Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
L'Express
par Igor Hansen-Love
Ce récit initiatique au coeur du mal met en scène le basculement moral de son protagoniste, sans jamais avoir recours à la psychologie. On pense aux romans de Joseph Conrad, pour l'atmosphère exotique délétère qui s'en dégage, mais aussi aux grands westerns hollywoodiens, pour la violence explosive qui peut surgir à chaque instant (…) Avec Guyane, Canal+ tient l'une de ses créations les plus originales.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Monde
par Pierre Serisier
L’idée est astucieuse de moderniser un genre qu’on voudrait croire désuet, incompatible avec le XXIe siècle et qui inspire d’abord de la nostalgie sinon de la compassion (…) Tous les archétypes du western sont réunis et transposés dans un environnement qu’on imaginait pas.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Figaro Magazine
par Constance Jamet
Guyane assume ces archétypes d’aventuriers qui ne se réalisent que dans le déracinement et la fuite. Comme la chaleur moite de la forêt, l’intrigue avance alanguie. Mais si la série a le don de nous fasciner, c’est parce qu’elle nous entraîne ailleurs, dans ce territoire lointain sublimé par la caméra de Kim Chapiron.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro Magazine
Télé Loisirs
par Anne Lenoir
Les images de Guyane, dépaysantes à souhait, sont splendides et les acteurs particulièrement inspirés. Toutefois, le récit de la série peine parfois à susciter l'empathie pour les personnages. Néanmoins, la réalisation se révèle particulièrement léchée et permet donc aux téléspectateurs de ressentir la moiteur de la jungle et de sentir le danger de la forêt amazonienne.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Brain Damaged
par Asma El Mardi
Parfois polar, parfois film d’aventure, typé western, entre exploration de territoires inconnus et exotiques, même si français, Guyane est un peu une série multi-genre, à vocation hybride, sans pour autant réussir à trouver un équilibre, surtout dans son premier épisode aux scènes d’expositions beaucoup trop longues.
La critique complète est disponible sur le site Brain Damaged
DailyMars
par Yann Kerjan
Pris entre le désir d’encourager une œuvre qui fait le pari du genre et le constat que cette histoire ne déclenche pas l’intérêt minimal escompté, on ne peut que regretter la légèreté employée pour caractériser des personnages grossiers et jobards.
La critique complète est disponible sur le site DailyMars
Ouest France
par Pascale Le Garrec
Les personnages manquent de densité et inspirent peu d’empathie. On appréhende rapidement leurs psychologies et ce qui les guide. La série surfe sur l’action et l’aventure, mais ça ne suffit pas. On se lasse vite des attaques, fusillades, guets-apens et autres chausse-trappe, surtout si l’on est ni mordue de westerns ni passionnée de films d’aventures.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Télérama
par Pierre Langlais
Guyane s'appuie sur une certaine réalité de l'orpaillage pour imaginer un drame voulu étouffant, écrasé sous la chaleur moite de la jungle, tendu par les menaces conjuguées de la nature luxuriante et des chercheurs d'or criminels. La tentative est courageuse, mais échoue à nous captiver.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
Ce récit initiatique au coeur du mal met en scène le basculement moral de son protagoniste, sans jamais avoir recours à la psychologie. On pense aux romans de Joseph Conrad, pour l'atmosphère exotique délétère qui s'en dégage, mais aussi aux grands westerns hollywoodiens, pour la violence explosive qui peut surgir à chaque instant (…) Avec Guyane, Canal+ tient l'une de ses créations les plus originales.
Le Monde
L’idée est astucieuse de moderniser un genre qu’on voudrait croire désuet, incompatible avec le XXIe siècle et qui inspire d’abord de la nostalgie sinon de la compassion (…) Tous les archétypes du western sont réunis et transposés dans un environnement qu’on imaginait pas.
Le Figaro Magazine
Guyane assume ces archétypes d’aventuriers qui ne se réalisent que dans le déracinement et la fuite. Comme la chaleur moite de la forêt, l’intrigue avance alanguie. Mais si la série a le don de nous fasciner, c’est parce qu’elle nous entraîne ailleurs, dans ce territoire lointain sublimé par la caméra de Kim Chapiron.
Télé Loisirs
Les images de Guyane, dépaysantes à souhait, sont splendides et les acteurs particulièrement inspirés. Toutefois, le récit de la série peine parfois à susciter l'empathie pour les personnages. Néanmoins, la réalisation se révèle particulièrement léchée et permet donc aux téléspectateurs de ressentir la moiteur de la jungle et de sentir le danger de la forêt amazonienne.
Brain Damaged
Parfois polar, parfois film d’aventure, typé western, entre exploration de territoires inconnus et exotiques, même si français, Guyane est un peu une série multi-genre, à vocation hybride, sans pour autant réussir à trouver un équilibre, surtout dans son premier épisode aux scènes d’expositions beaucoup trop longues.
DailyMars
Pris entre le désir d’encourager une œuvre qui fait le pari du genre et le constat que cette histoire ne déclenche pas l’intérêt minimal escompté, on ne peut que regretter la légèreté employée pour caractériser des personnages grossiers et jobards.
Ouest France
Les personnages manquent de densité et inspirent peu d’empathie. On appréhende rapidement leurs psychologies et ce qui les guide. La série surfe sur l’action et l’aventure, mais ça ne suffit pas. On se lasse vite des attaques, fusillades, guets-apens et autres chausse-trappe, surtout si l’on est ni mordue de westerns ni passionnée de films d’aventures.
Télérama
Guyane s'appuie sur une certaine réalité de l'orpaillage pour imaginer un drame voulu étouffant, écrasé sous la chaleur moite de la jungle, tendu par les menaces conjuguées de la nature luxuriante et des chercheurs d'or criminels. La tentative est courageuse, mais échoue à nous captiver.