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Jim-X
119 abonnés
67 critiques
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0,5
Publiée le 15 novembre 2018
Et là, c'est le drame... J'adore cette série, et j'attends chaque nouvelle saison. Malheureusement, cette saison 4 est un raté total. J'aimerais bien vous dire qu'il y a quelque chose de bien, mais là seule chose que j'ai apprécié, c'est qu'il n'y ait que 6 épisodes, et par bonheur, pas un de plus. La réalisation est catastrophique, avec un image plate, des répétitions dans les prises de vue, notamment la caméra qui tourne ou le plan sur le coté. La musique est digne d'une série Z des années 80, le jeu fade, et le scénario sans intérêt. La saison 3 ne brillait pas par son histoire, mais on pouvait toujours s'accrocher à l'aspect sanguinolent et glauque. Pour cette saison 4, on ne peux même pas compter là-dessus... Tout est vu et revu, sans fond, sans relief, sans rebondissement, tout est télescopé jusqu'à la toute fin... La déception totale ! Petit conseil : passez votre chemin, et prenez le train suivant, en espérant qu'ils relèvent la barre...
A l’instar de la précédente, cette dernière saison de « Channel Zero » est très soignée, stressante par moments et le coup de la porte super bien vu. Alors quand en plus, on a un scénario bien ficelé et intrigant, un peu de gore, quelques références à certains réalisateurs classiques de l’horreur (David Cronenberg et Nicolas Roeg notamment) et une actrice à la plastique irréprochable (la sublime Maria Sten, miss univers 2008, rien que ça !), on attend impatiemment une saison 5 !
"The Dream door" est la quatrième et dernière saison de "Channel Zero" qui cette fois traitera de Pretzel Jack. Un personnage tiré d'une nouvelle et de creppypasta, c'est un clown contorsionniste très protecteur et quelque peu attachant malgré l'effroi qu'il dégage. D'ailleurs, l'acteur qui se cache derrière le personnage est juste excellent pour ne pas dire extraordinaire dans le rôle ! Nous restons toujours sur un quota de six épisodes pour la saison. Une saison qui au bout de ses six épisodes fermera totalement la porte ou presque de cette série (annulation).
Elle donne comme toujours dès le premier épisode un ton strident, mystérieux et limite angoissant. L'histoire est à leur habitude sombre et malsaine. Une saison qui sait être encore une fois très spéciale dans son genre. Il y a comme une impression d’y retrouver l’ambiance glauque et malsaine de la seconde saison par moments, de plus, on a également eu l'impression de retrouver les maisons de la seconde saison, je me suis souvent demandé si ce n'étaient pas les mêmes décors, économie ou manque de budget, qui sait ? En tout cas, cette dernière saison n'est pas moins très appréciable avec son lot d'obscénité.
Enfin bref, une dernière saison géniale comme très souvent avec "Channel Zéro". Par contre, c'est toujours aussi court.
Vraiment géniale. Une série digne de continuer encor longtemps. Cette saison 4 commence avec deux épisode léger avec deux bon final dans le 3 on commence à comprendre beaucoup de choses. Puis le 5 et 6 sont un véritable final. J'ai vraiment été absorbé par cette saison du début à la fin et regrette qu'elle n'ai pas été plus longue. L'histoire m'as emporté, un couple charmant et on s y accroché. Un suspense qui dure j'usqu'à la fin. J'aime beaucoup le principe de la "porte" qui m'as intrigué des le début. Bref, une tuerie qui me met l'eau à la bouche pour la saison 5!
La quatrième saison de Channel zero (the dream door) est un peu décevante. Pourtant cette saison débute très bien. Les 4 premiers épisodes dégagent une impression assez angoissante. Le scénariste Nick Antosca d'après "The hidden Door" de Charlotte Bywater, instaure un climat vraiment réussi. On retrouve deux thématiques chères aux films d'horreur, avec les clowns (utilisés d'une manière infantile tout dernièrement avec l'épouvantable Ça, film fait uniquement pour capter le marché des enfants) et les bébés monstres (Le Monstre est vivant est un film réalisé de Larry Cohen ou plus récemment en 2009 avec It's Alive de Josef Rusnak). Le "clown" de Channel zero (the dream door) est un clown maléfique, véritable contorsionniste, qui apparaît dès le premier épisode. Ses surgissements parviennent à créer une atmosphère vraiment effrayante. Ce qui est vraiment la patte de la série, est la réalisation épurée, sans artifice de E. L. Katz. Il n'en fait pas des tonnes, et c'est cette simplicité qui nous plait et qui est la bienvenue. La série sonne comme le reflet télévisuel du cinéma indépendant américain, jusque dans le choix des acteurs qu'on imagine aisément dans un drame psychologique. Autre élément important est que 1 an avant le décevant Us de Jordan Peele, les deux héros de Channel zero (the dream door) sont noirs. Nick Antosca emprunte aussi à la psychanalyse : "Je t'aime, je te tue ?". On pense bien sûr à La Féline, le chef d'oeuvre de Jacques Tourneur où l'héroïne ne comprenant pas trop ce qui se passe, consulte un psychanalyste, et le scénariste pousse loin la comparaison, jusqu'à la scène de la piscine, autre hommage au film de Tourneur. Pourtant malgré ces quatre premiers épisodes assez convaincants, les deux derniers épisodes ont du mal à captiver, surtout à cause des scènes sanglantes plutôt ridicules. Finalement on préfère la suggestion des autres scènes à ces séquences qui ne font pas vraiment peur et qui ne sont pas logiques et trop faciles (le bus pour enfant en panne qui entraîne une scène sanguinolente). On remarquera tout de même que la musique puise dans l'héritage culturel des maîtres du film d'horreur avec cette musique basique jouée aux synthétiseurs, référence aux films d'horreur des années 70 de Dario Argento à John Carpenter.