Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
5 critiques presse
Blabla-Séries
par Julien Dufresne-Lamy
Avec Nashville, Mornings et l'épisode final, l'auteur propose à la façon d'un Louie ou d'une Lena Dunham sa vision du couple aussi intense qu'élégiaque. Alors, la série devient plus qu'une simple allégorie bien faite, elle devient une histoire. Une belle intention où la fiction reprend ses droits.
La critique complète est disponible sur le site Blabla-Séries
GQ
par Toma Clarac
Ansari se joue assez habilement de l'impression de déjà-vu en plaçant au coeur de la série ses origines indiennes (excellent épisode titré "Indians on TV") et en découpant la première saison selon un programme à la teneur presque pédagogique (…) Cette approche faussement scolaire est heureusement contrariée par une inclinaison intermittente mais décisive pour un humour creepy, dont l'effet peut s'avérer d'autant plus dévastateur qu'il surgit souvent au sein de situations convenues.
La critique complète est disponible sur le site GQ
Les Inrockuptibles
par Marie Turcan
Lena Dunham a beau se vanter d’être “la voix d’une génération” dans Girls, Aziz Ansari signe avec Master of None la série la plus contemporaine de ces cinq dernières années (…) Elle met (…) en scène des personnages féminins incroyables, de la meilleure amie lesbienne de Dev, Denise (Lena Waithe) à l’improbable Claire Danes (Homeland) venue jouer la femme mariée blasée qui cherche à tromper l’ennui et son mari le temps d’un épisode.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Pierre Langlais
Dans un style très 'indé', fait de longs dialogues, de scènes de promenades et de dîners, Aziz Ansari parvient à mêler un petit côté série à sketchs (Master of None est inspiré par un de ses stand-up) et des personnages solidement dessinés.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Télé Loisirs
par Delphine Rivet
Aziz Ansari, que le grand public a pu découvrir dans Parks and Recreation, livre ici son œuvre la plus personnelle, assaisonnée de thématiques qui lui sont chères. Master of None est drôle, intelligente, inégale mais toujours plaisante, et désespérément ancrée dans son époque.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Blabla-Séries
Avec Nashville, Mornings et l'épisode final, l'auteur propose à la façon d'un Louie ou d'une Lena Dunham sa vision du couple aussi intense qu'élégiaque. Alors, la série devient plus qu'une simple allégorie bien faite, elle devient une histoire. Une belle intention où la fiction reprend ses droits.
GQ
Ansari se joue assez habilement de l'impression de déjà-vu en plaçant au coeur de la série ses origines indiennes (excellent épisode titré "Indians on TV") et en découpant la première saison selon un programme à la teneur presque pédagogique (…) Cette approche faussement scolaire est heureusement contrariée par une inclinaison intermittente mais décisive pour un humour creepy, dont l'effet peut s'avérer d'autant plus dévastateur qu'il surgit souvent au sein de situations convenues.
Les Inrockuptibles
Lena Dunham a beau se vanter d’être “la voix d’une génération” dans Girls, Aziz Ansari signe avec Master of None la série la plus contemporaine de ces cinq dernières années (…) Elle met (…) en scène des personnages féminins incroyables, de la meilleure amie lesbienne de Dev, Denise (Lena Waithe) à l’improbable Claire Danes (Homeland) venue jouer la femme mariée blasée qui cherche à tromper l’ennui et son mari le temps d’un épisode.
Télérama
Dans un style très 'indé', fait de longs dialogues, de scènes de promenades et de dîners, Aziz Ansari parvient à mêler un petit côté série à sketchs (Master of None est inspiré par un de ses stand-up) et des personnages solidement dessinés.
Télé Loisirs
Aziz Ansari, que le grand public a pu découvrir dans Parks and Recreation, livre ici son œuvre la plus personnelle, assaisonnée de thématiques qui lui sont chères. Master of None est drôle, intelligente, inégale mais toujours plaisante, et désespérément ancrée dans son époque.