Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Newsday
par Verne Gay
Une idée de départ marrante qui ne parvient pas vraiment à se transformer en "série marrante". Mais son casting solide et quelques répliques bien trouvées laissent penser que cette parodie de super-héros finira par y arriver.
La critique complète est disponible sur le site Newsday
The A.V. Club
par Danette Chavez
L'aspect comédie de bureau aurait besoin d'être davantage mis en avant, afin de maintenir l'intérêt du téléspectateur sur la longueur. Mais avec des talents tels que Pudi et Tudyk, et même Hudgens, cela ne devrait pas relever de l'exploit super-héroïque pour Powerless.
La critique complète est disponible sur le site The A.V. Club
Entertainment weekly
par Shirley Li
Powerless cherche à être plus qu'une comédie de bureau traditionnelle, mais son postulat de départ ("hey, la lassitude des super-héros c'est hilarant, non ?") est finalement sa kryptonite.
La critique complète est disponible sur le site Entertainment weekly
Los Angeles Times
par Robert Lloyd
Sur la base de son épisode pilote (le seul montré à la presse en amont), Powerless est une série plaisante, malgré un côté un peu vieux jeu sur le plan formel. Mais avec un casting de qualité comprenant Vanessa Hudgens, Danny Pudi, Ron Funches, Alan Tudyk, et Christina Kirk, elle semble faite pour être une compagne de grille idéale pour la confirmée Superstore.
La critique complète est disponible sur le site Los Angeles Times
Variety
par Sonia Saraiya
Powerless traite des super-héros et de leurs super-pouvoirs de manière drôle, légère, et habile, ce qui constitue une bouffée d'air frais nécessaire, face à l'angoisse et au sérieux qui caractérisent tant de super-héros sur le petit écran, qui passent leur temps à tenter de sauver le monde.
La critique complète est disponible sur le site Variety
New York Times
par Mike Hale
Powerless est décalée et agréable, mais pas particulièrement drôle. Quant aux situations censées provoquer les rires, elles ne se démarquent en rien de ce qui s'est fait auparavant dans le genre de la comédie de bureau.
La critique complète est disponible sur le site New York Times
Vulture
par Jen Chaney
L'intégralité de son casting a beau être talentueux, les personnages semblent manquer grandement d'épaisseur à ce stade.
La critique complète est disponible sur le site Vulture
The Hollywood Reporter
par Tim Goodman
Powerless pourrait bien dissimuler une série qui fonctionne, voire une série vraiment marrante. Mais ça, il faudra sûrement attendre 5 ou 6 épisodes pour le savoir, et pour le moment un seul épisode a été montré à la presse.
La critique complète est disponible sur le site The Hollywood Reporter
USA Today
par Robert Bianco
Si Powerless souhaite devenir une vraie comédie, et non plus juste un moyen inoffensif de passer le temps, il va falloir qu'elle donne à son casting quelque chose à faire qui puisse être considéré comme drôle. Car pour l'instant, quels que soient les pouvoirs que la série possède, le pouvoir de nous faire rire n'en fait pas partie.
La critique complète est disponible sur le site USA Today
Washington Post
par Hank Stuever
La plupart des blagues tombent à plat. Et c'est finalement quand elle décrit l'indifférence des citoyens de Charm City face à leur dose quotidienne de chaos qu'elle parvient à être intéressante.
La critique complète est disponible sur le site Washington Post
We Got This Covered
par Mitchel Broussard
Il y a des moments de sursauts de comédie, notamment grâce au personnage d'assistante juste ce qu'il faut de détestable joué par Christina Kirk. Mais bien souvent, Powerless est juste fainéante. (…) En terme de blagues, de gags visuels, d'écriture, ou de réalisation, la série est étonnamment très moyenne.
La critique complète est disponible sur le site We Got This Covered
Pittsburg Post-Gazette
par Rob Owen
Si Powerless avait été drôle, son manque de super-héros connus serait excusable. Mais face au peu de choses marrantes qu'on lui propose, le téléspectateur est assez vite ennuyé pour en venir à imaginer tout ce que la série aurait pu être, mais n'est tout simplement pas.
