Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Boston Globe
par Matthew Gilbert
Visuellement, The Deuce est impeccable et vous transporte (...) Comme avec The Wire et Treme, on rencontre une large palette de personnages issus de différentes cultures, la plupart d'entre eux sont remarquablement écrits, dans le détail, et interprétés par des acteurs de choix (...) ces histoires mises bout à bout forment lentement mais sûrement un seul grand canevas représentant des américains de la frange de notre système économique.
La critique complète est disponible sur le site Boston Globe
Wall Street Journal
par Dorothy Rabinowitz
C'est le genre de récit -exubérant, émouvant, brutal et documenté avec une touche de mystère humain- dont chaque chapitre donne envie d'en dévorer toujours plus. Un travail incroyable à tous les niveaux.
La critique complète est disponible sur le site Wall Street Journal
DailyMars
par Yann Kerjan
Franco est très adroit dans une reconstitution qui lui correspond bien. Il bénéficie surtout d’un personnage bien plus nuancé que celui qu’il tenait récemment dans 11.22.63. Mais on retiendra surtout la performance monumentale de Maggie Gyllenhaal (…) qui brille de mille feux alors que la trajectoire de son personnage (Candy) décline de manière implacable.
La critique complète est disponible sur le site DailyMars
Vanity Fair
par Emilie Semiramoth
The Deuce restitue avec maestria un New York des années 70 jonché de détritus où tout pourrait paraître sale et rebutant, y compris son sujet, mais David Simon parvient à en faire non seulement un objet de réflexion mais aussi une œuvre terriblement authentique, pétrie d'une grande humanité.
La critique complète est disponible sur le site Vanity Fair
Brain Damaged
par Aïssatou Loum
Plus qu’une série sur le business du sexe, The Deuce traite avant tout d’humains derrière le business et c’est ça qui fera probablement la force de la série avant tout. Tout n’est pas toujours rose et les scénaristes racontent avec intelligence cette histoire.
La critique complète est disponible sur le site Brain Damaged
Collider
par Allison Keene
Ce qui rend The Deuce si bonne, c'est ses sujets, la cadence et le réalisme de ses dialogues, et ses prestations aussi osées que vulnérables. Elle capture son époque de façon extraordinaire, des cigarettes aux restaurants, en passant par les klaxons dans la rue et les journaux qui bruissent sur le pavé au petit matin. Et rien ne semble forcé, dans le clin d'oeil ou l'éducatif.
La critique complète est disponible sur le site Collider
Les Inrockuptibles
par Olivier Joyard
Ici, la croyance dans le romanesque dirige tout, et s’appuie sur une forme d’approfondissement et de dépassement du réalisme. En voyant la série, on saisit à quel point Simon et Pelecanos, qui se sont entourés pour écrire de scénaristes femmes, gays et trans, sont obsédés comme peu d’autres par la matière humaine des histoires qu’ils veulent raconter.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Clélia Cohen
Ceux qui s’attendaient à un «dossier» sur le sujet peuvent donc aller se rhabiller. Si le sujet est présent par petites touches, ce n’est qu’à l’épisode 6 que l’on entre réellement dans le business - et cette première saison en comprend huit… Mais on aura eu suffisamment d’indices pour saisir cette époque où les bobines s’échangeaient encore sous le manteau.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Benjamin Rozovas
Reconstitution glorieuse du strip et de ses cinémas "de marque" dégoûtants, image sous-exposée, scènes de rue en éclairage direct... Simon et Pelecanos cherchent à rivaliser avec la patine urbaine de Mean Streets, Taxi Driver ou Panique à Needle Park, et y parviennent parfois de façon bluffante (…) Le seul bémol, s’il y en a un, vient du format anémique de huit épisodes.
La critique complète est disponible sur le site Première
TVLine
par Dave Nemetz
La clé du succès de The Deuce est son écriture. Certains clichés familiers sont inévitablement repris, mais Simon et Pelecanos ont trouvé un moyen d'aller au-delà, de les approfondir et d'en extirper la vérité vitale (...) Ils semblent avoir compris que ce n'est pas une ère que l'on aimerait revivre mais que l'on peut néanmoins trouver agréable à observer à distance.
