maintenir autant, et aussi longtemps, en haleine que son confrère Vince Gilligan. A en juger par la Saison 3, les moindres doutes se sont estompés. Le scénario est aussi palpitant. Cette nouvelle saison apporte un surcroît d’intérêt à ceux qui voulaient mieux s’informer sur les techniques de blanchiment, et d’évasion fiscale. Outre l’excellence des acteurs déjà présents, un nouveau venu éclate vraiment à l’écran : Tom Pelphrey. Malgré la brièveté de son passage dans "Banshee", et la concurrence en excellence de ses partenaires, il avait fortement impressionné. Plus récemment, grâce à l’excellence de sa prestation, il avait même aidé la série « Iron Fist » à survivre une saison, en dépit de son incroyable nullité. Parions que son éblouissante performance dans cette 3ème saison de Ozark, l’amènera à être bientôt retenu pour des films ou séries de grande renommée. Une dernière chose : le nombre peu important de critiques exprimées sur ce site à propos de cette série, qui pourtant est un authentique chef-d’œuvre. L'explication vient peut-être de l'absolue nécessité à regarder la série en VO. Seul moyen de pleinement comprendre la psychologie des personnages beaucoup axée sur leurs accents (du Missouri péquenaud, du Missouri instruit, au branchouille de Chicago, entre autres...)
    Underslide42
    Underslide42

    33 abonnés 226 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 24 avril 2020
    Un scénario rondement tourné, avec des rebondissements qui nous tiennent en haleine tout au long de cette première saison.
    Michael R
    Michael R

    102 abonnés 1 248 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 14 février 2019
    Une recette proche de Breaking Bad qui se démarque par son cadre et ses couleurs. Jason Bateman est impérial devant ET derrière la caméra.
    Adrien
    Adrien

    82 abonnés 396 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 4 août 2017
    Une superbe série !!! Les acteurs sont excellents, le scénario est vraiment bien écrit, les décors sont magnifiques et la musique est superbe. Chaque épisode est captivant et plein de suspens, de tensions. Netflix a encore sorti une série qui vaut vraiment le coup d'œil. Jason Bateman et Laura Linney s'en sortent vraiment bien dans leurs rôles respectifs. Bref, une série à ne pas rater. Une vraie pépite. Franchement, je
    cette série à tout le monde. J'espère qu'il y aura une saison 2.
    MC feely
    MC feely

    77 abonnés 657 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 27 août 2017
    Série excellente avec une esthétique assez sublime faut le dire.Le rythme n'est pas forcément très soutenue mais ça n'empêche pas d'entrer dans la série qui instaure une bonne tension avec des personnages tous plus intéressants les uns que les autres.Je trouve que les dialogues de cette série sont aussi un gros point fort en tout cas pour ma part j'ai totalement accroché.4,5/5
    Le cinéphile iserois
    Le cinéphile iserois

    8 abonnés 19 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 13 avril 2020
    Une serie ou je n'avais pas retrouvait cette sensation de suspense et de génie depuis breaking bad a regarder sans modération évidemment
    Matthieu Chaperon
    Matthieu Chaperon

    13 abonnés 124 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 9 juin 2020
    Série dont on n'entend, à tort, quasiment jamais parler. Et pourtant, elle est d'une qualité incontestable, avec un scénario cinq étoiles, de magnifiques cadres et des acteurs tous à la hauteur. Sur ce dernier point, Jason Bateman se démarque nettement, non seulement dans son rôle de Marty Byrde, mais également en tant que réalisateur puisqu'il a produit plusieurs épisodes.
    Quelques points négatifs mineurs tout de même sont à noter. La saison 1, même si il faut poser le cadre, met du temps à démarrer et à captiver, ce qui a fait fuir de nombreux spectateurs de ce que j'ai pu lire dans les autres commentaires. Au niveau des personnages, je regrette que spoiler: Del Rio aie été éliminé aussi tôt, et d'autres tels que Three Langmore, qu'on ne voit quasiment jamais à l'écran, ou les enfants Byrde sont clairement sous-exploités. C'est dommage, surtout pour Jonah qui a un potentiel énorme et peut beaucoup apporter.

    En bref, cette série pas loin d'être méconnue mérite réellement le détour, ainsi qu'une saison 4 qui sera, je l'espère, commandée au plus vite par Netflix!
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 10 septembre 2018
    La note n'est pas anodine, ou faite pour faire remonter la moyenne. C'est simplement un pur chef d'oeuvre.

    Tout y est: scénario excellent, acteurs et personnages charismatiques, une saison 2 encore meilleure que le première (qui était déjà de très bonne facture), ambiance et photographie propre à la série.

    A la fin de la saison 2, ma femme et moi en avons conclu à la même chose: nous nous sentions orphelins depuis la fin de breaking bad. Ce vide est en grande partie comblé aujourd'hui. Longue vie à Ozark, avec je l'espère d'autres saisons à venir
    Patrick
    Patrick

    9 abonnés 79 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 4 août 2017
    Bonne série, mais le doublage français du personnage principal n'est pas à la hauteur. On reste tout de même assez loin de l'excellence de Breaking Bad, contrairement à ce que j'ai pu lire.
    Quelques invraisemblances également . Parmi les points positifs : on ne s'ennuie pas, certaines scènes sont surprenantes, quelques effets spéciaux sympas.
    Permet d'attendre le retour de séries plus " puissantes " sans trop perdre son temps.
    Zarkalexia
    Zarkalexia

    45 abonnés 401 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 10 mai 2020
    La saison 1 de Ozark est une perle ,
    Tout est vraisemblable ,
    Toutes les difficultés de ce gestionnaire d’affaire et les solutions trouvées sont intéressantes et nous tiennent en haleine .
    L’ambiance j’arrive dans un lieu fermé à toute nouvelle entrée avec un challenge et à la fin le réaliser ,
    Ça a vraiment été une bonne saison .
    Puis la saison 2 nous ramène sur terre , quelques personnages sont clichés et la trop belle réussite est trop facile . J’aurais aimé une plus grande expansion que de revenir tout le temps sur les mêmes problèmes .
    La troisième saison nous ravive la flamme de Marty je suis en transe et je me rappel pourquoi j’ai adoré ozark en premier lieu , tout était trop beau pour être vrai et on rentre vraiment dans la psychologie des personnages et sans bavure . Top
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