La critique complète est disponible sur le site Pittsburg Post-Gazette
The Salt Lake Tribune
par Scott D. Pierce
Le pitch de départ est réussi, mais la série n'est malheureusement pas drôle. Une vraie déception.
La critique complète est disponible sur le site The Salt Lake Tribune
San Francisco Chronicle
par David Wiegand
Powerless est dénuée d'intrigue, d'humour, de rires, et d'intérêt. Moins on en dit, mieux c'est.
La critique complète est disponible sur le site San Francisco Chronicle
Newsday
Une idée de départ marrante qui ne parvient pas vraiment à se transformer en "série marrante". Mais son casting solide et quelques répliques bien trouvées laissent penser que cette parodie de super-héros finira par y arriver.
The A.V. Club
L'aspect comédie de bureau aurait besoin d'être davantage mis en avant, afin de maintenir l'intérêt du téléspectateur sur la longueur. Mais avec des talents tels que Pudi et Tudyk, et même Hudgens, cela ne devrait pas relever de l'exploit super-héroïque pour Powerless.
Entertainment weekly
Powerless cherche à être plus qu'une comédie de bureau traditionnelle, mais son postulat de départ ("hey, la lassitude des super-héros c'est hilarant, non ?") est finalement sa kryptonite.
Los Angeles Times
Sur la base de son épisode pilote (le seul montré à la presse en amont), Powerless est une série plaisante, malgré un côté un peu vieux jeu sur le plan formel. Mais avec un casting de qualité comprenant Vanessa Hudgens, Danny Pudi, Ron Funches, Alan Tudyk, et Christina Kirk, elle semble faite pour être une compagne de grille idéale pour la confirmée Superstore.
Variety
Powerless traite des super-héros et de leurs super-pouvoirs de manière drôle, légère, et habile, ce qui constitue une bouffée d'air frais nécessaire, face à l'angoisse et au sérieux qui caractérisent tant de super-héros sur le petit écran, qui passent leur temps à tenter de sauver le monde.
New York Times
Powerless est décalée et agréable, mais pas particulièrement drôle. Quant aux situations censées provoquer les rires, elles ne se démarquent en rien de ce qui s'est fait auparavant dans le genre de la comédie de bureau.
Vulture
L'intégralité de son casting a beau être talentueux, les personnages semblent manquer grandement d'épaisseur à ce stade.
The Hollywood Reporter
Powerless pourrait bien dissimuler une série qui fonctionne, voire une série vraiment marrante. Mais ça, il faudra sûrement attendre 5 ou 6 épisodes pour le savoir, et pour le moment un seul épisode a été montré à la presse.
USA Today
Si Powerless souhaite devenir une vraie comédie, et non plus juste un moyen inoffensif de passer le temps, il va falloir qu'elle donne à son casting quelque chose à faire qui puisse être considéré comme drôle. Car pour l'instant, quels que soient les pouvoirs que la série possède, le pouvoir de nous faire rire n'en fait pas partie.
Washington Post
La plupart des blagues tombent à plat. Et c'est finalement quand elle décrit l'indifférence des citoyens de Charm City face à leur dose quotidienne de chaos qu'elle parvient à être intéressante.
We Got This Covered
Il y a des moments de sursauts de comédie, notamment grâce au personnage d'assistante juste ce qu'il faut de détestable joué par Christina Kirk. Mais bien souvent, Powerless est juste fainéante. (…) En terme de blagues, de gags visuels, d'écriture, ou de réalisation, la série est étonnamment très moyenne.
Pittsburg Post-Gazette
Si Powerless avait été drôle, son manque de super-héros connus serait excusable. Mais face au peu de choses marrantes qu'on lui propose, le téléspectateur est assez vite ennuyé pour en venir à imaginer tout ce que la série aurait pu être, mais n'est tout simplement pas.
The Salt Lake Tribune
Le pitch de départ est réussi, mais la série n'est malheureusement pas drôle. Une vraie déception.
San Francisco Chronicle
Powerless est dénuée d'intrigue, d'humour, de rires, et d'intérêt. Moins on en dit, mieux c'est.