La critique complète est disponible sur le site TVLine
The Hollywood Reporter
par Dan Fienberg
Cette saison 1 qui fait office d'introduction en 8 épisodes à tout un univers est provocante, amusante et primordiale. C'est un voyage au coeur d'une certaine idée de l'enfer, mais j'ai hâte de m'y re-plonger.
La critique complète est disponible sur le site The Hollywood Reporter
Télérama
par Pierre Langlais
On se demande un temps où il veut en venir, mais Simon préfère nous rendre son univers familier avant d’introduire le sujet central de The Deuce (…) La virtuosité du récit et de la mise en scène fait oublier quelques choix un peu faciles – on ne saisit pas bien l’intérêt, par exemple, du double rôle de James Franco – mais la puissance du message de la série finit par nous captiver.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Variety
par Sonya Saraiya
Malgré la présence d'une quarantaine de personnages différents qui requiert un peu de temps pour associer efficacement le rythme des épisodes à la cadence de chacune de leurs vies, The Deuce nous introduit à un monde fascinant : du passé, mais pour lequel on ne ressent pas de nostalgie, qui sent le vécu et sans superficialités. Il se passe peut-être trop de choses, mais toutes ces choses sont agréables à suivre.
La critique complète est disponible sur le site Variety
indieWIRE
par Ben Travers
Il y a bien plus à retirer de cette première saison que le sexe, les drogues et le rock'n'roll. Les téléspectateurs ont plutôt intérêt à scruter chaque scène avec attention, même s'il est plus facile de se laisser porter sans trop réfléchir.
La critique complète est disponible sur le site indieWIRE
Critictoo
par Fabien
Comme toujours avec ces scénaristes, c’est une histoire à dimension humaine qui prime et cela n’empêche pas l’humour et les émotions, bien au contraire. Concrètement, le principal problème de cette introduction est qu’elle fait un travail assez pauvre pour dessiner les grandes lignes narratives du show (…) pour donner un élan à l’ensemble, il manque une véritable accroche.
La critique complète est disponible sur le site Critictoo
Newsday
par Verne Gay
La vaste distribution est excellente, mais il n'y a pas d'intrigue forte avant au moins le 5e épisode. C'est horriblement long comme attente sachante qu'il n'y a que huit épisodes ! Mais, au moins, The Deuce parvient à la récompenser.
La critique complète est disponible sur le site Newsday
Vulture
par Matt Zoller Seitz
Malgré les beaux efforts des scénaristes et de (qui est devenue productrice de la série en partie pour s'assurer que son personnage serait bien servi), il y a des moments où The Deuce semble perdre la force de sa vision du monde et où les situations censées dénoncer le système d'exploitation le deviennent elles-mêmes d'une certaine façon."
La critique complète est disponible sur le site Vulture
Boston Globe
Visuellement, The Deuce est impeccable et vous transporte (...) Comme avec The Wire et Treme, on rencontre une large palette de personnages issus de différentes cultures, la plupart d'entre eux sont remarquablement écrits, dans le détail, et interprétés par des acteurs de choix (...) ces histoires mises bout à bout forment lentement mais sûrement un seul grand canevas représentant des américains de la frange de notre système économique.
Wall Street Journal
C'est le genre de récit -exubérant, émouvant, brutal et documenté avec une touche de mystère humain- dont chaque chapitre donne envie d'en dévorer toujours plus. Un travail incroyable à tous les niveaux.
DailyMars
Franco est très adroit dans une reconstitution qui lui correspond bien. Il bénéficie surtout d’un personnage bien plus nuancé que celui qu’il tenait récemment dans 11.22.63. Mais on retiendra surtout la performance monumentale de Maggie Gyllenhaal (…) qui brille de mille feux alors que la trajectoire de son personnage (Candy) décline de manière implacable.
Vanity Fair
The Deuce restitue avec maestria un New York des années 70 jonché de détritus où tout pourrait paraître sale et rebutant, y compris son sujet, mais David Simon parvient à en faire non seulement un objet de réflexion mais aussi une œuvre terriblement authentique, pétrie d'une grande humanité.
Brain Damaged
Plus qu’une série sur le business du sexe, The Deuce traite avant tout d’humains derrière le business et c’est ça qui fera probablement la force de la série avant tout. Tout n’est pas toujours rose et les scénaristes racontent avec intelligence cette histoire.
