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Daniel Schettino
25 abonnés
241 critiques
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0,5
Publiée le 25 mai 2021
Ça ne fonctionne pas. Je me réjouissais de voir Ted Danson dans une nouvelle série, après le formidable Bored to Death, mais là dès les premières minutes, c'est la déception qui s'installe. On ne rentre pas dans l'histoire. Le casting apparaît très mauvais. On a l'impression qu'à force de vouloir plaire à tout le monde, on ne plait à personne. Et puis ce politiquement correct avec une touche soit-disant insolente, est barbant. On a l'impression d'être dans le clip étouffant “Chained To The Rhythm” de Katy Perry, qui se passe dans l'univers d'un parc d'attraction, où tout le monde est censé être heureux, mais c'est l'effet inverse qui se produit, car on a plutôt envie de s'enfuir à toutes jambes de cet univers oppressant, cet enfer. Si c'est ça le bon endroit ! C'est à devenir fou. On est dans une aliénation totale. Vous vous imaginez de vivre pendant des siècles, des millénaires, entourés par ces personnages ? De quoi vous flinguer. Mais c'est insupportable, ils ne le voient pas ? Et puis parlons de leurs valeurs ! On est dans une dictature morale. Peut-on avoir des opinions différentes de celles que l'on voit dans la série ? Vraiment on a atteint le fond avec cette série. Cette série est en pleine idéologie culturelle contestable. Elle est dans l'utopie et la démagogie. Je ne veux pas de ça. Les scénaristes sont empêtrés dans des calculs erronés pour séduire un certain public. Ce sera sans moi. Je ne veux pas de cette corruption morale.
"The Good Place", ce serait comme un emballage somptueux d'un cadeau qui vous est fait et qui dévoile un cadeau que vous revendez direct.
Le contexte est très bon. On sort des sentiers battus, il y a de la folie là-dedans, de la créativité. Tout est en place pour s'enthousiasmer. Mention spéciale à Janet, l'I.A. d'une candeur touchante.
Le problème de "The Good Place" tient à un casting catastrophique qui n'aide pas à accentuer la folie des idées développées. Ted Danson est trop stéréotypé. Kristen Bell est ennuyante, voir inexpressive. Chidi, de même. Recréons le casting : Jennifer Aniston à la place de Kristen Bell, Larry David à la place de Ted Danson... ça, ça aurait eu de la gueule !
Au vu du sujet, il m'était vraiment difficile de passer à côté de « The Good Place », série se révélant rapidement inclassable aussi bien par son étonnant mélange des genres que son décalage constant vis-à-vis de ce qu'elle raconte. Pas de fioritures : nous sommes d'emblée plongés dans ce monde très (très) coloré rappelant aisément les couleurs criardes de « Pushing Daisies » (autre série « légère » sur un thème qui l'était beaucoup moins), où les enjeux sont rapidement clairs et identifiés, ce qui n'empêche nullement la série de s'enrichir de révélations au fil des épisodes.
Nous restons souvent dans une logique très sitcom (ce qui n'est pas un reproche, ne serait-ce que par sa durée), où l'écriture est reine, avec le maximum de répliques réjouissantes à balancer par épisode, sans jamais perdre de vue ses délicieux personnages (excellemment interprétés : tous sont à saluer mais Kristen Bell et surtout Ted Danson sont irrésistibles) ou son point de départ : à ce titre, si on pouvait craindre un essoufflement, saluons le talent de Michael Schur pour se renouveler presque constamment, ne donnant presque jamais (ou alors volontairement) une impression de répétition, son affection pour les protagonistes (dont il n'a toutefois pas peur de se moquer!) étant évidente à chaque instant.
C'est drôle, (im)pertinent, parfois un poil lourd et soulevant, presque mine de rien, beaucoup de réflexions captivantes, jusqu'à ce rebondissement final (que j'avais envisagé) rebattant totalement les cartes avant la deuxième saison. D'ici là, qu'il est bon d'avoir pu faire connaissance avec cet univers et ses (anti?)-héros : en espérant que leurs futures péripéties se révéleront aussi réjouissantes (même si, malheureusement, je sais déjà que ce n'est pas le cas).
