Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
7 critiques presse
Le Monde
par Martine Delahaye
Sur la cinquantaine de personnages impliqués dans ce trafic de cannabis entre l’Espagne, la France et le Maroc, deux, en particulier, que tout oppose électrisent la série et mettent leur entourage sous tension. Tout d’abord, la pelote de nerfs "El Feo" (le Vilain), qu’interprète Pedro Casablanc, remarquable acteur espagnol. Ce trafiquant polyglotte de Marbella, serpent sadique et cultivé, la soixantaine en mal d’enfant, offre le portrait de "méchant" le plus complexe et le plus intrigant jamais créé dans une série française. Et puis il y a la pelote de muscles Shams (Yasin Houicha, très convaincant), jeune banlieusard français.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télé Loisirs
par Michel Bessières
Jouant sur plusieurs registres – le romanesque avec la tragédie d’une famille déchirée par une trahison, l’aventure avec l’ingéniosité des faibles face à la cruauté des forts, le réalisme documentaire avec la mise en scène précise des flux et de la distribution du cannabis – l’histoire progresse au gré d’un scénario ambitieux, solidement charpenté et qui tient ses promesses jusqu’au bout.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Télérama
par Emilie Gavoille
Dans le cadre un peu étriqué qui s'offre à eux (six épisodes, c'est court !), les auteurs s'amusent à déplacer les codes du genre, tandis que Lucie Borleteau filme avec énergie ces gens au travail, fût-il un peu particulier et souvent d'une grande violence.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Plus saga familiale que série d’action, Cannabis parvient, malgré ses maigres moyens, à retourner le couteau dans la plaie du désordre social.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
L'Obs
par Sophie Grassin
Malgré la sûreté de la direction d'acteurs, des rebondissements parfois peu vraisemblables la font basculer dans ce que l'édition appelle un page turner efficace mais dépourvu de l'empreinte marquante qui fait les séries majeures.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Critictoo
par Thomas
Malgré les efforts d’interprétation d’un casting audacieux et frais, Cannabis ne sort jamais du rang. Même la violence, parfois un peu forcée d’ailleurs, ne permet pas d’enflammer le récit et délivrer plus de suspense.
La critique complète est disponible sur le site Critictoo
La Croix
par Cécile Jaurès
Malgré son originalité et ses ambitions louables, la série, mise en scène par Lucie Borleteau, peine malheureusement à convaincre. Au-delà de la crudité de certaines scènes (de sexe ou de violence) et de certains rebondissements invraisemblables, on ne s’attache pas vraiment aux personnages principaux.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
Sur la cinquantaine de personnages impliqués dans ce trafic de cannabis entre l’Espagne, la France et le Maroc, deux, en particulier, que tout oppose électrisent la série et mettent leur entourage sous tension. Tout d’abord, la pelote de nerfs "El Feo" (le Vilain), qu’interprète Pedro Casablanc, remarquable acteur espagnol. Ce trafiquant polyglotte de Marbella, serpent sadique et cultivé, la soixantaine en mal d’enfant, offre le portrait de "méchant" le plus complexe et le plus intrigant jamais créé dans une série française. Et puis il y a la pelote de muscles Shams (Yasin Houicha, très convaincant), jeune banlieusard français.
Télé Loisirs
Jouant sur plusieurs registres – le romanesque avec la tragédie d’une famille déchirée par une trahison, l’aventure avec l’ingéniosité des faibles face à la cruauté des forts, le réalisme documentaire avec la mise en scène précise des flux et de la distribution du cannabis – l’histoire progresse au gré d’un scénario ambitieux, solidement charpenté et qui tient ses promesses jusqu’au bout.
Télérama
Dans le cadre un peu étriqué qui s'offre à eux (six épisodes, c'est court !), les auteurs s'amusent à déplacer les codes du genre, tandis que Lucie Borleteau filme avec énergie ces gens au travail, fût-il un peu particulier et souvent d'une grande violence.
Les Inrockuptibles
Plus saga familiale que série d’action, Cannabis parvient, malgré ses maigres moyens, à retourner le couteau dans la plaie du désordre social.
L'Obs
Malgré la sûreté de la direction d'acteurs, des rebondissements parfois peu vraisemblables la font basculer dans ce que l'édition appelle un page turner efficace mais dépourvu de l'empreinte marquante qui fait les séries majeures.
Critictoo
Malgré les efforts d’interprétation d’un casting audacieux et frais, Cannabis ne sort jamais du rang. Même la violence, parfois un peu forcée d’ailleurs, ne permet pas d’enflammer le récit et délivrer plus de suspense.
La Croix
Malgré son originalité et ses ambitions louables, la série, mise en scène par Lucie Borleteau, peine malheureusement à convaincre. Au-delà de la crudité de certaines scènes (de sexe ou de violence) et de certains rebondissements invraisemblables, on ne s’attache pas vraiment aux personnages principaux.