Collider
Ce qui rend The Deuce si bonne, c'est ses sujets, la cadence et le réalisme de ses dialogues, et ses prestations aussi osées que vulnérables. Elle capture son époque de façon extraordinaire, des cigarettes aux restaurants, en passant par les klaxons dans la rue et les journaux qui bruissent sur le pavé au petit matin. Et rien ne semble forcé, dans le clin d'oeil ou l'éducatif.
Les Inrockuptibles
Ici, la croyance dans le romanesque dirige tout, et s’appuie sur une forme d’approfondissement et de dépassement du réalisme. En voyant la série, on saisit à quel point Simon et Pelecanos, qui se sont entourés pour écrire de scénaristes femmes, gays et trans, sont obsédés comme peu d’autres par la matière humaine des histoires qu’ils veulent raconter.
Libération
Ceux qui s’attendaient à un «dossier» sur le sujet peuvent donc aller se rhabiller. Si le sujet est présent par petites touches, ce n’est qu’à l’épisode 6 que l’on entre réellement dans le business - et cette première saison en comprend huit… Mais on aura eu suffisamment d’indices pour saisir cette époque où les bobines s’échangeaient encore sous le manteau.
Première
Reconstitution glorieuse du strip et de ses cinémas "de marque" dégoûtants, image sous-exposée, scènes de rue en éclairage direct... Simon et Pelecanos cherchent à rivaliser avec la patine urbaine de Mean Streets, Taxi Driver ou Panique à Needle Park, et y parviennent parfois de façon bluffante (…) Le seul bémol, s’il y en a un, vient du format anémique de huit épisodes.
TVLine
La clé du succès de The Deuce est son écriture. Certains clichés familiers sont inévitablement repris, mais Simon et Pelecanos ont trouvé un moyen d'aller au-delà, de les approfondir et d'en extirper la vérité vitale (...) Ils semblent avoir compris que ce n'est pas une ère que l'on aimerait revivre mais que l'on peut néanmoins trouver agréable à observer à distance.
The Hollywood Reporter
Cette saison 1 qui fait office d'introduction en 8 épisodes à tout un univers est provocante, amusante et primordiale. C'est un voyage au coeur d'une certaine idée de l'enfer, mais j'ai hâte de m'y re-plonger.
Télérama
On se demande un temps où il veut en venir, mais Simon préfère nous rendre son univers familier avant d’introduire le sujet central de The Deuce (…) La virtuosité du récit et de la mise en scène fait oublier quelques choix un peu faciles – on ne saisit pas bien l’intérêt, par exemple, du double rôle de James Franco – mais la puissance du message de la série finit par nous captiver.
Variety
Malgré la présence d'une quarantaine de personnages différents qui requiert un peu de temps pour associer efficacement le rythme des épisodes à la cadence de chacune de leurs vies, The Deuce nous introduit à un monde fascinant : du passé, mais pour lequel on ne ressent pas de nostalgie, qui sent le vécu et sans superficialités. Il se passe peut-être trop de choses, mais toutes ces choses sont agréables à suivre.
indieWIRE
Il y a bien plus à retirer de cette première saison que le sexe, les drogues et le rock'n'roll. Les téléspectateurs ont plutôt intérêt à scruter chaque scène avec attention, même s'il est plus facile de se laisser porter sans trop réfléchir.
Critictoo
Comme toujours avec ces scénaristes, c’est une histoire à dimension humaine qui prime et cela n’empêche pas l’humour et les émotions, bien au contraire. Concrètement, le principal problème de cette introduction est qu’elle fait un travail assez pauvre pour dessiner les grandes lignes narratives du show (…) pour donner un élan à l’ensemble, il manque une véritable accroche.
Newsday
La vaste distribution est excellente, mais il n'y a pas d'intrigue forte avant au moins le 5e épisode. C'est horriblement long comme attente sachante qu'il n'y a que huit épisodes ! Mais, au moins, The Deuce parvient à la récompenser.
Vulture
Malgré les beaux efforts des scénaristes et de (qui est devenue productrice de la série en partie pour s'assurer que son personnage serait bien servi), il y a des moments où The Deuce semble perdre la force de sa vision du monde et où les situations censées dénoncer le système d'exploitation le deviennent elles-mêmes d'une certaine façon."