Ca décoiffe, c'est très américain. Cela tient du chef d'oeuvre cependant tout est fait à visée humoristique alors que le contexte est supraontologique avec des extra-terrestres tortueux qui détiennent l'au delà des humains, l'afterlife, rien que cela. Le dilemme est de savoir si c'est amusant ou non. Pour être concis je me réfèrerais à l'alinéa 572 page 11214 volume 74 de mon introduction aux conséquences des choix éthiques dans l'usage de la fiction pour l'Histoire de l'humanité : l'essentiel est que cela tende à être positif.
La saison une est très bien, l'humour est vraiment bien géré et l'univers est assez drôle, l'histoire est prenante avec des personnages super attachants malgré leur caractère.
Avis Bref de la première saison de The Good Place ;
Bon bah pas super fan ... j'ai mit quelques jours pour la voir avec un peu de mal .. sa manque d'humour et d'autres choses pourtant le duo était intéressant. . Enfin bref, seconde saison tu attendra 😂😂
Après une mort aussi tragique que ridicule, Eleanor Shellstrop arrive dans l'au-delà, dans un endroit appelé The Good Place. Ravie de se retrouver dans une sorte de Paradis, Eleanor découvre surtout qu'elle n'a pas sa place à cet endroit. En effet, l'administration des lieux l'a confondu avec une autre Eleanor Shellstrop ! Toute sa vie, Eleanor n'a fait qu'être une mauvaise personne, désagréable avec tout le monde, égoïste, méchante et infernale. Réalisant qu'elle n'a pas du tout envie d'être en enfer, elle décide d'apprendre à être une bonne personne auprès de Chidi, un professeur en éthique que l'endroit lui a désigné comme étant son âme sœur. Mais elle n'est pas au bout de ses surprises... De ce pitch déjà prometteur et alléchant, bourré d'idées géniales (comme le fait qu'on ne puisse pas jurer au Bon Endroit), Michael Schur, l'un des co-créateurs de l'hilarante "Parks and Recreation", va aller plus loin. Alors que la série pourrait uniquement se reposer sur le dilemme d'Eleanor et son envie de rester au Bon Endroit, "The Good Place" ne tarde pas à faire preuve d'une belle inventivité narrative, comme si elle se refusait constamment à se reposer sur ses acquis. En témoigne un goût du cliffhanger bien senti à chaque fin d'épisode et une deuxième partie de saison nous amenant beaucoup plus loin qu'on ne le pensait en termes d'enjeux dramatiques. Le tout, bien écrit malgré quelques petites facilités (le format de 22 minutes par épisode force parfois à accélérer des décisions des personnages) devient vite attachant par son humour bien dosé et ses personnages, finissant tous par devenir terriblement attachants. Interprété par un casting au top (Kristen Bell et Ted Danson que l'on a toujours plaisir à retrouver mais aussi William Jackson Harper, l'hilarant Manny Jacinto ou encore l'étonnante et superbe Jameela Jamil), "The Good Place" se dévore très rapidement et surtout sait surprendre jusqu'au bout, comme le montre le final de cette première saison, venant complètement rebattre les cartes de la série et promettre une deuxième saison aux enjeux drastiquement différents.
Très bonne saison qui m'a fait beaucoup rire ! J'aime énormément Michael et je trouve ça assez original. En revanche, je suis gênée par les notions de philosophie que je trouve jetées sur le feu comme ça, sans aucune précaution, ni même de recherche. Un exemple, dans l'un des épisodes de la S1 quand ils prévoient de...
spoiler: Tuer Janet et que Chidi annonce que Machiavel est loin d'être comme Oprah Winfrey et qui, je suppose, est une mauvaise personne. Sauf que... Il faudrait peut-être se renseigner sur qui était ce philosophe. J'avoue que ça, ça m'a gêné.
Incroyable première saison, Conduite par des acteurs de talent et un scénario assez intéressant. J’ai passer un très bon moment et je trouve le personnage de Janet tellement hilarant
Série au format assez cours mais à la quelle il ne faut pas passer à côté
Ce genre de série américaine, on sent trop la mise en scène basée un peu trop sur l'exagération des faits, pour bousculer le rire naturel avec un peu trop de niaiserie à mon goût, mais 7 c'est déjà pas mal.